À 20 ans, ils ont 5 franchises Aki Sushi!
Par Martine-laval
William Simard a 20 ans, Antoine Marsan, 19, et le 7 décembre dernier, ils ouvraient leur cinquième franchise Aki Sushi. Jeunes entrepreneurs déterminés, ils sont l’exemple même d’une jeunesse qui fonce, se prend en main et met l’effort nécessaire à la réussite.
Travailler pour devenir
Alors qu’ils travaillent ensemble pour une compagnie de chauffage et de climatisation tout en étudiant chacun de leur côté en gestion de commerce, William et Antoine se lient d’amitié grâce aux atomes crochus qu’ils se découvrent en discutant. Certainement sur la même longueur d’onde pour ce qui est de l’ambition professionnelle, ils apprendront par l’expérience de leur travail, qu’être son propre patron est la voie la plus sûre en ce qui a trait à l’avancement, que c’est plus motivant d’investir temps et énergie dans sa propre entreprise afin de la faire fructifier, et qu’en fin de compte, c’est plus payant.
C’est ainsi qu’ils démarrent leur première entreprise dans le but de se rendre plus facilement et plus rapidement là où ils veulent aller. Le pécule amassé, sachant qu’ils n’obtiendront pas de financement de la part d’institutions financières, ils cherchent la franchise dans laquelle investir et grandir. Amoureux des sushis, ils découvrent Aki Sushi.
La porte s’ouvre
Claude Gay, 45 ans, président -fondateur de la bannière, perçoit l’intention et l’ambition des deux jeunes, leur ouvre la porte et leur accorde soutien et entraînement en accéléré pour devenir franchisés au sein de la chaîne qui grandit au Québec, sise dans les épiceries Metro de la Province en majorité.
C’est ainsi qu’en sept jours, au cours de l’automne, Antoine et William ouvraient leurs quatre premiers comptoirs-restaurants à Saint-Jérôme, Blainville, Saint-Antoine et Sainte-Sophie, suivi peu après de Sainte-Thérèse, en plus d’inaugurer la deuxième bannière Aki Tartare de la Province, à leur succursale Aki Sushi de Blainville.
C’est maintenant que ça se passe
« On ne voulait pas vivre 50 ans avant de faire l’expérience d’être notre propre patron. C’est maintenant que ça se passe! On est vite devenu conscient de la vraie valeur de l’argent et de ce que ça prend d’effort et d’implication pour en faire. Dans cinq ans on voudrait avoir 20 comptoirs! » lancent les jeunes ambitieux.
Les jeunes propriétaires-franchisés se donnent donc corps et âme dans ce travail qui les passionne. Présents et actifs à chacune de leurs succursales chaque semaine, ils gèrent leur personnel, leur inventaire, administrent leurs comptoirs, mettent la main à la pâte et sont à l’écoute de leur clientèle. Cette aventure en inspirera-t-elle d’autres à entrer dans la ronde des jeunes entrepreneurs?
akisushi.ca
