Vincent Vallières était de passage
|

Vincent Vallières chante devant les élèves de la poly

Par Lpbw

En marge de sa tournée des écoles secondaires du Québec, Vincent Vallières s’est arrêté à l’École polyvalente Saint-Jérôme, lundi après-midi.

« Merci pour votre présence, même si vous êtes obligé d’être là» a rigolé l’artiste au début du spectacle qui a duré environ une heure.

 

Devant des élèves réunis à la salle André-Prévost, Vallières a interprété quelques-uns de ses succès, tirés de ses six albums, dont «Café Lézard», «Le temps passe», «Entre partout et nulle part», «Le bord de l’eau», «Février» et «L’amour c’est pas pour les peureux».

 

Le chanteur de 35 ans a parlé de la formation de son groupe The Money Drifters alors qu’il était au secondaire. Ses premières compositions étaient dans la langue de Shakespeare. Le groupe s’est rapidement dissout et Vallières a commencé à écrire dans la langue qu’il maîtrisait le plus: le français.

 

À la fin de cette anecdote, il a interprété sa première composition en français «Faut que tu fesses fort», une des onze chansons qui se retrouve son album «Trente arpents» paru en 1999.

 

« Si vous voulez rire, vous irez voir le vidéoclip de cette chanson», a-t-il dit. On y voit l’auteur-compositeur-interprète très jeune et avec les cheveux longs.

Son inspiration

Vincent Vallières a ensuite parlé de l’inspiration de ses textes. « Elle vient de partout: des amours, des voyages, des rencontres et souvent des amis».

 

Sur ces mots, il a interprété «L’amour au coin de la rue», un texte inspiré par son ami qui, par grand froid et sans manteau, attendait à l’extérieur d’un bar pour parler à une fille qu’il trouvait de son goût.

 

L’artiste a conclu son spectacle avec un de ses plus grands succès «On va s’aimer encore» qui a été chanté en cœur par les élèves de la poly.

 

Son projet de faire le tour des écoles secondaires du Québec est rendu possible grâce au Conseil des arts et des lettres du Québec et d’un don de 30 000 $ offert par Leonard Cohen. Le chanteur a rendu hommage à l’artiste montréalais en interprétant Everybody knows, dont le texte a été traduit en français pour l’occasion.

NOUVELLES SUGGÉRÉES

0 Comments

Submit a Comment

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *