(Photo : Courtoisie)
Marc Bourcier et Jean-Martin Aussant, lors du passage de ce dernier à Saint-Jérôme.

Marc Bourcier fier de son bilan

Par France Poirier

Après 18 mois

En poste depuis 18 mois comme député de Saint-Jérôme, Marc Bourcier s’est dit fier du travail accompli lors d’un point de presse pour présenter son bilan.

« Je suis fier d’avoir fait changer des choses dans ma circonscription. Notre bureau à Saint-Jérôme a réglé une centaine de cas de comté durant ses 18 mois. Le plus complexe a été celui de Nathalie Prud’homme, que nous avons aidée dans sa quête pour le droit au traitement par perfusion de vitamine C au Québec», a souligné M.Bourcier.

« On a fait avancer des dossiers en collaborant avec les autres partis par des demandes adressées à différents ministres. Je me considère comme un facilitateur, un aligneur d’étoiles », ajoute l’homme politique.

Dans le domaine de la santé, le député de Saint-Jérôme a organisé plusieurs rencontres de travail pour l’avancement des grands projets du CISSS des Laurentides. Il souligne avoir questionné, à plusieurs reprises, autant en chambre qu’en privé, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, concernant la vétusté de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme et sa modernisation, qui est plus que nécessaire.

Électrification des transports

À titre de porte-parole de l’opposition officielle en matière d’électrification des transports, Marc Bourcier a travaillé fort pour l’amélioration de ce créneau au Québec. Il a obtenu le retour du programme écocamionnage, est intervenu auprès de ministres pour l’aide financière à l’achat d’autobus scolaires électriques construits ici, à Saint-Jérôme, et a déposé une résolution unanime à l’Assemblée nationale demandant au gouvernement fédéral la juste part du Québec des investissements du programme d’installation de bornes de recharge rapide. Il a réalisé plusieurs actions pour le financement du parc d’autobus scolaires électriques du Québec, dont de nombreuses questions en chambre, et a dénoncé avec ferveur le règlement qui favorise actuellement l’achat d’autobus scolaires au diesel construits aux États-Unis.

« Il faut que les 8000 autobus scolaires du Québec soient électriques en 2030. Ceux-ci seront fabriqués par des Québécois, ici, à Saint-Jérôme!»

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