Automobile

contenu original Journal Le Nord

En studio : Problème de disponibilité pour le Hyundai Kona électrique

Depuis son arrivée chez les concessionnaires québécois, le Hyundai Kona électrique a attiré l’attention de plusieurs automobilistes.

Fort d’une autonomie de 415 kilomètres et d’un prix de départ sous la barre des 45 000 $, ce modèle ne manque pas d’arguments pour se faire valoir. Cela dit, les consommateurs intéressés doivent actuellement faire face à un sérieux problème de disponibilité.

À l’heure actuelle, les consommateurs doivent attendre entre huit à dix mois avant de mettre la main sur une variante électrique de ce petit VUS coréen. De quoi refroidir les ardeurs de bien des acheteurs potentiels.

Au cours de cette capsule En Studio, les journalistes du Guide de l’auto Antoine Joubert et Frédéric Mercier dressent un portrait de la situation et rappellent que d’autres modèles électriques comme la Chevrolet Bolt EV ou la Nissan Leaf demeurent plus faciles à obtenir dans des délais raisonnables.

Le Guide de l’auto s’en va conduire des vieilles Porsche!

Au Guide de l’auto, nous nous faisons un devoir de conduire toutes les nouveautés de l’industrie automobile afin de vous en donner l’heure juste.

Cela dit, on a également un penchant pour les voitures classiques. Et parfois, on a l’occasion d’en conduire quelques unes!

Cette semaine, nous nous rendons à Stuttgart, en Allemagne, afin de célébrer les 50 ans d’un modèle qui a eu un grand rôle à jouer dans le développement de Porsche en Amérique du Nord : la 914.

Lors de ce périple éclair au royaume des Autobahn, nous aurons l’opportunité de conduire des 914 d’époque conservées dans un état absolument phénoménal. Nous visiterons aussi le musée de Porsche ainsi que le centre de restauration du prestigieux constructeur allemand. Soyez sans crainte, nous nous assurerons de prendre un paquet de photos et vidéos afin de vous faire vivre l’expérience avec nous!

Hommage au moteur central
La Porsche 914, commercialisée de 1969 à 1976, était la voiture d’entrée de gamme du constructeur. Si certains modèles étaient animés par un bloc à six cylindres, la grande majorité des unités produites faisaient plutôt appel à un petit moteur à quatre cylindres.

Peu importe sa cylindrée, la motorisation de la petite allemande était positionnée entre les deux essieux, comme c’est le cas aujourd’hui pour les Porsche 718 Cayman et 718 Boxster. Aujourd’hui, Porsche entend profiter du 50e anniversaire de la 914 pour rendre hommage aux voitures à moteur central qui ont marqué son histoire.

Tout ça pour vous dire qu’on a très hâte de prendre le volant de cette belle d’autrefois et de vous en livrer nos impressions! Rendez-vous très bientôt sur le site du Guide de l’auto pour tous les détails.

Et pour vous assurer de ne rien manquer, assurez-vous de vous abonner à notre infolettre!

Les produits Honda sont-ils recommandables?

J’aimerais savoir si vous recommandez les produits Honda malgré la rouille excessive dont ils sont victimes.

En raison d’un rappel concernant la rouille, le concessionnaire vient de racheter mon véhicule, un CR-V 2009 qui n’avait que 90 000 km. La seule chose que l’on me propose, c’est un crédit de taxes, mais uniquement si je rachète un produit Honda. Or, je suis très méfiante.

-----------------

Bonjour Annie,

D’abord, il faut préciser que ce rappel concerne les véhicules fabriqués de 2007 à 2011, lesquels ont un important problème de corrosion au niveau structurel. En effet, s’il est fortement rouillé, le bras longitudinal arrière pourrait littéralement se détacher du véhicule, ce qui pourrait avoir une incidence fatale.

Le mandat des concessionnaires est donc d’inspecter et de réparer les véhicules qui peuvent encore être sauvés, s’ils sont jugés assez solides. Autrement, le concessionnaire propose un montant de 15% supérieur à la valeur marchande du véhicule, ainsi qu’une autre somme de 15% en dédommagement. À cela s’ajouterait aussi, si vous choisissez un produit Honda neuf, un crédit de taxes établi sur la valeur de votre véhicule actuel.

De ce fait, l’offre que l’on vous a faite pour votre véhicule est assurément intéressante sur le plan financier. Cela dit, je vous l’accorde, cette situation ne fait pas l’affaire de tous. Plusieurs ne souhaitent pas remplacer leur véhicule par un neuf plus coûteux, et ce, même si l’offre de Honda est généreuse.

Maintenant, doit-on faire confiance à Honda dans l’optique où vous acceptez de faire l’achat d’un CR-V neuf? En ce qui concerne la corrosion, seul l’avenir nous dira si les vices de conception ont été réglés. Est-ce que les modèles fabriqués de 2012 à 2017 auront également ce problème? Difficile à dire. En revanche, Honda Canada semble être très compréhensive, en réparant ou en réglant financièrement sans s’obstiner.

Là où le bât blesse, c’est que l’on est actuellement aux prises avec de sérieux pépins de moteur sur le CR-V 2018-2019. En effet, le moteur turbo de très petite cylindrée peine à monter en température, ce qui a pour effet de diminuer grandement l’efficacité du chauffage à bord de l’habitacle, en saison froide.

Qui plus est, on dénote un problème d’essence qui se mélange à l’huile, que les concessionnaires tentent de minimiser en rapprochant les intervalles de service et en reprogrammant le module de commandes. Toutefois, la solution miracle n’a toujours pas été trouvée, ce qui, vous en conviendrez, demeure inquiétant. Alors, vous recommanderais-je l’achat d’un CR-V 2019? Pour l’heure, plus ou moins. Mon conseil serait de vous diriger vers le HR-V, plus petit et moins puissant, mais très fiable, ou encore vers le nouveau Toyota RAV4, avec lequel vous aurez une réelle tranquillité d’esprit. Le seul hic, c’est que vous perdrez à ce moment l’équivalent de 1 500 $ à 2 000 $ de crédit de taxes, applicable uniquement chez Honda.

Une Toyota Supra à toit targa dans les plans?

Lorsque la Toyota Supra 2020 a enfin été dévoilée en première mondiale plus tôt cette année, plusieurs ont applaudi son moteur turbocompressé à six cylindres en ligne de 3,0 litres qui développe 335 chevaux et 365 livres-pied de couple.

Finalement, il se pourrait que la voiture soit encore plus puissante qu’on le dit. Et comme elle partage sa plateforme et de nombreux composants avec le roadster BMW Z4, dont le moteur en question, certaines personnes ont déjà commencé à spéculer sur une version décapotable de la Supra.

Eh bien, selon Tetsuya Tada, ingénieur en chef du coupé sport de Toyota, nous pourrions en voir une avant que le modèle tire sa révérence.

Dans une entrevue accordée au magazine japonais Best Car, Tada a confirmé que la Supra a été développée dès le départ avec une version cabriolet en tête. Toutefois, au lieu d’une capote souple comme sur la Z4, il croit qu’un toit rigide de type targa (semblable à celui de la Mazda MX-5 RF) conviendrait mieux à la Supra. D’ailleurs, les générations précédentes en ont offert un.

De cette façon, le châssis de la voiture ne serait pas trop affecté en termes de solidité et Toyota éviterait du même coup de jouer dans les platebandes de BMW.

Soyons clairs : la compagnie ne développe pas en ce moment une Supra avec un toit targa. Le coupé n’est même pas encore en vente au Canada (il doit arriver sur le marché plus tard cet été) et Toyota désire sans doute évaluer la demande des consommateurs avant de décider de créer d’autres versions.

Les cabriolets, peu importe leur forme ou leur taille, ne sont pas de gros vendeurs actuellement et leur prix plus élevé n’est qu’une des raisons qui expliquent cette situation. La Supra 2020 débute à 64 990 $, alors un modèle targa coûterait vraisemblablement plus de 70 000 $.

20 ans plus tard, où en est Kia?

À l’émission Le Guide de l’auto, diffusée sur QUB Radio, on en a profité pour réaliser un petit bilan.

Histoire de remettre les choses en perspective, les animateurs Antoine Joubert et Germain Goyer ont interviewé Marc Lessard, propriétaire de l’un des premiers concessionnaires Kia au Canada, dans la région de la Beauce.

À l’époque, il ne suffisait que d’une somme de 50 000 $ pour se payer sa propre concession. Pour vous donner une idée, c’est à peu près le prix d’un Kia Telluride 2020! Pour vous donner une idée, obtenir une franchise en 2019 coûterait entre 5 M$ et 10 M$.

Avant de procéder à cette entrevue, les coanimateurs sont revenus sur les récentes nouvelles de l’industrie. Il a notamment été question des rumeurs entourant la Chevrolet Camaro et du dévoilement de la Chrysler Voyager, qui deviendra une variante de base de la fourgonnette Pacifica.

Pour clore cette émission, Antoine Joubert a fait un retour sur une chronique récente où il déplorait la baisse de popularité de la transmission manuelle dans l’industrie automobile.

Puis, les deux comparses ont terminé l’émission en répondant aux questions des auditeurs.

Le Guide de l’auto, c’est tous les samedis à 10h sur QUB Radio!

Nouveaux motocyclistes : règles plus sévères réclamées

Par Alex Drouin

La Fédération motocycliste du Québec réclame des règles plus strictes pour les conducteurs.

« Les jeunes ne comprennent pas à quel point ça peut aller vite, une moto », a déploré le directeur général de la fédération, Jean-Pierre Fréchette.

Un homme de 25 ans est mort après être entré en collision avec un véhicule qui roulait en sens inverse dimanche à Sainte-Anne-des-Plaines.

Plusieurs blessés
Le décès du motocycliste a été constaté en début de soirée. Selon les premiers résultats de l’enquête, il n’y a aucun élément criminel, et aucune accusation ne sera retenue contre la conductrice, qui a été traitée pour un choc nerveux.

Lundi après-midi, deux embardées en moto survenues en Montérégie et dans Lanaudière ont fait un mort et trois blessés, dont un grave.

Le décès d’un homme dans la cinquantaine de Notre-Dame-de-Stanbridge a été constaté à l’hôpital.

M. Fréchette souhaite que le ministre des Transports impose un « accès graduel aux cylindrées » pour les nouveaux adeptes de moto, c’est-à-dire qu’ils ne pourraient conduire des bolides trop performants dès leurs premières années à moto.

Cours obligatoires
« On voudrait également que des cours soient obligatoires chaque fois qu’une personne décide de changer sa moto pour en acheter une nouvelle puisque chaque engin est différent et ne réagit pas de la même façon. »

Selon le bilan routier de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) de 2018, 49 motocyclistes sont décédés en 2018, soit le même nombre qu’en 2017.

D’autres décès redoutés
Avec les vacances de la construction qui approchent, le directeur général, M. Fréchette, s’attend malheureusement à ce que surviennent d’autres décès de motocyclistes au cours des prochaines semaines.

« Il faut préciser que ce n’est pas parce qu’il y aura plus de monde sur les routes, mais parce qu’il y aura plus de pilotes de moto inexpérimentés qui se promèneront », a-t-il conclu en rappelant l’importance d’être prudent sur les routes.

Selon la SAAQ, six motocyclistes âgés de 25 à 34 ans sont décédés en 2017, et ils étaient tous de sexe masculin.

Salut Bonjour : c’est la fin pour la Volkswagen Beetle

Volkswagen s’apprête à mettre un terme à la production de son véhicule le plus iconique. Le 9 juillet prochain, la séduisante Beetle tirera finalement sa révérence.

Arrivée sur le marché en 1998 pour rendre hommage à la Coccinelle originale, la New Beetle (rebaptisée Beetle en 2011) aura connu une carrière de plus de 20 ans.

De passage à l’émission Salut Bonjour Weekend, le journaliste du Guide de l’auto Antoine Joubert a livré un résumé historique de la Coccinelle, de ses débuts en 1938 jusqu’à aujourd’hui en passant par son arrivée au Canada, en 1952.

Afin de finir sur une note positive Volkswagen a concocté une édition ultime de sa Beetle, la Wolfsburg. Pour notre compte-rendu complet sur ce modèle, c’est par ici!

L’Audi A6 2019 bientôt disponible avec quatre cylindres

Lorsque l’Audi A6 2019 de nouvelle génération a fait ses débuts l’an dernier, elle s’est pointée au Canada exclusivement en version 55 TFSI avec un V6 turbocompressé de 3,0 litres produisant 335 chevaux. Or, ce n’était qu’une question de temps avant qu’une alternative moins puissante et plus abordable s’ajoute à la gamme.

Hier, Audi a donc donné les détails de la nouvelle A6 45 TFSI de base animée par un quatre-cylindres de 2,0 litres.

Développant 248 chevaux et 273 livres-pied de couple, ce moteur turbo plus compact propulse la berline intermédiaire de 0 à 96 km/h en 6,1 secondes. Tout comme celui de 3,0 litres, il s’accompagne de série d’une boîte à double embrayage S tronic à sept rapports et du rouage intégral quattro.

Bien qu’on ne retrouve pas de système hybride léger avec batterie de 48 volts comme c’est le cas pour le V6, Audi a déjà annoncé qu’une A6 hybride rechargeable, comprenant sans doute un moteur de 2,0 litres, verra le jour d’ici la fin de 2019 – possiblement en 2020 de ce côté-ci de l’Atlantique.

La date de mise en vente et le PDSF de l’Audi A6 45 TFSI à quatre cylindres au Canada seront connus sous peu. Aux États-Unis, ce modèle coûte environ 8% moins cher que celui à moteur V6, alors une structure de prix similaire le placerait à un peu moins de 63 000 $ chez nous.

Si vous désirez en savoir plus, ne manquez pas notre essai routier de la nouvelle A6.

Mazda CX-5 2019 : plus de luxe et de puissance

Parmi les véhicules utilitaires de taille compacte, le créneau du marché automobile le plus important au pays, le Mazda CX-5 demeure un favori année après année.

Pas besoin d’être le champion de sa catégorie pour être populaire. Le Mazda CX-5 l’illustre bien. Depuis son apparition au Canada, en 2012, ce véhicule figure parmi les modèles les plus vendus de sa catégorie. Au terme des cinq premiers mois de l’année, il s’est classé 7e au palmarès des ventes dans un créneau réunissant une trentaine de VUS compacts et sous-compacts. Cette popularité le place, par ailleurs, au 18e rang du palmarès des ventes global, parmi les quelque 270 véhicules recensés.

Le CX-5 doit sa popularité à une amélioration constante qui maintient son attrait auprès des acheteurs. Remis au goût du jour en 2017 avec le lancement d’une seconde génération, voici maintenant que Mazda vise une nouvelle clientèle en lançant le CX-5 Signature 2019. Les automobilistes en quête du luxe seront sans doute titillés par sa dotation cossue rehaussée d’une sellerie de cuir Napa et de garnitures de bois Abachi.

Le CX-5 propose deux autres nouveautés importantes en 2019 : des moteurs suralimentés. Le premier, un 4-cylindres à turbocompresseur de 2,5 L à essence est bien connu puisqu’il anime le Mazda CX-9, le porte-étendard de la marque. Variante du moteur atmosphérique de 2,5 L servant déjà au CX-5, ce moteur turbo a un taux de compression plus bas (10,5 plutôt que 13,0). De plus, son turbocompresseur à pression dynamique varie l'amplitude des pulsations des gaz d'échappement selon la vitesse du moteur. Cela contribue à rendre les accélérations linéaires, en plus de produire plus de puissance à bas et moyen régime.

Fort de ses 250 ch, lorsqu’on l’alimente de carburant super (227 avec de l’ordinaire), ce moteur livre 310 lb-pi de couple. C’est une fois et demi plus de couple que n’en produit le moteur atmosphérique de même cylindrée. Et cela se reflète dans les performances du véhicule, qui est en mesure d’accélérer de 0 à 100 km en moins de 6 s. Le moteur atmosphérique en nécessite deux de plus. C’est phénoménal!

Bientôt un turbodiesel
L’autre nouveau moteur s’appelle Skyactiv-D. D pour diesel... ou turbodiesel, si vous préférez. Ce moteur de 2,2 L, qui produit 168 ch, livre 290 lb-pi de couple dès qu’il tourne à 2 000 tr/min. On ignore pour le moment quelles performances il procurera au CX-5, mais on imagine facilement que ses reprises seront vives. En revanche, le constructeur a déjà annoncé ses cotes de consommation : 8,9 L/100 km en ville et 7,9 L/100 km sur route. Ces cotes, les plus basses de la gamme, plairont sans aucun doute aux automobilistes qui effectuent régulièrement de longs parcours.

Comme le 4-cylindres atmosphérique, ces moteurs sont jumelés à une boîte de vitesses automatique à 6 rapports. Le turbodiesel, qui sera bientôt disponible, sera un équipement optionnel réservé au CX-5 Signature. Quant au moteur turbo à essence, qui est déjà en vente, il est le moteur de série de cette nouvelle version, en plus de figurer parmi les options du CX-5 GT (2 000 $).

La refonte des motorisations du CX-5 a fait disparaître le 4-cylindres de 2,0 L. Ce moteur était l’apanage du modèle d’entrée de gamme, le CX-5 GX à deux roues motrices. Personne ne regrettera ce moteur de 156 ch. Du même coup, la boîte de vitesses manuelle qui lui était assortie a également tiré sa révérence. Les irréductibles seront sans doute déçus de l’apprendre, mais leur petit nombre suffit à justifier cette décision du constructeur. D’ailleurs, puisque les boîtes automatiques de Mazda donnent aujourd’hui un meilleur rendement écoénergétique, qui veut encore d’une boîte qui impose une troisième pédale ?

Par ailleurs, Mazda a reconduit le dispositif de variation de la cylindrée introduit l’an dernier sur le moteur atmosphérique Skyactiv-G de 2,5 L des CX-5 GS et GT à quatre roues motrices. En désactivant les deux cylindres des extrémités de leur bloc-moteur lorsqu’on roule à une vitesse constante, ce dispositif optimise le rendement écoénergétique. Le constructeur affirme que la désactivation des cylindres réduit la consommation de carburant d'environ 20% lorsqu’on conduit à une vitesse constante de 40 km/h et d’environ 5% à 80 km/h. Les cotes de consommations publiées par Ressources naturelles Canada (RNCan) révèlent une diminution comparable. RNCan attribue une cote moyenne de 9,0 L/100 km aux CX-5 GS et GT à quatre roues motrices et une cote de 9,3 L au CX-5 GS à deux roues motrices, version la moins chère de la gamme dont le moteur atmosphérique n’a pas de variateur de cylindrée. Cela représente donc une différence de consommation d’environ 3%. C’est mieux que rien!

Intérieur accueillant
Assemblé au Japon, le CX-5 bénéficie d’un habitacle spacieux, malgré les dimensions compactes de sa carrosserie. Quatre adultes de taille moyenne y trouveront le confort souhaité pour de longs parcours. Ils apprécieront aussi le confort des sièges, l’assemblage soigné, la qualité des matériaux et l’insonorisation de l’habitacle. On se croirait à bord d’un véhicule de luxe de Mercedes-Benz ou de Lexus!

Le CX-5 est également apprécié pour le côté polyvalent de son habitacle. On dénombre plusieurs espaces de rangement pratique. De plus, le coffre très dégagé a une ouverture vaste et son plancher, qui n’est pas trop haut, n’a pas de seuil gênant. En outre, le volume utile est important, bien qu’il ne le soit pas autant que celui des RAV4, CR-V et Rogue, les champions en la matière dans cette catégorie. Le coffre peut néanmoins recevoir des objets encombrants comme un vélo. D’ailleurs, les dossiers rabattables 40/20/40 de la banquette arrière, qui permettent de moduler son volume, donnent un plancher plat une fois repliés.

Enfin, sur la route, le conducteur découvre un véhicule agréable à conduire. La servodirection a une assistance bien dosée, le freinage se module avec précision, alors que la suspension bénéficie d’une calibration favorisant la douceur de roulement sans pour autant imposer un roulis désagréable. C’est le meilleur compromis pour rendre les longs trajets autoroutiers plaisants, tout autant que les ballades sur routes sinueuses.

Le roulement des CX-5 GT et Signature est étonnamment doux, bien qu’ils soient munis de pneus de 19 po. Cela dit, les pneus de 17 po des versions GX et GS, qui aux flancs moins rigides, rend le roulement un peu plus doux encore. En somme, le CX-5 ne manque pas d’arguments pour plaire. Pas surprenant qu’il soit devenu le modèle le plus populaire de Mazda au Canada.

Véhicules électriques et autonomes : GM doublera ses ressources

General Motors a publié son rapport annuel 2018 sur le développement durable, un document intitulé « Transformation in Progress » qui présente non seulement les bons coups réalisés dans la dernière année, mais aussi les efforts à venir.

On apprend entre autres que GM doublera ses ressources allouées aux véhicules électriques et aux véhicules autonomes au cours des deux prochaines années tout en priorisant les investissements dans la prochaine génération de modèles à batterie.

Rappelons que le plan de GM est de commercialiser 20 nouveaux véhicules électriques d’ici 2023 à travers le monde. Deux d’entre eux ont été lancés en Chine l’an dernier (Buick Velite 6 EV et Baojun E200), mais on ignore combien atterriront sur les routes nord-américaines.

Ce qu’on sait, c’est que Cadillac sera le fer de lance de la nouvelle plateforme pour véhicules électriques chez GM. D’autre part, un VUS basé sur la Chevrolet Bolt EV devrait arriver en 2020 et une camionnette 100% électrique suivra quelques années plus tard.

« Pendant longtemps, nous avons dit que l’industrie automobile subissait de plus gros changements en ce moment qu’au cours des 50 dernières années. Or, le rythme des changements ne fait qu’accélérer, affirme la présidente du conseil et directrice générale de GM, Mary Barra. Avec la bonne équipe, la bonne technologie et les bonnes ressources pour réaliser notre vision, je crois que la seule chose qui puisse nous arrêter serait de ne pas agir assez rapidement. »

GM propose même la création d’un programme national de véhicules zéro émissions (aux États-Unis) obligeant les constructeurs automobiles à électrifier davantage leur gamme de véhicules légers. Ce programme, dit Barra, pourrait amener plus de sept millions de véhicules électriques à grande autonomie sur la route en plus d’éliminer 375 millions de tonnes d’émissions de CO2 entre 2021 et 2030.

Pour ce qui est de déployer des véhicules autonomes, le géant américain est présentement en retard sur les cibles qu’il s’était données. Malgré l’annonce récente d’une expansion de la fonctionnalité du système Cruise de Cadillac, la réalité est que GM est encore bien loin de pouvoir lancer un premier véhicule entièrement autonome.

Afin d’accélérer le développement, 1 000 employés supplémentaires seront recrutés par sa filiale Cruise cette année, doublant les effectifs de celle-ci. En outre, GM travaille avec Cruise et Honda dans le but de concevoir un nouveau véhicule autonome spécifique destiné à des marchés mondiaux et pouvant servir à différentes applications.

Chrysler Voyager 2020: un nouveau modèle pas si nouveau

Dans sa stratégie de remplacement de la très populaire Dodge Grand Caravan, Fiat Chrysler Automobiles (FCA) a annoncé qu’elle allait offrir une version plus abordable de la Pacifica. Celle-ci devient un modèle à part entière et porte le nom « Voyager ».

Aussitôt dévoilée, aussitôt essayée. Voici ce que l’on en pense.

Ça se conduit comme… une Pacifica!
Si le nom « Voyager » vous dit quelque chose, c’est tout à fait normal. En effet, il est employé depuis l’introduction de la minifourgonnette au milieu des années 80. D’abord utilisé par Plymouth pour désigner la Caravan à ses débuts, il a ensuite été repris par Chrysler. Depuis 2011, on peut même voir ce nom apposé sur des versions européennes de la Grand Caravan qui sont commercialisées sous la bannière Lancia.

Méfiez-vous de l’emballage et du marketing, cette minifourgonnette est tout bonnement une Pacifica d’entrée de gamme. Parce que « Voyager », c’est bien plus séduisant que « Pacifica de base ». Elle est à la Pacifica ce que la Grand Caravan était à la Chrysler Town & Country. Voilà qui est sans doute plus clair.

Puisqu’il s’agit simplement d’une Pacifica dénudée, personne ne sera étonné de constater la présence du V6 Pentastar de 3,6 L sous le capot. Celui-ci libère une puissance et un couple qui se chiffrent respectivement à 287 chevaux et 262 livres-pied. Le tout est jumelé à une transmission automatique à neuf rapports.

À la conduite, on reconnaît le châssis, la direction et les suspensions de la Pacifica. Comparativement à la Grand Caravan, c’est franchement rafraîchissant. Après tout, la conception de la Pacifica remonte à 2017 alors que celle de la Grand Caravan est pratiquement inchangée depuis 2008.

De série, la Voyager est livrée avec le système UConnect 4 qui est jumelé à un écran tactile de sept pouces. Le tout est compatible avec Apple CarPlay et Android Auto.

Pas de version hybride rechargeable
L’un des avantages concurrentiels de la Pacifica, c’est qu’elle se décline en version hybride rechargeable. Munie d’une batterie de 16 kWh, elle peut parcourir jusqu’à 51 km avec une seule charge. Elle est également éligible à la subvention des gouvernements fédéral (5 000 $) et provincial (8 000 $). Et Chrysler est le seul manufacturier à offrir une minifourgonnette hybride rechargeable. Malheureusement, le constructeur américain n’a pas cru bon d’intégrer cette technologie dans la nouvelle Voyager.

Minute papillon!
Dévoilée dans le cadre d’une présentation de FCA au cours de laquelle le groupe présentait ses nouveautés pour l’année-modèle 2020, on a annoncé l’arrivée de la Voyager pour l’année prochaine aux États-Unis. Pour ce qui est du marché canadien, il faudra patienter. Bien que l’on nous ait confirmé sa venue de ce côté-ci de la frontière, on ne s’est pas avancé sur une date précise.

Pour 2019 et 2020, FCA a confirmé que la Grand Caravan allait demeurer au catalogue. Mais au loin, on entend le chant du cygne. Et tout nous laisse croire que la nouvelle Voyager sera destinée à la remplacer éventuellement. On ne peut plus vieillissante, elle continue d’attirer bon nombre d’acheteurs canadiens. En effet, depuis 2008, il s’en vend, bon an mal an, plus de 45 000 unités par année. En revanche, notons tout de même une chute drastique pour 2018 alors que Dodge en a vendu moins de 28 000 exemplaires. Aux États-Unis, la marque américaine a écoulé près de 152 000 Grand Caravan en 2018, soit un record depuis 2013.

À quel point coûtera-t-elle moins cher?
Étant donné qu’il s’agit d’une version dénudée de la Pacifica, on s’attend à un prix qui sera inférieur. Or, FCA ne s’est pas avancé à cet effet. À titre informatif, l’actuelle minifourgonnette de Chrysler est offerte à partir de 36 995 $ au Canada. La Grand Caravan, pour sa part, est offerte à partir de 25 445 $.

La dernière Corvette à moteur avant bat un record à l’encan

Le tout dernier exemplaire de la Chevrolet Corvette de septième génération (C7) s’est vendu pour la somme faramineuse de 2,7 millions $US, soit l’équivalent de 3,5 millions $CA, lors d’un encan de Barrett-Jackson dans le Connecticut ce weekend.

Il s’agit d’un record de cette prestigieuse maison d’enchères pour un véhicule donné par un constructeur automobile.

La voiture en question était un coupé Corvette Z06 3LZ de couleur noire avec garnitures rouges, qui se vend normalement à partir de 103 660 $ chez nous. Elle possède un intérieur garni de cuir rouge ainsi que des technologies de bord comme un système de navigation et un enregistreur de données de performance.

Sous le capot se trouve un V8 LT4 suralimenté de 6,2 litres qui développe 650 chevaux à 6 400 tours/minute via une boîte manuelle à sept rapports. Cette Z06 accélère de 0 à 100 km/h en un peu moins de quatre secondes et s’immobilise rapidement grâce à de puissants freins Brembo.

Tout l’argent de la vente ira à la Stephen Siller Tunnel to Towers Foundation, qui construira au moins cinq maisons intelligentes, accessibles et libres d’hypothèque pour des militaires et premiers répondants ayant subi des blessures majeures en devoir.

On se demande maintenant combien se vendra le premier exemplaire de la nouvelle Corvette 2020 de huitième génération avec moteur central. Celle-ci sera dévoilée officiellement le 18 juillet et certains amateurs ont dépensé jusqu’à 20 000 $ pour assister à l’événement.

Face à face : Lamborghini Urus 2019

Que ça vous plaise ou non, c’est maintenant chose faite. Lamborghini a son propre VUS!

Les mauvaises langues diront qu’il s’agit d’un Audi Q8 glorifié, mais le Lamborghini Urus fait honneur à son écusson avec des performances tout simplement ahurissantes.

Malgré son poids de presque 2200 kilos, le VUS italien passe de 0 à 100 km/h en 3,6 secondes et peut atteindre une vitesse maximale qui dépasse les 300 km/h. Cela est rendu possible grâce à un moteur V8 biturbo d’une puissance de plus de 600 chevaux et et d’un couple de 627 livres-pied.

Au cours de cette capsule, les journalistes du Guide de l’auto Marc Lachapelle et Gabriel Gélinas conduisent et analysent ce VUS racé sur les routes du Québec. Est-il véritablement digne de faire partie de la famille Lamborghini?

Est-ce le futur VUS de Genesis?

Alors que nous circulions l’autoroute 94 à Ann Arbor au Michigan, nous avons aperçu ce qui a tout l’air d’être le futur VUS de Genesis.

Bien qu’il soit presque entièrement camouflé, nous reconnaissons certains airs du Genesis GV80 Concept.

Ce dernier a été dévoilé en 2017 dans le cadre du salon de l’automobile de Detroit. Ce véhicule conceptuel était doté d’un système d’infodivertissement jumelé à un écran tactile de 56 centimètres.

Aucune version de production n’a encore été officiellement dévoilée. On s’attend toutefois à ce que ce VUS de luxe soit commercialisé au début de l’année 2020.

Certaines rumeurs laissent croire qu’il pourrait emprunter sa plateforme à la G80. Ainsi, il est légitime de présumer que sous son capot pourrait loger un V6 de 3,8 L ou un V6 biturbo de 3,3 L.

S’il voit le jour, cet éventuel VUS de la marque de prestige de Hyundai rejoindrait les rangs de la G70, de la G80 de même que de la G90.

Chevrolet Silverado HD 2020 : construit pour travailler

Un peu partout au pays, il y a des gens qui travaillent fort. Très fort. Et parfois, ils ont besoin d’un camion qui travaille aussi fort qu’eux.

C’est pour ça qu’existent les modèles Heavy Duty (HD), ces camionnettes monstrueuses dont le capot est à peu près aussi haut que votre tête et qui sont capables de remorquer des charges écrasantes.

Dans cet ordre d’idées, Chevrolet a convié l’équipe du Guide de l’auto à un premier contact avec sa nouvelle génération du Silverado HD. Et on peut dire que le constructeur n’a pas fait les choses à moitié.

Né pour remorquer
Commençons par le clou du spectacle : avec son nouveau camion, Chevrolet annonce une capacité de remorquage tout simplement spectaculaire de 35 500 livres. Non, ce n’est pas une faute de frappe!

Cela est rendu possible par le moteur diesel à huit cylindres Duramax de 6,6 litres, lequel développe une puissance de 445 chevaux et un couple époustouflant de 910 livres-pied. C’est vrai, c’est un peu moins que les 1 000 livres-pied annoncés pour le nouveau Ram HD, mais concernant l’accélération et la capacité de remorquage, c’est le Silverado qui a le dessus.

Ce moteur diesel n’a rien de nouveau, lui qui a été rapatrié de l’ancienne génération du Silverado HD. Cependant, Chevrolet l’a jumelé à une nouvelle transmission Allison à dix rapports qui fait toute la différence. Après avoir testé le mastodonte sur les routes montagneuses de l’Oregon avec une remorque de près de 20 000 livres dans le dos, on peut vous le confirmer sans hésitation :ce véhicule est né pour remorquer.

Même en remontant des côtes, le Silverado HD diesel ne semble jamais à bout de souffle. Sa boîte Allison fait un travail efficace et semble toujours choisir le meilleur rapport. C’est simple, on en vient même à oublier que l’on traîne une remorque!

Comme avec son Silverado 1500, Chevrolet a pris soin d’intégrer à son camion HD une panoplie de technologies qui simplifient le remorquage. Mentionnons notamment les huit caméras qui permettent jusqu’à 15 prises de vue différentes, un peu partout autour du véhicule.

On propose également une boîte de transfert à deux rapports, 12 points d’ancrage fixes et 9 qui sont amovibles, une prise de courant de 120 volts et un paquet d’autres détails qui font de ce camion un réel outil de travail.

Nouveau moteur à essence, mais…
En plus de son increvable moteur diesel, Chevrolet propose un bloc à essence flambant neuf sous le capot de son Silverado HD. Comme le diesel, il s’agit d’un V8 de 6,6 litres. Sa puissance de 401 chevaux et son couple de 464 livres-pied permettent une capacité de remorquage de 17 400 livres. C’est moins de la moitié de ce que peut tracter le diesel, mais c’est tout de même une amélioration de 18% par rapport au moteur à essence de la génération sortante.

Cela dit, les tests de remorquage que nous avons effectués avec le Silverado à essence nous ont tristement laissés sur notre appétit. Là, la présence de la remorque derrière le camion était bien notable. En montant des côtes, la révolution du moteur passait à 4 000, voire 5 000 tours/minute et le Silverado semblait épuisé. On s’est rendus à destination sans problème, certes, mais avec pas mal moins d’aisance.

Et ça, ce n’est pas nécessairement la faute du moteur. C’est partiellement à cause de la vieillissante transmission qui y est jumelée. Même si ce V8 à essence est neuf, Chevrolet a pris la drôle de décision de conserver la boîte à six rapports de l’ancienne génération du Silverado HD.

De l’aveu même d’un ingénieur de General Motors, cela s’explique par des raisons principalement financières. En recyclant la boîte à six rapports, on s’assure d’offrir un prix plus alléchant pour les flottes et les acheteurs de modèles de base. Ces prix n’ont toutefois pas encore été annoncés.

Chose certaine, le nouveau V8 à essence aurait de toute évidence mieux paru si on l’avait marié à la même transmission à 10 rapports qui fait équipe avec le moteur diesel.

Un look qui fait jaser
Impossible de rédiger un compte-rendu complet sur ce Silverado HD sans glisser un mot sur son design. Avec cette nouvelle génération, Chevrolet a joué d’audace en imaginant une allure différente pour le Silverado HD, qui se démarque nettement du Silverado 1500 pour une première fois dans son histoire.

La calandre massive et drôlement divisée s’est attiré l’ire de bien des internautes. Celle-ci intègre les lettres « CHEVROLET » bien en évidence, à moins que vous n’optiez pour la variante haut de gamme High Country, où l’écusson en forme de nœud papillon reprend sa place.

À l’intérieur, les designers de Chevrolet sont demeurés pas mal plus discrets. L’habitacle du Silverado HD est sobre et pratiquement calqué sur celui du Silverado 1500.

Au centre de la console, on retrouve un écran tactile d’une dimension juste assez bonne qui héberge un système multimédia facile à utiliser. C’est d’ailleurs par là que vous aurez accès à toutes les prises de vue des multiples caméras et à une application qui vous rappellera quoi vérifier quand vous attachez une remorque. Les vieux de la vieille s’enorgueilliront à dire qu’ils n’ont pas besoin de ça, par contre, les remorqueurs avec moins d’expérience risquent d’adorer!

Comme les prix et les cotes de consommation de carburant du Silverado HD 2020 n’ont pas encore été annoncés, il est difficile de bien cerner quel modèle en vaut réellement la chandelle entre les Work Truck, Custom, LT, LTZ et High Country. Il y a évidemment aussi la possibilité de choisir entre trois longueurs de cabine et d’opter pour une version à roues doubles à l’arrière. Bref, la personnalisation est de mise!

À la lumière de notre essai, une chose s’avère toutefois bien claire : si vous devez régulièrement remorquer des charges importantes, c’est le moteur diesel qu’il vous faut.

Une bonne nouvelle pour le circuit Sanair

À l’émission Le Guide de l’auto, diffusée sur QUB Radio, les animateurs Antoine Joubert et Germain Goyer ont reçu en studio Jacques Guertin, propriétaire du circuit Sanair, qui a récemment gagné sa contestation contre la municipalité de Saint-Pie dans une affaire concernant le bruit sur la piste de course.

Avant l’entrevue, les deux complices sont revenus sur les actualités de la semaine et sur les véhicules qu’ils ont conduits récemment.

Les animateurs sont ensuite entrés dans le vif du sujet avec Jacques Guertin, qui déplore les plaintes de bruit portées à l’endroit de son établissement.

« Quand un irresponsable va faire le fou, du bruit et des burnouts dans la route [...], lui il va avoir cent piastres d’amende. Si un groupe est responsable et n’utilise pas la route comme une piste de course et s’en va sur la piste de Sanair [...], c’est 2500$ d’amende pour le groupe qui est sur la piste et 2500$ d’amende pour Sanair », déplore-t-il.

Fidèles à leurs habitudes, Antoine Joubert et Germain Goyer ont terminé cette émission en répondant aux questions des auditeurs.

Le Guide de l’auto, c’est tous les samedis à 10h sur QUB Radio!