De gauche à droite : Jessica Peters

Philippe Caron Lefebvre et Sandra Djina Ravalia, lauréats

Par Lpbw

Philippe Caron Lefebvre et Sandra Djina Ravalia sont les lauréats du Concours Jeunes artistes en arts visuels des Laurentides 2013 du Musée d’art contemporain des Laurentides.

Dans la catégorie « recherche et diffusion », Philippe Caron Lefebvre reçoit une bourse d’une valeur de 2 500 $ offerte par le groupe Rochon, Thériault, Chartrand, services conseils, le groupe Platinum construction et le MAC des Laurentides.

 Dans la catégorie « initiation à la sérigraphie », Sandra Djina Ravalia obtient la bourse d’une valeur de 1 000 $ offerte par l’Atelier de l’Île de Val-David.

Philippe Caron Lefebvre

Philippe Caron Lefebvre, originaire de Saint-Sauveur, est un artiste multidisciplinaire : installation, sculpture et dessin sont actuellement ses favoris. Son inspiration s’ancre dans le réel et l’actualité. Il s’attache, plus particulièrement, à l’architecture, aux artefacts anciens, à la matière et aux surfaces insolites. Il allie également ces centres d’intérêts aux manifestations du pouvoir physique et politique.?? « Plutôt que de questionner, j’offre des affirmations et présente des expériences où les propositions agissent comme des entremetteurs entre la réalité et l’imaginaire. »

L’artiste exposera le résultat de ses récentes recherches, au printemps 2014, au Musée d’art contemporain des Laurentides.

Sandra Djina Ravalia

Sandra Djina Ravalia, implantée à Saint-Colomban, a un parcours atypique. Influencée autant par l’art indien, indonésien ou africain que par l’art occidental, cette artiste tente de créer, à partir d’une iconographie existante, un équilibre entre mémoire, spiritualité et intemporalité. Sa principale recherche réside dans l’alchimie du mélange de matériaux et du mouvement. L’utilisation du papier et des tissus dans ses œuvres a retenu l’attention du jury.

En ce sens, le stage d’initiation à la sérigraphie va lui permettre d’explorer une nouvelle technique pour enrichir ses textures, grâce à 7 jours de production à l’Atelier de l’Île de Val-David avec une assistante technique, le matériel requis, un forfait d’hébergement et des frais de subsistance tout inclus.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *