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La Volkswagen Jetta du film Rapides et dangereux est à vendre

La Volkswagen Jetta 1995 conduite par Jesse dans le tout premier film de la saga The Fast and the Furious pourrait être à vous.

Elle est à vendre pour la somme de 99 900 $ US, soit près de 129 000 $ CAN, par l’entreprise Luxury Auto Collection. La voiture appartient à l’acteur Frankie Muniz.

Dans l’annonce, on peut notamment lire que la voiture se trouve dans le même état que lors du tournage du film. Son odomètre n’afficherait que 21 300 milles, ce qui représente environ 34 300 kilomètres. Elle est animée par un moteur à quatre cylindres de 2,0 L jumelé à une boîte automatique.

Cette Jetta est dotée d’une chaîne stéréo liée à une console PlayStation 2. Sur les photos, on note aussi la présence d’une cage de protection rouge et de sièges Sparco. Il est intéressant de noter que la voiture est signée par le défunt acteur Paul Walker ainsi que Chad Lindberg, qui a interprété Jesse, et Rob Cohen, qui a réalisé le film.

Revoyez ci-dessous la scène devenue célèbre au cours de laquelle cette Jetta court contre la Honda S2000 de Tran.

Volkswagen I.D. BUZZ CARGO : pour livraisons écologiques

Dans son processus de développement de sa prochaine fourgonnette, Volkswagen n’a pas oublié les entrepreneurs. À cet effet, le constructeur allemand vient tout juste de dévoiler une version Cargo de l’I.D. BUZZ.

Autrement dit, il s’agit d’une version plus utilitaire à laquelle on a supprimé les vitres arrière latérales. Quant aux portes coulissantes, elles peuvent être ouvertes de manière électrique. Et le résultat est franchement réussi.

Le dévoilement a eu lieu dans le cadre d’un salon dédié aux véhicules commerciaux à Hanovre en Allemagne. Tout comme l’I.D. BUZZ dit conventionnel, cette version Cargo repose aussi sur la plateforme MEB. C’est d’ailleurs sur cette dernière que sont conçus la plupart des autres prototypes électriques de Volkswagen.

Considérant que les batteries logent dans le plancher, l’I.D. BUZZ CARGO a l’avantage de proposer un centre de gravité très bas. Le constructeur avance une charge utile maximale de 800 kilogrammes (1 760 lb).

Grâce à une batterie de 111 kWh, le CARGO pourra parcourir jusqu’à 550 kilomètres (selon les normes européennes). Un panneau solaire installé sur le toit permet de prolonger l’autonomie d’environ 15 kilomètres par jour.

En plus d’être entièrement électrique, ce prototype est doté d’un mode de conduite autonome. Ainsi, en étant au volant, le conducteur pourrait assurer le suivi de ses commandes à livrer. On attend l’arrivée de ce modèle en 2021.

Mercedes-AMG GT C 2018 : en quête de succès?

Depuis la disparition de la SLS, c’est la Mercedes-AMG GT qui fait office de bolide pour la marque depuis son introduction en 2016. On voulait en faire un modèle plus abordable, qui s’adresserait un peu plus à la masse et qui se déclinerait dans une panoplie de versions. Bref, on voulait émuler ce que Porsche fait avec sa 911, c’est-à-dire offrir une variante pour tous les goûts et surtout, pour toutes les bourses.

La recette ne garantit toutefois pas le succès. Deux ans plus tard, force est d’admettre que l’AMG GT n’attire pas autant les acheteurs que certains autres bolides exotiques, rares sont les exemplaires que l’on croise sur la route comparativement à d’autres rivales. Pourtant, elle n’est pas dénuée d’intérêt et les choix sont maintenant nombreux.

À un peu plus de 134 000 $ vous obtenez le coupé de base dont le prix se compare à celui d’une 911 Carrera 4S, tout en demeurant nettement plus bas que celui de l’Audi R8 à propulsion qui se détaille à plus de 163 000 $. La Jaguar F-TYPE en version SVR entre en plein dans cette fourchette de prix, elle est même beaucoup plus puissante que l’AMG GT de base, mais tout de même moins exotique il faut l’avouer.

Un seul moteur, plusieurs puissances
Équipée du même V8 biturbo de 4,0 litres, toujours assemblé à la main chez AMG, la GT S pousse la puissance à 515 chevaux et 494 lb-pi. Elle n’est pas plus extravagante côté style, mais elle dispose d’un différentiel arrière à glissement limité contrôlé électroniquement et d’une suspension adaptative. Rien pour montrer à vos voisins le déboursé supplémentaire exigé pour cette livrée S, mais juste assez pour retrancher deux centièmes de seconde au 0-100 km/h.

La reine des GT, c’est la « R » dont la puissance atteint 577 chevaux et un couple incroyable de 516 lb-pi. Dans ce cas-ci, elle peut se frotter aux bolides tels que la Porsche 911 Turbo S et la Audi R8 V10 Plus qui sont vendues à un prix carrément plus élevé. Cette fois, la GT devient une bonne affaire.

Dans notre cas, nous avons mis à l’essai la plus puissante des cabriolets, la GT C Roadster. Vendue au prix de base de 178 000 $, elle est étonnement le second modèle le plus puissant dans l’alignement avec ses 550 chevaux. Pas de toit rigide rétractable comme on l’avait prédit lors de l’introduction du modèle, on a opté pour une capote souple entièrement électrique qui, selon le constructeur, est plus légère et moins complexe. En quelque 10 secondes, on peut profiter des plaisirs de la conduite à ciel ouvert alors que par les journées un peu plus fraîches, le système AIRSCARF de Mercedes peut, pour plus de confort, vous envoyer un peu d’air chaud dans le cou grâce à une buse intégrée dans l’appuie-tête.

Un véritable roadster
Heureusement, le toit souple n’enlève rien au design racé et exotique du modèle. Côté style, l’AMG GT arbore un profil ultrabas alors que l’habitacle est placé loin à l’arrière laissant s’étendre le long capot devant vous. Ce sont les proportions typiques d’un roadster biplace et de nos jours, certains préfèrent le design plus moderne et exotique des bolides à moteur arrière et à habitacle plus avancé.

Côté conduite, tout a été pensé afin de maximiser les performances et de maintenir un centre de gravité le plus bas possible. Le moteur dispose d’un carter sec, ce qui permet de le placer plus bas dans le châssis et d’abaisser le centre de gravité de la voiture. C’est une pompe qui fait circuler l’huile et qui assure une lubrification optimale des composantes, et ce, même lorsque la voiture est soumise à des forces latérales importantes. Autre caractéristique technique intéressante, les deux turbocompresseurs sont situés non pas à l'extérieur, mais à l'intérieur du « V » formé par les rangées de cylindres. L’avantage? Un moteur compact et une réactivité plus rapide des turbo.

Le tableau de bord est simple et l’instrumentation bien présentée. La console centrale, qui sépare le conducteur et son passager, regroupe une panoplie de commandes permettant de personnaliser la conduite. C’est assez ergonomique, mais très chargé comparativement à d’autres bolides vraiment plus épurés. La console entre le conducteur et le passager est aussi très large, très, très large. On a l’impression d’être étouffé et c’est sans doute l’élément le plus décevant à bord, car en matière de choix de matériaux, d’attention aux détails et de qualité, Mercedes-Benz sait y faire. L’effet de luxe n’est pas en défaut.

L’AMG GT possède plusieurs personnalités grâce à des programmes (Confort, Sport et Sport+) qui modifient notamment la sonorité du moteur ainsi que les réglages de la boîte de vitesses, de l’accélérateur, de la direction et de la suspension en fonction du type de conduite que vous désirez adopter. Du bout du doigt, elle passe de confortable à bestiale, tout en vous donnant la possibilité de composer votre propre recette grâce à son mode Individual qui enregistre vos préférences. Notre modèle d’essai avait un mode Racing. Devinez lequel de ces modes on préfère!

Une seule boîte est proposée. Il s’agit d’une automatique à sept rapports avec double embrayage. Si elle se comporte telle une boîte traditionnelle en conduite normale, un sélecteur vous permet d’engager le mode manuel et de passer les rapports à votre guise grâce à deux palonniers situés derrière le volant. Ce n’est pas aussi agréable qu’avec une boîte manuelle, mais à sa défense, elle est drôlement efficace et plus agréable dans la circulation.

Chevrolet Silverado 2019 : fraîchement remanié pour battre Ford et Ram

C’est une année charnière dans le segment des camionnettes pleine grandeur puisque deux des plus importants belligérants, les Ram 1500 et le Chevrolet Silverado 1500 nous arrivent pour 2019 sous une nouvelle génération. GM a décidé de nous faire découvrir les vertus de sa camionnette sur la toute dernière autoroute construite au Canada, celle qui relie Inuvik à Tuktoyaktuk au cercle arctique. Cette route, non pavée, fait 138 kilomètres de long et a été inaugurée en novembre après quatre ans de construction. La toundra s’est donc avérée l’endroit idéal pour mettre à l’épreuve les prétentions du Silverado 2019.

Puisqu’il y a une bataille de titans dans ce créneau, il n’est pas étonnant de constater que le constructeur a bien étudié la concurrence lors de la préparation de cette génération du Silverado. Les comparaisons sont inévitables, alors voyons comment ce Silverado se démarque.

Plus de caractère
Côté style, difficile de se méprendre avec l’ancienne génération. On a droit à une partie frontale entièrement remaniée au design agressif qui se distingue notamment par ses feux très effilés et intégrés très haut dans la calandre. Ça donne beaucoup plus de caractère au véhicule, surtout dans le cas des versions dédiées au hors route qui comprennent en prime des crochets rouges, détail que les amateurs apprécient.

Le hayon, sur lequel l’emblème Chevrolet a été mis bien en évidence, est plus angulaire et il est désormais possible de l’abaisser et de le relever automatiquement de l’intérieur dans certaines livrées. Les cavités intégrées aux extrémités du pare-chocs arrière servant de marchepied sont de retour, elles ont simplement été agrandies un peu afin d’accommoder les grosses pointures. Malgré tout, le hayon MultiPro et la caisse en fibre de carbone demeurent réservés au GMC Sierra 1500 2019. Dommage. On aime bien cependant l’échappement double intégré au bas du pare-chocs, une autre belle touche qui le rend maintenant plus beau que le Ford F-150.

On vise Ram et Ford
Le mot d’ordre dans le cas du Silverado, c’est d’aller voler des parts de marché au Ram 1500. Ce dernier est passé maître dans l’art d’offrir des versions attrayantes côté style, bien équipées et abordables. Ce sera donc la mission de la version Custom Trail Boss qui se veut accessible en matière de prix, mais qui comprend des équipements d’apparence qui attireront ceux à la recherche d’un modèle plus stylisé. Il intègre les éléments de l’ensemble Z71 avec en prime une suspension surélevée (deux pouces) et des pneus de 18 pouces surdimensionnés. Notre modèle d’essai disposait de l’arceau optionnel à l’arrière, l’effet était drôlement réussi. On peut aussi se procurer le LT Trail Boss qui inclut une panoplie d’équipements supplémentaires.

Si le Chevrolet Silverado 1500 2019 s’attaque au Ram et à ses modèles plus abordables, il veut aussi aller voler des parts de marché au F-150 et à ses versions haut de gamme. C’est donc les Silverado LTZ et High Country qui ont la tâche de rivaliser avec ce qui se fait de mieux chez Ford, mais on doit avouer que l’habitacle du High Country n’est toujours pas à la hauteur de celui d’un modèle Platinum chez Ford. Les plastiques et les garnitures n’ont pas le même effet de luxe ni l’aménagement en général.

Il est plus gros
Ce n’est pas une illusion, le nouveau Silverado 2019 dispose d’un empattement majoré de quatre pouces, ce qui se traduit par un gain d’un pouce dans la longueur des caisses et de trois dans l’habitacle – ceux-ci ont été directement appliqués au dégagement des jambes à l’arrière. C’est effectivement plus spacieux, mais malgré une amélioration par rapport à l’ancienne génération, le plancher n’est toujours pas complètement plat. Une utilisation plus importante de l’aluminium et de matériaux plus légers a permis de retrancher environ 204 kilogrammes (450 livres) au poids du véhicule, permettant de rehausser les capacités, maintenant en ligne avec ce que la concurrence propose.

Deux nouveaux moteurs
On veut aussi démarquer le Silverado avec un choix de motorisations plus évoluées. On retrouve toujours à la base le moteur six cylindres de 4,3 litres qui développe 285 chevaux, et tout de même capable de remorquer une charge intéressante de 8 000 lb. Le moteur à grand volume demeure le V8 de 5,3 litres qui engendre 355 chevaux et qui peut remorquer jusqu’à 11 600 lb dans sa version intégrant le système de gestion dynamique du carburant et la boîte automatique à huit rapports.

Au sommet de la gamme, il y a encore le V8 de 6,2 litres qui n’est réservé qu’à quelques livrées plus cossues. Il déploie 420 chevaux et qui vous permettra de tracter jusqu’à 12 200 lb. Malheureusement, il est impossible de l’obtenir dans les versions Trail Boss, ce qui aurait pu créer un concurrent au Ford F-150 Raptor.

Deux nouveautés seront aussi offertes plus tard cette année. GM fait le saut dans la turbocompression avec l’ajout d’un quatre cylindres de 2,7 litres qui est à peine moins puissant que le V8 de 5,3 litres en matière de couple. Son économie de carburant – mais surtout le fait qu’il vous évitera de payer chaque année la taxe des grosses cylindrées au Québec – pourrait bien le rendre fort populaire chez nous. C’est le cas du 2,7 litres EcoBoost de chez Ford. Finalement, un six cylindres turbodiesel de 3,0 litres jumelé à une boîte a dix rapports devrait remporter la palme en économie de carburant chez le constructeur.

Tout est dans le confort
Pendant les 138 kilomètres de cette autoroute non pavée, on a découvert un Silverado au sommet de son art. Malgré les trous omniprésents, le châssis est demeuré ultrarigide alors que de l’intérieur, on avait l’impression de circuler sur le pavé. La force de GM, c’est le confort en conduite par rapport à la concurrence et cette nouvelle génération le démontre encore plus, surtout au chapitre de l’insonorisation à bord.

Sa cure d’amaigrissement permet des accélérations un peu plus rapides, une demi-seconde selon le constructeur. Le moteur de 5,3 litres demeure efficace et déploie amplement de puissance alors que la boîte à huit rapports est plus agréable que l’ancienne boîte, elle est plus linéaire et les changements plus doux. L’économie de carburant est un des points forts de GM, les dernières technologies greffées au moteur de 5,3 litres maximisent le tout.

Alors que le Ram propose une suspension arrière à ressorts, on conserve l’essieu rigide et la suspension à lames chez GM, plus efficace en remorquage et lorsque le véhicule est chargé, mais avec l’extrême légèreté des caisses de nos jours, l’arrière du véhicule tend à sautiller en conduite normale et sur les bosses. Tout est toujours une question de compromis. Les nombreux virages de notre randonnée nous ont fait apprécier la direction qui se veut bien précise alors que le mode Auto, qui transfère automatiquement du couple aux roues avant en cas de perte d’adhérence, renforce l’impression de sécurité en conduite.

De nouveaux gadgets technos ont été ajoutés, mais la technologie qui a retenu notre attention, c’est l’application de remorquage qui permet de créer des profils pour vos remorques contenant notamment les paramètres de la commande de freins électriques, une liste de vérification et les informations d’entretien. La caméra arrière permet de bien voir l’attelage en tout temps, vous pourrez même relier au système une caméra supplémentaire à l’arrière de votre remorque. Pour le moment, pas de rétroviseurs latéraux qui se déploient, et ce, même avec l’ensemble de remorquage max, mais on nous promet leur arrivée en 2019.

Les prix n’ont pas été dévoilés, mais Chevrolet promet des prix de bases inférieurs à la concurrence, avec des niveaux d’équipement rehaussés.

Une Ford Mustang de 850 chevaux fabriquée en hommage aux troupes américaines

Les amoureux des automobiles connaîtront sans aucun doute l’animateur américain Jay Leno pour son garage digne des plus grands rêves. Il possède environ 270 véhicules allant de la Pagani Huayra à la Batmobile, en passant par une horde de motocyclettes. Mais récemment, à son émission, on a présenté une voiture pour le moins unique : une Ford Mustang Shelby GT500 Super Snake de 850 chevaux.

Après avoir terminé un livre traitant du célèbre Seal Team Six de la Navy, l’acteur américain Jim Caviezel, reconnu notamment pour son rôle de Jésus dans le long métrage La Passion du Christ, a pris la décision de rendre hommage aux troupes disparues au combat en fabriquant une édition unique d’une GT500 à couper le souffle. Pour ce faire, il s’est associé avec le designer de voitures Chip Foose et il s’est procuré une Mustang Shelby GT500 2014 qu’il a lourdement modifiée. De série, cette voiture est équipée d’un moteur V8 suralimenté de 5,8 litres qui développe 662 chevaux. Mais puisque les troupes militaires méritent mieux, cette chevauchée n’était pas suffisante pour l’acteur...

Il s’est donc procuré un ensemble Super Snake de Shelby American, qui permet à la voiture de passer de 662 à 850 chevaux-vapeur! Tout près du nouveau compresseur volumétrique se trouve une plaque en métal. On y retrouve les 19 noms gravés des militaires membres des SEAL décédés dans l’écrasement d’un hélicoptère Chinook abattu par des talibans lors de l’implication étatsunienne en Afghanistan en 2011. On y retrouve également une petite pensée pour le tireur de longue portée et héros militaire américain Chris Kyle sur cette plaque. Enfin, on peut apercevoir à l’arrière de la voiture un emblème comportant entre autres le logo de la mission Extortion 17, le nom de la mission lors de laquelle le Chinook a été abattu.

Une autre piste de course fermera ses portes

Le président et fondateur de SRA Karting, Michel Boisclair, a annoncé qu’il mettra fin aux activités de son complexe.Après vingt-trois saisons de karting, c’est ainsi que prendra fin le parcours de cette piste de karting le 14 octobre prochain.

Alors que d’importantes sommes devaient être investies afin de rénover l’endroit, la direction de SRA Karting a jugé qu’il était préférable d’accepter une offre d’achat. Michel Boisclair a précisé que différents promoteurs avaient signalé leur intérêt d’acquérir ce vaste terrain situé dans le parc industriel de St-Roch-de-L’Achigan.

Sur ce circuit de la région de Lanaudière ont notamment couru Lewis Hamilton, Nico Rosberg, Lance Stroll, Bruno Spengler et Andrew Ranger.

Dur moment pour le sport automobile
En effet, en avril dernier, Alan Labrosse a annoncé que l’Autodrome St-Eustache fermerait définitivement ses portes à la fin de la saison 2019.

Cette nouvelle est survenue alors que la situation n’est guère plus réjouissante pour la piste d’accélération de Pont-Rouge ainsi que l’Autodrome de Granby. Les propriétaires de ces installations établies depuis des décennies doivent constamment négocier avec les élus en raison de plaintes de bruit.

BMW M2 2018 : juste avant la compétition

Au moment d’écrire ces lignes, les concessionnaires BMW accueillent une version revampée de la M2, que l’on rebaptise M2 Competition. Légèrement recarrossée et mise à jour en matière d’équipement, elle se distingue surtout par une nouvelle mécanique, version assagie (à 405 ch) du six cylindres biturbo de la M4. Celui-ci promet des performances encore plus poussées que celles de l’édition 2018, laquelle lui concède 40 chevaux. Or, est-ce que cette dernière devient soudainement déclassée? Bien sûr que non!

En fait, la M2 lancée en 2016 a su ramener l’exceptionnelle sensation initiée avec la Série 1 M de 2011. Le plaisir d’un bolide compact, gonflé aux stéroïdes, entraîné pour les Olympiques, mais qui sait aussi se montrer docile et civilisé, le tout sans jouer les m’as-tu-vu. Pour moi, une authentique sportive comme il s’en fait trop peu. Et ne serait-ce que pour ça, il faut remercier BMW qui conserve à son catalogue une voiture de puriste.

Une voiture de puriste?
Oui. Un coupé. Pas une berline. Avec boîte manuelle, quoique l’automatique séquentielle soit aussi proposée. Et sans rouage intégral. Bref, tout ce qu’une RS 3, une AMG CLA 45, n’est pas. Cela n’enlève rien aux performances exaltantes que réalisent ces voitures, mais concernant le plaisir au volant, la concurrence n’arrive pas à la cheville de la M2. Voilà ce qui pour moi, définit une voiture s’adressant aux puristes. Moins pratique, moins tendance, mais qui ne fait pas de compromis.

Et pourtant, prendre le volant de la M2 n’est pas un supplice. Bien sûr, elle n’offre pas la douceur d’une Série 7, mais en sélectionnant le mode Confort, elle sait se montrer relativement docile. Les sièges bien sculptés sont fermes, mais confortables, et la planche de bord est assurément plus ergonomique que celle de ses rivales, lesquelles intègrent des systèmes multimédia incompréhensibles. Et puis, hormis le fait qu’il faille se contorsionner pour se glisser derrière, on constate une fois installé que l’espace n’y est pas plus restreint qu’à l’arrière d’une CLA. Bref, la M2 est « vivable » au quotidien.

Le puriste ou l’amateur de voitures ne peut également qu’apprécier les touches esthétiques uniques de ce modèle, qui se traduisent par les sièges, l’instrumentation et les nombreuses applications de fibre de carbone à bord. Dehors, la gueule musclée de la M2 transmet avec une certaine retenue, sa force de caractère. À partir d’une ligne qui au départ, n’a rien de si exceptionnel, on parvient à créer ici un bolide visiblement athlétique, affichant une prestance et un caractère unique. Le carénage avant, les ailes élargies, les rétroviseurs stylisés et le pot d’échappement quadruple y sont pour quelque chose, tout comme ces immenses jantes de 19 pouces derrière lesquelles se cachent sans grande subtilité de gigantesques disques de frein perforés de 15,7 pouces de diamètre à l’avant, et de 15 pouces derrière.

Pour 2019, de nouvelles jantes magnifiques, de nouvelles montes pneumatiques de marque Michelin ainsi qu’un museau aux lignes plus acérées viennent renforcer encore davantage le caractère de la M2. Cela dit, un modèle 2018 ne fait aucunement pâle figure à ses côtés, comme en témoigne notre modèle d’essai, équipé de l’ensemble Black Shadow (habillage noir).

De la piste à la route
Le mot d’ordre de la M2? Maniabilité. Voilà une voiture où l’équilibre des masses est quasi parfait (51/49), et qui transmet à son conducteur une sensation unique. La précision de la direction, le parfait étagement de la boîte, la force de traction du train arrière grâce au différentiel M et l’instantanéité de l’accélérateur permettent ainsi au conducteur de contrôler son bolide avec minutie et assiduité, pour toujours obtenir le meilleur des performances. Évidemment, la rigidité structurelle, l’endurance et la puissance des freins et l’extraordinaire plage de puissance du six cylindres y sont aussi pour quelque chose, mais il faut surtout retenir que cette voiture transmet au conducteur son savoir-faire avec brio. Puis, conséquemment, elle contribue à l’amélioration des compétences de ce dernier, qui apprend à faire corps avec elle.

Il va sans dire que pousser la machine à ses limites est un plaisir possible seulement sur certains circuits, mais il est également étonnant de constater à quel point cette voiture procure de belles sensations, même dans la circulation… et même sur nos routes! Pas besoin de faire révolutionner le moteur à haut régime pour tirer plaisir de la M2, qui n’affiche aucun délai à l’accélérateur, et qui malgré sa grande puissance, n’est pas agréable uniquement à vitesse illégale. Les différents modes de conduite sont d’ailleurs présents pour adapter le comportement de la voiture à la route ou la piste. Maintenant, il est clair que l’hiver n’est pas la saison favorite de la M2, chaussée de pneus de haute performance et encore une fois, dépourvue d’un rouage intégral.

2018 ou 2019
Vous serez évidemment chanceux si vous réussissez à mettre la main sur un modèle 2018, car ceux-ci se font rares. En revanche, cette option vous permettrait d’économiser quelque 6 000 $ par rapport au modèle M2 Competition 2019. Chose certaine, que vous optiez pour l’une ou l’autre de ces solutions, le plaisir au volant est garanti. Et si tel est le critère numéro un de votre liste, alors faites vite, puisque cet aspect appelé à disparaître ne semble plus faire partie des priorités des constructeurs automobiles.

D’accord, les voitures sont aujourd’hui plus performantes, plus rapides, plus endurantes. Mais à quoi bon obtenir toujours plus de performance si le plaisir n’y est pas? Voilà pourquoi la M2 demeure à mon sens l’une des meilleures sportives au monde.

BMW Z4 Roadster 2019 : la version sDrive30i arrivera en premier

On a beaucoup parlé de la nouvelle génération de la Z4, qui a été officiellement dévoilée à Pebble Beach en Californie le mois dernier. Elle concurrencera une fois de plus la Audi TT, la Mercedes-Benz SLC et la Porsche 718 Boxster. C’est la version M40i First Edition qui avait été présentée, qui serait pour le moment la version la plus dispendieuse.

Toutefois, on connait maintenant un peu plus de détails sur la BMW Z4 2019, notamment la puissance de sa motorisation de base.

En effet, à partir du mois de mars 2019, on pourra se procurer la Z4 sDrive30i, équipée d’un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres qui développe 255 chevaux ainsi qu’un couple de 295 livres-pied, disponible entre 1 550 et 4 400 tr/min. Il s’agit d’une hausse de 15 chevaux par rapport à l’ancienne Z4 à motorisation quatre cylindres, et le constructeur promet un 0-100 km/h bouclé en 5,3 secondes.

Au mois d’avril 2019, on aura également droit aux Z4 M40i et Z4 M40i First Edition 2020, profitant d’un six cylindres turbo de 3,0 litres avec 382 chevaux ainsi qu’un couple de 369 livres-pied entre 1 600 et 4 500 tr/min. Dans ce cas-ci, on annonce un chrono 0-100 km/h de 4,5 secondes.

Les deux versions de la Z4 Roadster sont munies d’un rouage à propulsion et d’une boîte automatique à huit rapports, bien que cette dernière reçoive une programmation plus sportive dans la M40i. La suspension avant est composée de jambes de force avec ressorts à doubles jointures, alors qu’à l’arrière, on a installé une suspension à cinq bras. Grâce à ces composants, BMW est sûr de proposer le meilleur compromis entre une tenue de route sportive et un confort de roulement. Quant à la direction, elle inclut une assistance et un ratio variable, permettant une plus grande stabilité en ligne droite et une sensation des plus précises dans les virages et lors des manœuvres à basse vitesse. Toujours selon les dires de BMW, bien entendu.

La M40i proposera également une suspension adaptative M Sport, des freins M Sport et un différentiel arrière M Sport, qui sont tous disponibles en option dans la Z4 sDrive30i. La suspension M Sport abaissera la caisse de la voiture de 10 millimètres, alors que le différentiel à verrouillage électronique assurera la distribution équilibrée du couple aux roues arrière, qui réduirait à la fois le sous-virage et le survirage. De série, la voiture chaussera des roues de 18 pouces avec pneus de taille mixte, alors que des roues de 19 pouces seront disponibles en option.

Évidemment, la BMW Z4 2019 sera offerte avec un bataillon d’aides électroniques de sécurité et du dernier système multimédia de la marque, version 7.0. Le conducteur profite d’un affichage numérique configurable de 12,3 pouces, alors que l’écran multimédia affichera une taille de 10,25 pouces.

Par rapport à la génération précédente, la nouvelle Z4 est plus longue de 85 mm, plus large de 75 mm et sa ligne a été élevée de 13 mm. Le volume du coffre est maintenant évalué à 281 litres – que le toit soit relevé ou non –, une amélioration de plus de 50%, selon BMW. En parlant du toit, il peut être abaissé ou remis en place en l’espace de 10 secondes, et ce, alors que la voiture est en mouvement jusqu’à une vitesse de 50 km/h.

Toutefois, on ne connait pas encore les prix de la Z4, qui seront dévoilés plus tard.

Un VUS électrique s’en vient chez GM

Après la Chevrolet Bolt, General Motors s’apprête à lancer un nouveau modèle 100% électrique sur nos routes. Et cette fois, il prendra la forme d’un VUS.

L’information n’a pas encore été confirmée par le géant américain, mais un employé de la division canadienne de GM nous a confirmé que ça s’en venait. Et vite, à part ça.

On peut s’attendre à ce que ce nouveau VUS utilise la même plateforme et les mêmes batteries que la Chevrolet Bolt. Son autonomie électrique pourrait donc se rapprocher des 383 kilomètres, comme c’est le ca pour la Bolt.

Rien n’est encore certain, mais il ne serait pas surprenant de voir l’une des marques de GM (Chevrolet, Buick, Cadillac ou GMC) présenter ce VUS électrifié dès novembre prochain, à l’ouverture du Salon de l’auto de Los Angeles.

Côté design, GM nous a déjà donné une bonne idée de ce vers quoi elle voulait s’en aller avec le .0 un concept présenté au printemps 2017 qui pourrait bien devenir une source d’inspiration pour un futur VUS électrique de production.

La folie des VUS
À l’heure où les consommateurs sont nombreux à délaisser les voitures traditionnelles pour se tourner vers des VUS, GM aurait tout avantage à appliquer la recette de la Bolt à un véhicule à plus gros gabarit munis d’un rouage intégral

Le constructeur américain n’est d’ailleurs pas le seul à plancher sur un tel projet.

Hyundai s’apprête à commercialiser une variante électrique de son Kona, un petit VUS aussi offert avec un moteur à essence.

Chez les allemands, Mercedes-Benz et Audi ont dévoilé tour à tour deux VUS qui entreront en production au cours des prochains mois, l’EQC et l’e-tron Quattro.

Visiblement, les constructeurs automobiles sont en train de se réveiller. Et d’ici deux ou trois ans, l’offre de véhicules électriques sera largement supérieure à la poignée de modèles qu’on nous propose actuellement.

En attendant, Tesla demeure le seul constructeur au pays à offrir un VUS entièrement électrique.

La Rolls-Royce de Muhammad Ali est à vendre

Une Rolls-Royce 1970, c’est déjà un véhicule de collection en soi. Mais quand elle a appartenu à l’un des plus grands athlètes de l’Histoire, elle devient encore plus attrayante.

Le mois prochain, la firme Bonhams mettra aux enchères l’ancien véhicule personnel du boxeur Muhammad Ali, une Rolls-Royce Silver Shadow Mulliner Park Ward convertible. Il s’agit de l’une des rares 272 unités de ce modèle ayant été construit avec un volant à gauche.

Selon Bonhams, Ali aurait fait l’acquisition de ce bijou britannique à l’état neuf en 1970 et l’aurait conservé pendant six ans. La voiture a ensuite abouti en Europe. C’est d’ailleurs en Belgique que sera tenu l’encan pour sa mise en vente, le 5 octobre.

Jamais restauré, l’ancien bolide de Muhammad Ali serait toujours équipé de sa mécanique d’origine, un bloc à huit cylindres capable de pousser ce salon sur roues jusqu’à 190 km/h. À l’époque, c’était pas mal!

Malgré tout le prestige entourant les Rolls-Royce, la valeur d’une Silver Shadow 1970 n’est étonnamment pas si élevée. Bonhams s’attend à ce que la vente rapporte un montant se situant entre 60 000 et 90 000$ CAD.

À moins qu’un fan fini de Muhammad Ali ne décide de s’en mêler...

Ça sent la fin pour la Chrysler 300

La Chrysler 300 vivrait sur du temps emprunté.

D’ici 2020, Chrysler entendrait jeter la serviette avec cette berline pleine grandeur, offerte sur le marché depuis maintenant plus de dix ans.

C’est du moins ce que rapporte Automotive News Canada, par le biais d’une entrevue avec Jaspal Brar, Président de la section 1285 d’Unifor, qui représente les travailleurs de l’industrie automobile de Brampton, où la Chrysler 300 est actuellement construite.

Selon M. Brar, qui souligne que rien n’a encore été confirmé par le constructeur, Chrysler aurait l’intention de cesser la production de la 300 pour intégrer un nouveau modèle sur la chaîne d’assemblage ontarienne.

Toujours selon Automotive News Canada, une petite minifourgonnette électrique pourrait remplacer la 300 chez Chrysler. Il s’agirait d’une version de production du Portal Concept présenté par le constructeur en janvier dernier.

Chez Chrysler, toutefois, aucune de ces informations n’a été confirmée. Daniel Labre, responsable des communications au Québec pour Fiat Chrysler Automobiles, a confirmé que la 300 serait bel et bien de retour pour 2019. Questionné à savoir si ce serait aussi le cas en 2020, il a indiqué ne pas pouvoir commenté sur les produits futurs.

Offerte chez Chrysler depuis 2005, la Chrysler 300 est construite à partir de la même plateforme qui sert aussi au développement des Dodge Charger et Challenger.

Actuellement, la 300 est l’un des deux seuls modèles toujours offerts par la marque Chrysler au Canada, aux côtés de la Pacifica.

L’an dernier, la 300 s’est écoulée à 4332 exemplaires au Canada. C’est largement supérieur à ce qui a été réalisé par ses deux concurrentes directes, la Ford Taurus et la Chevrolet Impala.

Mercedes-AMG A 35 2019 : allons-nous l’avoir?

Avec la toute nouvelle Mercedes-Benz Classe A qui arrivera dans les concessionnaires canadiens au début de l’année 2019, il serait tout à fait normal pour le constructeur d’également offrir une déclinaison haute performance AMG. Du moins, c’est ce qu’on espère, car nous sommes des fervents de l’AMG CLA 45.

Et c’est exactement ce à quoi on peut s’attendre de la part de la nouvelle compacte allemande sous la déclinaison AMG A 35, sauf que pour le moment, on ne sait pas si nous allons y avoir droit…

Rien de confirmé pour notre marché
Les images que vous voyez ici semblent illustrer la toute nouvelle déclinaison AMG du modèle, qui sera présentée au Salon de Paris dans quelques semaines. Cependant, pour le moment, Mercedes-Benz nous dit qu'aucune déclinaison AMG de la Classe A est prévue au Canada pour 2019.

C'est étrange, et un peu triste, car la Classe A à hayon sera vendue ici, contrairement à nos voisins du sud qui n’auront droit qu’à la berline. L'AMG A 35 serait alimentée par le quatre cylindres turbo de 2,0 litres du constructeur, délivrant une puissance de 306 chevaux, un couple de 295 lb-pi , et affichant un 0-100 km/h sous la barre des cinq secondes. Une déclinaison A 45 encore plus véloce serait prévue en cours de route avec 400 chevaux au menu!

Le constructeur promet une transmission intégrale 4Matic, une boîte automatique à double embrayage à sept rapports, une suspension et un échappement ajustables, ainsi qu'un tout nouveau mode "Slippery" qui aidera, selon Mercedes-Benz, au petit bolide de mieux se comporter en situation glissante. La A 35/45 incorporera également un nouveau système de la gestion des modes de conduite que le constructeur nomme AMG DYNAMICS.

Bien entendu, l’arrivée de la Classe A risque de donner naissance à une nouvelle mouture du GLA, le VUS sous-compact de Mercedes-Benz. Donc, même si on n'aura pas cette version de la Casse A sur nos routes, une déclinaison AMG du VUS sera sans doute commercialisée, car c’est un véhicule qui affiche une performance de vente intéressante. Pour ce qui est de cette rutilante Mercedes-AMG A 35 à hayon peinte en jaune, il faudra attendre au Salon de Paris pour en obtenir plus de détails.

Top 10 des nouvelles caractéristiques du Chevrolet Silverado 1500 2019

Avec le lancement de la nouvelle génération du Chevrolet Silverado 1500, plusieurs nouveaux équipements et moteurs seront disponibles. Voici donc un top 10 des éléments qui doivent retenir votre attention chez le Silverado.

1. Gestion dynamique de carburant
Le tout nouveau Chevrolet Silverado 1500 2019 offrira avec ses moteurs V8 un système unique sur le marché, le Dynamic Fuel Management (DFM). Ce dernier permettra aux moteurs de 5,3 litres et de 6,2 litres de n’utiliser qu’un seul cylindre si c’est réellement ce dont il a besoin.

2. Un choix de six moteurs
Dans cet ordre d’idées, il convient de parler des six moteurs offerts par le manufacturier. On offrira un V8 de 6,2 litres jumelé à une boîte automatique à 10 rapports (420 chevaux) ainsi qu’un V8 de 5,3 litres disposant soit de la gestion active de carburant avec boîte automatique à six rapports (355 chevaux), soit de la gestion dynamique de carburant avec boîte à huit rapports (355 chevaux). Il y aura également un quatre cylindres turbo de 2,7 litres (310 chevaux), un V6 de 4,3 litres (285 chevaux) et un six cylindres en ligne turbodiesel Duramax.

3. Plus aérodynamique
Selon les dires du fabricant, la version 2019 de sa camionnette pleine grandeur sera plus aérodynamique ce qui entraînera des économies de carburant substantielles. Chevrolet annonce une réduction de la trainée aérodynamique de 7% grâce, entre autres, à l’aileron à l’arrière de la cabine ainsi qu’aux ouvertures de chaque côté de la calandre.

4. Plus léger
En parlant de poids, l’édition 2019 du Silverado 1500 serait quelque 204 kilogrammes (450 livres) plus légère que sa devancière grâce à l’utilisation de matériaux plus légers.

5. Système multimédia amélioré
Le Chevrolet Silverado 1500 2019 sera équipé d’un système multimédia Chevrolet Infotainment System avec un écran tactile de sept ou de huit pouces, selon la déclinaison et les ensembles d’options choisies. Dans tous les cas, l’intégration Apple CarPlay et Android Auto figure de série.

6. Huit déclinaisons
Dès son lancement, huit variantes du Chevrolet Silverado 1500 2019 seront disponibles, y compris : Work Truck, Custom, Custom Trail Boss, LT, RST, LT Trail Boss, LTZ et High Country.

7. Une tenue de route exemplaire
Lors de la mise à l’essai de cette camionnette par notre journaliste William Clavey, il a affirmé sans retenue : « j’ai personnellement été épaté par la tenue de route de la bête qui, malgré sa configuration de cadre en acier et sa suspension arrière montée sur lames, s’est montrée stable, maniable, voire presque un peu sportive, ressemblant d’ailleurs aux prouesses dynamiques d’une construction monocoque, comme sur un Honda Ridgeline. Bravo à GM d’avoir aussi bien calibré une suspension si rudimentaire. »

8. Une version Trail Boss athlétique
Pour ce qui est du Trail Boss, il vient muni d’amortisseurs et de ressorts repensés pour la conduite hors route, de cardans plus robustes et de plaques de protection. Voyez-le comme le concurrent d’un Ford F-150 FX4 ou d’un Toyota Tundra TRD Pro, plutôt que le rival du Ford F-150 Raptor ou du Ram 1500 Rebel.

9. De l’acier, encore de l’acier
Chevrolet a décidé de conserver l’acier pour la boîte et le châssis, mais de remplacer les portières, le capot et le panneau arrière par l’aluminium. Ainsi, les sections mises à l’épreuve comme le hayon et le coffre ne risqueront pas de tordre ou de sectionner.

10. Espace de rangement dans les sièges
Avec l’édition 2019, on trouvera deux espaces de rangement supplémentaires dans le dossier des sièges sur la banquette arrière.

Installer soi-même une attache remorque

Que l’on soit sportif, bricoleur ou du type aventurier, l’ajout d’une attache remorque sur son véhicule peut s’avérer une option plutôt intéressante. Bien entendu, la première étape consiste à s’informer s’il est à tout le moins possible de le faire (les propriétaires de Ferrari risquent d’être déçus…). Ensuite, il serait sage de consulter son manuel du propriétaire afin de connaître la capacité de remorquage de son bolide (sinon, il y a toujours le site web du Guide de l’auto!). Ayant ces données en tête, vous pourrez prévoir une utilisation allant d’une roulotte à un support de vélos en passant par une petite remorque. L’essentiel est de se garder un certain pourcentage « coussin » pour ne pas excéder la capacité de remorquage lorsque l’on ajoute bagages et passagers.

Contrairement à ce que certaines publicités semblent suggérer, il n’est pas vraiment nécessaire de se procurer une camionnette de 70 000 $ pour tracter une remorque et 3 bouts de 2x6 quelques fois par année. J’exagère à peine, mais pour la plupart des gens, une voiture ou un VUS compact, intermédiaire ou encore une fourgonnette pourra tracter suffisamment pour les petits travaux ou pour une caravane légère.

L’achat du matériel requis peut se faire à divers endroits. Que ce soit chez le concessionnaire ou dans un atelier spécialisé, ceux-ci offriront le service d’installation tandis que les plus manuels se tourneront vers les magasins à grande surface, les détaillants de pièces automobiles ou vers internet. Bref dans tous les cas, un bon magasinage s’impose.

L’installation de l’attache remorque varie d’un véhicule à l’autre et le degré de difficulté aussi. D’ailleurs, la plupart des entreprises spécialisées dans le domaine fourniront un manuel d’installation indiquant les marches à suivre, les outils requis ainsi que le temps moyen d’installation. Ces informations sont, encore une fois, également disponibles en ligne dans la majorité des cas.

Si certains modèles de voitures possèdent déjà des trous filetés à l’arrière du châssis, d’autres auront besoin d’être percés afin de recevoir la quincaillerie requise pour l’installation de l’attache remorque. Pensez à enduire les endroits percés d’huile, de graisse ou de toute autre forme de protection pour éviter la corrosion à long terme. Si l’on travaille sur un modèle avec des trous filetés exposés aux éléments depuis quelque temps, passer un taraud afin de nettoyer ces derniers facilitera de beaucoup la tâche. Dans certains cas, il sera aussi nécessaire de faire un peu de « bricolage » avec les panneaux de protection sous le véhicule.

Si l’on désire remorquer, il faut habituellement se procurer un module convertisseur à 4 ou 7 broches pour les feux arrière de la remorque ou du VR. Contrairement aux remorques, la plupart des voitures sont munies d’ampoules de clignotant indépendantes de celles de frein, rendant ce genre de dispositif indispensable. Le plus simple est d’opter pour un modèle conçu pour le véhicule avec des connecteurs en « T ». C’est-à-dire qu’il n’est pas obligatoire de faire les jonctions des fils soi-même.

Sinon, pour les plus économes, il y a les modèles dits « universels », plus abordables. Dans ce cas-ci, il faudra déterminer où faire les branchements ainsi que l’emplacement où l’on souhaite installer le module. Après, on peut choisir de garder la prise de branchement à l’intérieur du véhicule ou de la fixer à l’attache remorque. Dans le dernier cas, des adaptateurs de fixation existent s’il n’y en a pas sur l’attelage. Si elles sont exposées aux éléments, il serait sage d’appliquer une bonne dose de graisse diélectrique sur les broches afin d’empêcher la corrosion.

Certaines applications exigeront l’ajout d’un contrôleur de freins électrique, certaines remorques en étant pourvues. Si quelques modèles de véhicule (plus souvent les camionnettes) sont équipés de connexions installées d’usine, les autres feront appel à votre système « D ». L’important est de s’assurer que l’installation et les branchements sont faits de façon sécuritaire et munis d’un circuit de protection (fusible) approprié. En cas de doute, consulter un professionnel pourrait vous éviter les gaffes dispendieuses.

Si l’on procède à ce genre de travail sur une voiture récente dotée, par exemple, d’un système de précollision ou de feux arrière à DEL, certaines précautions s’imposent. Des convertisseurs avec alimentation ainsi que des dispositifs tels des diodes éviteront la pléiade de témoins d’anomalies qui risquent fort de briller de mille feux sur votre tableau de bord. Encore une fois, demander de l’aide pourrait vous épargner de bien mauvaises surprises.

Finalement, il reste à déterminer le diamètre de la boule d’attelage ainsi que la hauteur de la main d’attache désirée. Idéalement, ranger l’ensemble lorsque l’on ne tracte pas évitera que celui-ci soit soudé par la rouille dans le récepteur avec le temps. Sinon, il y a toujours le vieux truc de la balle de tennis…

Nissan et Mitsubishi adoptent le système multimédia Google

Aujourd’hui marque une journée importante pour Google et son désir de percer le marché des systèmes multimédias équipant les voitures de production actuelles. Effectivement, plus tôt dans la matinée, le groupe automobile Renault-Nissan-Mitsubishi (ci-après Le Groupe) a annoncé que ses prochains modèles intègreront les applications et les services de Google comme son système de navigation ainsi que son système de commandes vocales Google Assistant.

Actuellement, une large majorité de constructeurs utilisent les logiciels provenant de Linux, Microsoft ou QNX pour gérer leur système multimédia. Mais avec un volume de ventes frôlant les 11 millions de véhicules, Le Groupe change drastiquement la donne. Selon un analyste chez AFS Jauke de Jong cité par l’agence Reuter, « la majorité des manufacturiers automobiles sont frileux de faire des affaires avec Google, mais cette position pourrait changer rapidement. Nombreux sont les fabricants qui pourraient emprunter le même chemin et s’associer avec Google ».

Depuis quelque temps, Le Groupe fait affaire avec un spécialiste de la navigation comme TomTom. Et si d’autres géants de l’automobile décidaient de changer le cap et d’utiliser Google comme fournisseur, plusieurs autres acteurs importants des technologies comme TomTom pourraient devoir faire face à une crise importante.

Pour le consommateur, la nouvelle est encourageante dans l’optique où le développement des applications supportées par la plateforme Android sera mis de l’avant par Google dans les voitures et, ultimement, amélioré pour une meilleure expérience d’utilisation. Hadi Zablit, Chef du développement de l’alliance, affirme que « le système actuel ne permet l’utilisation de la plateforme qu’à l’extérieur du véhicule ou seulement de manière limitée en connectant l’appareil Android au système du véhicule. Cette expérience d’utilisation sera enrichie ».

Le premier véhicule équipé d’un système Android sera lancé en 2021. Aucun détail financier concernant l’entente n’a été dévoilé pour le moment.

Ram lance le Power Wagon Mojave Sand 2018

Le segment des camionnettes et très fertile en déclinaisons, que ce soit pour le travail, les aventures hors route ou pour afficher un côté plus luxueux. La marque Ram vient justement d’annoncer le 2500 Power Wagon Mojave Sand, proposant un ensemble esthétique offerte seulement lors du dernier trimestre de 2018.

Cette édition limitée a été conçue pour attirer une clientèle fervente des sentiers hors route qui désirent se démarquer. Comme l’a affirmé Jim Morrison, chef de la division Ram chez FCA Amérique du Nord, « l’édition spéciale Ram Power Wagon Mojave Sand est destinée aux consommateurs à la recherche d’une camionnette qui se distingue par ses capacités de chargement, de remorquage et ses capacités hors route. »

Selon Ram, c’est la première fois que cette couleur est offerte sur une camionnette pleine grandeur du constructeur. En plus d’un habillage unique, on lui accorde des jantes noires qui accueillent des pneus Goodyear Wrangler DuraTrac de 33 pouces, un habitacle entièrement noir, un système multimédia Uconnect accompagné d’un écran tactile de 8,4 pouces, d’un éclairage de caisse à DEL, de rétroviseurs chauffants et rabattables et plus.

Le Ram 2500 Power Wagon Mojave Sand 2018 sera disponible avec une cabine multiplace et un rouage 4x4 d’ici quelques semaines dans les concessions et jusqu’à la fin du dernier trimestre de 2018. Il se détaillera à partir de 61 865 $ plus les frais de transport et de préparation de 1 895 $. Il est alimenté par un moteur V8 6,4 litres HEMI de 410 chevaux.