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Aston Martin Valkyrie : montez le son!

Une courte vidéo au cours de laquelle on peut apprécier la sonorité de la nouvelle Aston Martin Valkyrie a été mise en ligne.

Elle a d’abord été publiée sur le compte Twitter d’Andy Palmer, PDG de ce constructeur britannique.

On vous met au défi de ne pas avoir la chair de poule en la visionnant.

Cette mélodie provient, vous l’aurez deviné, du moteur de cette Aston Martin Valkyrie. Et si elle ressemble à celle d’une voiture de Formule 1, c’est parce que son moteur V12 atmosphérique de 6,5 litres serait inspiré du V8 de 2,4 litres Cosworth conçu pour la course automobile. C’est ce qu’on apprend sur Autoblog.

En ce qui concerne la puissance de ce supercar, certaines rumeurs laissent entendre qu’elle avoisinerait les 1 000 chevaux. Et grâce à un système de récupération d’énergie, cette puissance pourrait atteindre environ 1 130 chevaux.

Cet impressionnant moteur devrait être capable de révolutionner jusqu’à 11 000 tours/minute.

Voiture autonome : Honda investit avec General Motors

Le groupe automobile japonais Honda va investir 2,75 milliards de dollars dans Cruise – l’unité de voiture autonome de General Motors – pour participer à la révolution de la conduite sans chauffeur et en faire un produit de masse.

« C’est la prochaine étape logique dans la relation entre General Motors et Honda, vu notre collaboration dans les véhicules électriques et notre intégration étroite avec Cruise », a affirmé la PDG de GM, Mary Barra, dans un communiqué.

Quatre mois après Softbank, le géant japonais des télécoms et services en ligne qui avait déjà mis 2,2 milliards de dollars dans Cruise, pour une part un peu inférieure à 20%, Honda va prendre une participation pour 750 millions de dollars.

« Honda a choisi de travailler avec Cruise et General Motors à cause de leur leadership dans la technologie des véhicules autonomes et électriques et notre vision commune d’un monde avec zéro-émission et zéro-collision », a expliqué Seiji Kuraishi, responsable de Honda.

Le groupe japonais s’est aussi engagé à investir deux milliards de dollars supplémentaires sur 12 ans dans Cruise, dont General Motors a fait une unité indépendante pour attirer les investissements. Cette prise de participation valorise Cruise à quelque 14,6 milliards de dollars.

Les voitures autonomes de Cruise sont à l’essai sur les routes en Californie, en Arizona ou encore dans le Michigan, mais leur déploiement reste relativement confidentiel, comme celui de tous les autres acteurs de ce secteur.

En masse
Avec Honda, « nous pouvons donner à Cruise le meilleur design du monde, l’expertise en ingénierie et en fabrication ainsi que la dimension mondiale pour en faire le leader dans la technologie des véhicules autonomes, pendant qu’ils poursuivent le déploiement de voitures sans conducteur à grande échelle », a souligné Mme Barra.

La conduite autonome est considérée comme le prochain eldorado de l’industrie automobile en combinaison avec la voiture électrique. Les grands noms du secteur en sont, tout comme les constructeurs plus récents comme Tesla, des géants du high-tech (Waymo né chez Google), ou ceux de l’économie de partage comme Uber.

Toyota avait ainsi annoncé en août investir 500 millions de dollars dans Uber, pour renforcer son alliance avec le groupe américain de voitures avec chauffeur (VTC) dans l’objectif de développer ensemble des véhicules autonomes.

« C’est de plus en plus évident, il s’agit là d’un effort qui demande beaucoup, beaucoup de ressources pour arriver au but et nous sommes contents que Honda soit venu nous rejoindre », a souligné le président de GM, Dan Ammann pendant une téléconférence avec les journalistes.

Il a souligné que les développeurs travaillaient « aussi vite que possible » pour déployer la nouvelle technologie, sans donner de date.

« Nous vous donnons juste un avant-goût de ce que sera le futur », a-t-il ajouté.

Plus sûr
Ces sommes énormes investies et les alliances qui se nouent traduisent la difficulté de mettre en œuvre une technologie qui soit sûre et qui puisse convaincre le conducteur lambda que le dispositif de capteurs couplé à de l’intelligence artificielle saura faire mieux que lui et l’amènera à bon port en toute sécurité.

C’est cet enjeu d’image et de confiance qui fait que chaque incident impliquant une voiture autonome fait la une.

Ainsi, Uber a arrêté ses essais pendant plusieurs mois après un accident mortel en mars impliquant une de ses voitures autonomes en Arizona. L’entreprise a repris en juillet ses essais sur voie publique, mais en mode manuel.

Le groupe a expliqué qu’à l’occasion des nouveaux tests à Pittsburgh (Pennsylvanie), les véhicules autonomes seraient équipés d’un système de surveillance du conducteur « pour s’assurer que les opérateurs demeurent attentifs derrière le volant ».

Waymo a lui aussi connu un certain nombre d’accidents, mais ils étaient en général causés par des conducteurs « humains ».

Voici comment transformer votre Porsche 911 en véhicule hybride!

Puisque le manufacturier de voitures sportives Porsche n’offre toujours pas sa 911 ou sa 718 en déclinaison hybride, une compagnie californienne nommée Vonnen a décidé de développer un système électrique conçu expressément pour les voitures du constructeur. En échange de plusieurs dizaines de milliers de dollars, on vous offre de jumeler une énergie électrique à votre moteur à combustion pour une augmentation de 175 chevaux et un couple de 150 lb-pi!

Si vous possédez une Porsche 911, une 718 Cayman ou une 718 Boxster construites entre 2012 et 2016 ainsi que certaines 911 GT3, GT4 et Turbo, l’ensemble Vonnen pourrait vous convenir. Pour l’installation du système dans les voitures munies d’un rouage à propulsion, l’équipe fixe le moteur électrique entre le moteur à combustion et la boîte de vitesses sans rien couper ou modifier sous la voiture. Toutefois, si vous possédez une voiture munie d’un rouage intégral, on devra modifier l’arbre de transmission pour installer le moteur électrique de 17 kilogrammes sous la voiture. Ensuite, on ajoute une batterie de 400 ampères et 144 cellules dans le coffre avant du véhicule ainsi que deux systèmes de refroidissement en plus de celui déjà présent dans la voiture.

Prenez bien soin de vous asseoir confortablement avant de lire le coût de cet ajout. Cet ensemble électrique jumelé au moteur à combustion de votre Porsche est offert à partir de la coquette somme de 75 000 $ US, selon le degré de performances désiré. Alors si vous tenez absolument aux 150 chevaux additionnels, vous devez commencer à économiser ou bien attendre que Vonnen commercialise son second ensemble qui offrirait un supplément d’environ 350 chevaux. Nul besoin de vous dire que le prix sera conséquemment supérieur…

Subaru Ascent 2019 : beaucoup plus sérieux

Si vous avez récemment croisé un imposant VUS arborant l’emblème Subaru, sachez que c’est le tout nouveau Ascent, le plus gros véhicule jamais assemblé par le constructeur japonais. Ce n’est toutefois pas la première incursion de Subaru dans ce segment : vous vous souvenez certainement du Tribeca, un véhicule réputé pour son design polarisant, notamment avec sa grille en bouche de poisson. Outre ce style qui en a fait jaser plus d’un, le Tribeca n’était simplement pas à la hauteur de ses concurrents; d’où sa disparition.

Dans le cas de l’Ascent, on s’est assuré que ses lignes ne soient pas au cœur des discussions. On lui a octroyé un look lui permettant de se fondre dans la masse, peut-être trop. Dans les versions cossues, les garnitures chromées supplémentaires et les roues de 20 pouces apportent toutefois du dynamisme au véhicule.

C’est principalement dans l’habitacle que l’Ascent marque ses points. Il fournit aux familles toutes les fonctionnalités d’une fourgonnette dans un environnement contemporain. Ses caractéristiques parlent d’elles-mêmes : 19 porte-gobelets, huit ports USB, plusieurs prises 12 volts et un espace de chargement parmi les plus spacieux de sa catégorie! Ses trois rangées de sièges peuvent accueillir huit passagers, un de moins si vous choisissez la configuration incluant deux sièges capitaines dans la seconde rangée. C’est moins pratique, mais nettement plus confortable, surtout que ces sièges se glissent vers l’avant afin de faciliter l’accès aux places arrière. Bref, le véhicule est bien pensé.

On apprécie également l’aménagement du tableau de bord. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus moderne, mais on retrouve au moins un écran tactile qui permet de contrôler un peu tout à bord et qui intègre de série la compatibilité avec Apple CarPlay et Android Auto. Un autre petit écran est placé plus haut sur le tableau de bord et présente quelques données de base dans un style d’affichage assez simpliste. Il n’est pas très utile en sachant que ces informations pourraient être affichées directement dans le bloc d’instrumentation.

Pas l’âme d’une WRX
Lorsque l’on parle de Subaru, on a en tête l’Outback, mais surtout ses modèles à vocation plus sportive, la WRX et son bestial dérivé, la STI. L’Ascent n’a certainement pas l’âme et l’ADN de la WRX. Il dispose sous le capot d’un quatre cylindres turbocompressé de 2,4 litres, bien qu’on se serait attendu à un V6 vu la vocation et la stature du véhicule. Avec ses 260 chevaux, ce moteur est moins puissant que plusieurs de ses concurrents, seul le Mazda CX-9 hérite d’une mécanique et de chiffres similaires. Heureusement, le couple du moteur, chiffré à 277 lb-pi, est un peu plus en ligne avec les autres et on peut l’alimenter en carburant ordinaire.

Sur la route, le couple du moteur sauve un peu la mise et, si vous circulez seul ou en région urbaine, on ne s’aperçoit pas trop des limitations de cette petite cylindrée. C’est un tantinet plus marqué lorsque le véhicule est chargé ou dans les zones montagneuses. La seule boîte offerte, c’est une automatique à variation continue. Comme vous le savez, ce type de boîte favorise l’économie de carburant tout en extirpant la puissance des petites mécaniques, mais son comportement est beaucoup moins agréable. Elle tend à maintenir les révolutions très hautes et dans le cas de l’Ascent, à mettre davantage en évidence la sonorité atypique du moteur à cylindres à plat.

Malgré son poids, l’Ascent demeure un routier assez compétent. On ne perçoit pas d’effet de lourdeur, la suspension fait du beau boulot afin de maîtriser le tout. On a une impression de contrôle, surtout que les nombreux réglages du siège et du volant favorisent une bonne position de conduite. La vision est excellente grâce aux grandes surfaces vitrées, que tous les passagers apprécieront.

Qui dit Subaru dit rouage intégral et l’Ascent ne fait pas exception. Il est équipé de série d’un rouage intégral à prise constante, l’un des systèmes les plus efficaces sur le marché. Contrairement aux systèmes sur demande, qui réagissent uniquement aux pertes d'adhérence, celui de Subaru est toujours en fonction, ce qui maximise son efficacité et le temps de réponse. Vous avez un chalet en région éloignée? Aucun problème, l’Ascent vous y conduira, spécialement s’il est chaussé de bons pneus.

Fait intéressant, l’Ascent dispose d’une capacité de remorquage maximale se situant dans la moyenne du segment, 5 000 lb (2 268 kg), ce qui lui procure un avantage si la chose vous importe. Dans ce cas, il faudra éviter la version de base puisque l’absence de refroidisseur de transmission réduit la capacité à 2 000 lb (907 kg).

Avec l’Ascent, Subaru se dote d’un véhicule capable de rivaliser avec la concurrence, mieux que le Tribeca. Il ne bouscule rien dans le segment, mais il représente un choix supplémentaire pour ceux qui ont besoin de ce type de véhicule.

Voici à quoi pourrait ressembler la nouvelle Toyota Supra 2019

Près de 16 ans après l’arrêt de production de la Toyota Supra, soit en 2002, le constructeur a annoncé officiellement le retour de son bolide sport, véhicule qui a marqué l’imaginaire de plusieurs passionnés depuis son lancement en 1978. Également connue sous le nom A40, la Supra originale a été suivie de trois générations : la A60 en 1981, la A70 en 1986 et la A80 en 1993. Qui ne se souvient pas de cette quatrième génération, un véhicule mythique qui n’a jamais cessé d’exister virtuellement dans les jeux vidéo? Elle tenait aussi la vedette dans le premier opus de la série de films Rapides et dangereux, et elle aurait certainement mérité un Oscar.

Après avoir été présentée sous forme de véhicules concepts, incluant la FT-1 en 2014, la Toyota Supra fera officiellement son retour sous peu, et la version de production devrait être présentée au prochain salon de l'auto Détroit en janvier. Plusieurs photos-espions ont filtré depuis le temps, mais un amateur a récemment publié sur le forum SupraMKV quelques images qui s’approchent drôlement de ce à quoi la version de production pourrait ressembler, surtout si on la compare avec la Supra habillée en camouflage présentée au dernier festival de Goodwood.

La voiture a été développée en partenariat avec BMW et utilisera la même plate-forme que la BMW Z4. Selon les rumeurs, la voiture pourrait recevoir un moteur six cylindres de 3,0 litres turbocompressé dont la puissance se situerait dans les 335 chevaux. Le tout jumelé à une boîte automatique à huit rapports; pas de manuelle au catalogue.

Chose certaine, cette nouvelle Toyota Supra fera un retour remarqué, et nous espérons qu’elle sera à la hauteur de la réputation qu’elle doit soutenir.

Un Rolls-Royce Cullinan… limousine!

Parce que le Rolls-Royce Cullinan est trop modeste pour une mince partie d’acheteurs, Klassen en a conçu une version limousine.

Considérant que le prix de base du Rolls-Royce Cullinan d’environ 400 000 $ CAN, personne ne sera étonné d’apprendre que cette version allongée soit encore maintes fois plus coûteuse. Dans les faits, son prix dépasse les 2,6 M$ CAN.

Histoire de faciliter l’entrée et la sortie des passagers, les portières arrière sont désormais plus longues que sur le modèle de série. On note aussi que la longueur totale de ce VUS de grand luxe a été étirée de 1 016 millimètres. Ainsi, la version limousine mesure 6 357 mm de long.

Sous le capot avant de ce Cullinan allongé, la motorisation est inchangée. Il s’agit d’un bloc V12 biturbo de 6,75 L qui génère 563 chevaux et un couple de 627 livres-pied.

Dans l’habitacle, une chaîne Bang & Olufsen se charge de jouer vos pièces musicales préférées. Comme si ce n’était pas suffisant, cette limousine peut également se vanter d’être blindée.

Klassen n’en est pas à sa première transformation. En effet, elle a aussi allongé des Mercedes-Maybach Classe S, Range Rover Autobiography, Bentley Bentayga et Mercedes-Benz Classe G.

Robert De Niro prête son nom au e-Niro de Kia

Quoi qu’on pense des ruses marketing qui suscitent notre intérêt pour des fins de consommation, on doit lever notre chapeau à certaines idées à la fois créatives et ludiques de certaines agences publicitaires. Récemment, le manufacturier automobile Kia a mis de l’avant une campagne promotionnelle mettant en vedette l’acteur américain bien connu Robert De Niro. Et devinez à quelle voiture il est associé? Le très écologique e-Niro, bien évidemment!

Dans le cadre du Mondial de l’automobile 2018 à Paris, le manufacturier a annoncé le lancement d’une campagne promotionnelle pour la déclinaison 100% électrique du Niro. Malheureusement, cette campagne ne sera diffusée qu’en Europe tant sur les plateformes médiatiques électroniques que dans les médias traditionnels. Selon le vice-président marketing chez Kia Motors Europe, Artur Martins, « le plan de communication pour l’e-Niro sera aussi spécial que la voiture elle-même. Les annonces publicitaires mettront de l’avant la capacité unique de De Niro pour divertir et éduquer […] les consommateurs. »

Disponible en versions hybride et hybride rechargeable, le Kia Niro s’est récemment mérité le prix du Véhicule utilitaire vert canadien de l’année 2018 de l’Association des journalistes automobile du Canada (AJAC). Ajoutez-lui le groupe motopropulseur électrique de nouvelle génération de Kia et vous obtiendrez un petit véhicule familial assez exceptionnel pouvant parcourir jusqu’à 240 kilomètres avec une pleine charge de sa batterie de 39,2 kWh ou encore plus de 380 kilomètres à l’aide de la batterie au lithium polymère de 64 kWh en option.

La BMW i3 2019 disposera d’une plus grande autonomie

La petite voiture 100% électrique de BMW obtiendra une fois de plus une batterie de plus grande capacité, qui fera augmenter son autonomie d’environ 30%, selon les dires du constructeur.

Grâce à son bloc-batteries de 42,2 kWh, la i3 serait en mesure d’afficher une autonomie maximale estimée à 246 kilomètres, en hausse par rapport à l’édition 2018 qui pouvait rouler jusqu’à 183 kilomètres sur une pleine charge – selon les données publiées par Ressources naturelles Canada.

Lors de l’introduction de la i3 sur le marché pour le millésime 2014, sa batterie disposait d’une capacité de 22,6 kWh, conférant à la voiture une autonomie d’environ 130 km. En 2017, la capacité de la batterie avait été augmentée à 33 kWh. Dans tous les cas, les dimensions des batteries sont demeurées inchangées.

L’option du prolongateur d’autonomie, populaire auprès des acheteurs de BMW i3 au Canada, est toujours disponible. Le constructeur n’a pas encore obtenu la certification de RNCan quant à son autonomie, mais on avance une amélioration similaire à celle de la i3 100% électrique. On verrait donc le rayon d’action de la i3 REx grimper de 156 à environ 203 km, avant de miser sur l’apport du moteur à essence et de son petit réservoir, prolongeant l’autonomie de 129 km.

La i3 de 170 chevaux et la i3s de 180 chevaux seront reconduites, qui accélèrent de 0 à 100 km/h en 7,3 et 6,9 secondes, respectivement. On complète les mises à jour avec une nouvelle teinte de carrosserie et quelques changements de coloris de l’habitacle. Les prix de la BMW i3 2019 n’ont pas encore été annoncés, mais la voiture sera mise en vente au Canada au mois de décembre.

Honda procède au rappel de 263 289 véhicules au Canada

Il y a quelques jours, Transports Canada a annoncé le rappel de plus de 260 000 véhicules Honda en raison d’une défaillance au niveau du système de déploiement des coussins gonflables.

Selon le communiqué, « une exposition prolongée à une humidité et à une température absolues élevées, combinée à un cycle à température élevée, pourrait éventuellement détériorer l'agent propulsif dans le coussin gonflable du côté passager (avant). Par conséquent, le coussin gonflable pourrait être déployé avec plus de force que la normale. »

Les véhicules concernés sont les suivants :

  • Acura CSX 2010-2011
  • Acura RL 2010 à 2012
  • Acura TSX 2010 à 2013
  • Acura ZDX 2010 à 2013
  • Honda Accord 2010 à 2012
  • Honda Civic 2010-2011
  • Honda CR-V 2010-2011
  • Honda Crosstour 2010 à 2014
  • Honda Element 2010
  • Honda Fit 2010 à 2014
  • Honda Insight 2010 et 2012
  • Honda Pilot 2010 à 2015
  • Honda Ridgeline 2010 à 2014

Les propriétaires des véhicules énumérés dans la liste ci-haut sont priés de contacter leur concessionnaire qui apportera gratuitement les correctifs nécessaires. Les concessionnaires devront remplacer le générateur de gaz du coussin gonflable avant passager. Il est possible de savoir si votre véhicule fait partie des véhicules rappelés en appelant le 1-888-946-6329 ou en vous rendant sur la section des rappels du site Internet de Honda Canada et en y inscrivant le NIV de votre véhicule.

Le Danemark veut interdire la vente de voitures à moteur à combustion d’ici 2030

Grand pays de vélo, le Danemark a annoncé mardi l’interdiction des ventes de voitures fonctionnant à l’essence et au diesel à l’horizon 2030, se posant en exemple pour l’Europe.

« Dans douze ans – seulement douze ans –, nous voulons interdire la vente de nouvelles voitures essence et diesel », a dit le premier ministre Lars Løkke Rasmussen à l’ouverture de la session parlementaire.

« Je veux un Danemark qui soit à l’avant-garde, qui tire le monde dans une direction plus verte », a affirmé ce cycliste émérite. « Nous fixons le cap. Et envoyons un signal clair à l’UE, à l’industrie automobile et au reste du monde », a-t-il martelé.

Chantre de la lutte contre le réchauffement climatique, le Danemark ambitionne de devenir neutre en énergie fossile en 2050. Entre 1980 et 2015, les émissions de carbone de ce royaume scandinave ont diminué de 38%, d’après l’institut State of Green. Avec cette interdiction, le Danemark rejoint l’Islande qui avait annoncé une mesure similaire début septembre.

Championne de l’électrique tout en étant le principal producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest, la Norvège voisine s’est fixé l’objectif de ne vendre que des voitures neuves zéro émission dès 2025, sans toutefois formellement interdire les autres modèles. En septembre, les voitures électriques y ont représenté 45,3% des nouvelles immatriculations, un record, selon les chiffres du Conseil d’information sur le trafic routier (OFV).

La France prévoit quant à elle la fin de la vente des voitures neuves à moteur thermique d’ici 2040. La ville de Paris a annoncé l’interdiction totale des voitures à moteur diesel pour 2024. Le Royaume-Uni prévoit l’arrêt d’ici à 2040 de la vente de nouvelles voitures et camionnettes conventionnelles fonctionnant à l’essence ou au diesel.

Confirmé, un véhicule hybride à moteur rotatif chez Mazda

L’électrification des véhicules est en branle chez plusieurs constructeurs depuis plusieurs années, mais étonnamment, la haute direction de Mazda n’a jamais voulu emboiter le pas, préférant miser sur l’optimisation de ses moteurs à combustion. Bref, ce n’était pas dans les priorités.

Vrai que ses récentes technologies SKYACTIV ont contribuées à réduire les émissions et la consommation de sa flotte globale, et Mazda s’apprête également à introduire sa nouvelle génération de motorisations SKYACTIV-X. Toutefois, l’électrification sous toutes ses formes représente l’avenir et le constructeur s’est fait pointer du doigt à maintes reprises pour son retard. C’est encore plus vrai au Québec, où Mazda connaît une histoire d’amour unique.

Il n’est pas étonnant de découvrir que le constructeur corrige le tir et annonce sa stratégie d’électrification. Vaut mieux tard que jamais. Mazda compte en effet commercialiser initialement ses véhicules électriques dans les régions les plus propices, celles qui génèrent leur électricité à partir de ressources propres ou qui imposent des lois zéro émission. Il faut comprendre que le volume de production risque d’être assez bas initialement, on visera donc les marchés de choix.

Le retour du moteur rotatif :

  • D’ici 2030, 95% des véhicules vendus par Mazda profiteront d’une forme d’électrification, les 5% restants seront 100% électriques. On veut réduire de 90% ses émissions par rapport aux niveaux de 2010.
  • Le premier modèle hybride arrivera dès l’an prochain, suivi en 2020 d’un premier modèle électrique et un hybride rechargeable pour 2021. Le type de véhicule n’a pas été précisé, mais le constructeur nous a fait savoir que puisque la tendance est aux VUS, il y a fort à parier qu’on se concentrera sur ces segments. Les premiers modèles seront conçus entièrement par Mazda, les futurs proviendront la nouvelle entente de Mazda et Toyota.
  • Deux véhicules 100% électriques seront bientôt offerts dont un qui, à l’instar de la Chevrolet Volt et de la BMW i3, sera muni d’un prolongateur d’autonomie afin de rehausser son aspect pratique. Le prolongateur d’autonomie utiliserait à la base le célèbre moteur rotatif de Mazda, reconnu pour son format compact et sa puissance de sortie élevée. Ce dernier sera placé à l’horizontale plutôt qu’à la verticale comme c’était le cas de son application à bord des modèle RX-7 et RX-8. De plus, le moteur rotatif pourra employer différents combustibles dont l’essence initialement, puis les biocarburants dans le futur.

Audi R8 LMS GT3 : cette voiture de course présage le nouveau look de la R8

PARIS, France – À l’occasion du Mondial de l’automobile de Paris, la division Audi Sport a introduit la nouvelle R8 LMS GT3 de compétition qui sera vendue à des pilotes et équipes désireux de prendre part à des championnats professionnels et amateurs pour voitures de course de catégorie GT3. Le prix de cette voiture de course est de 398 000 euros et, jusqu’à aujourd’hui, Audi Sport a vendu près de 500 voitures de course à des clients, ce qui représente une opération commerciale significative pour cette division de la marque d’Ingolstadt.

La voiture de course R8 LMS GT3 a été revue en ce qui a trait à l’aérodynamique, au refroidissement et à la durabilité, tous des éléments essentiels pour assurer le succès en course automobile. Mais, surtout, cette voiture de course donne une bonne indication du look qui sera adopté prochainement par la sportive R8 de série qui subira un lifting. Lancée en 2015, la R8 de deuxième génération recevra donc une nouvelle partie avant dont le design sera partagé avec cette LMS GT3. Le Guide de l’auto aura bientôt l’occasion de conduire la R8 de série relookée sur le circuit Ascari, localisé près de Ronda en Espagne. On vous en reparle sous peu…

Jeep Grand Cherokee Trackhawk 2018 : le VUS du diable

Lorsqu’il a été lancé en 2006, le Jeep Grand Cherokee SRT8 a été consacré « Porsche Cayenne Turbo des pauvres », arborant sous son capot un V8 HEMI de 6,1 litres avec 425 chevaux et une sonorité à nous faire dresser les poils sur le torse. Il était rapide, relativement abordable – par rapport au Cayenne – et très populaire.

La génération actuelle du Grand Cherokee SRT, introduit en 2014, a relevé la barre de performances d’un autre cran via un V8 HEMI de 6,4 litres et 475 chevaux, en plus d’être capable de tirer une remorque – ce que le premier SRT8 ne pouvait pas faire.

Il semble toutefois que les clients en veulent encore plus. En tout cas, s’ils ne l’ont pas demandé, FCA leur donne quand même avec le Jeep Grand Cherokee Trackhawk 2018. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec cette bête à tirage limité (selon FCA), sachez qu’il est équipé du même moteur que la Dodge Challenger SRT Hellcat et la Charger SRT Hellcat.

Eh oui, on peut maintenant se procurer un Jeep directement chez le concessionnaire avec un rutilant V8 suralimenté de 6,2 litres, bon pour 707 chevaux et un couple de 645 livres-pied, jumelé à une boîte automatique à huit rapports avec sélecteurs montés au volant. Aucun autre VUS de production ne peut concurrencer la puissance du Trackhawk, et on parle d’artillerie lourde telle que le Porsche Cayenne Turbo (541 chevaux), le Rolls-Royce Cullinan (563 chevaux), les BMW X5 M et X6 M (567 chevaux), le Range Rover Sport SVR (575 chevaux), les Mercedes-AMG GLE 63 S et GLS 63 (577 chevaux), le Bentley Bentayga (600 chevaux) et le Lamborghini Urus (650 chevaux). Malade.

FCA indique un 0-96 km/h (0-60 mi/h) de seulement 3,5 secondes, grâce au rouage à quatre roues motrices, au mode de conduite Track et au système de départ-canon du Trackhawk. Il peut aussi franchir le quart de mille en 11,6 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 290 km/h. Nous avons enregistré une moyenne de 16,0 L/100 km lors de notre essai. Le constructeur lève son doigt d’honneur aux environnementalistes tout en baissant son pantalon pour leur montrer son derrière.

Un Grand Cherokee SRT en pleine accélération est déjà assez mélodieux, mais le Trackhawk en ajoute une couche avec le hurlement du compresseur volumétrique, produisant une expérience auditive indescriptible. On ne se lasse pas de faire des tours avec amis, famille et voisins à son bord, qui seront sidérés par les performances explosives du Jeep Grand Cherokee Trackhawk 2018. La suspension à calibrage sport avec amortisseurs Bilstein et le système de freinage avec disques massifs (400 mm à l’avant, 350 mm à l’arrière) et étriers Brembo peints en jaune nous aideront à garder le contrôle du VUS si jamais on appuie un peu trop longtemps sur l’accélérateur.

Pourtant, malgré la brutalité et la sonorité du moteur Hellcat, il peut être étonnamment doux et civilisé en conduite normale. On peut donc être un douchebag si l’on en a envie, mais c’est bon de savoir que l’on n’est pas obligé d’en être un 24/7.

S’il y a une chose qui manque au Trackhawk – ce qui est à la fois bon et mauvais –, c’est un peu de distinction visuelle par rapport au SRT. Outre des écussons SUPERCHARGED sur les portes et quatre embouts d’échappement, il y a peu de choses pour démontrer que l’on est au volant du Jeep le plus démentiel sur le marché.

Le reste est du pur Grand Cherokee, avec ses bons coups et ses lacunes. Les sièges en cuir nappa et en suède noir peuvent être troqués pour une sellerie sépia, ou pour un ensemble tout en cuir Laguna Rouge foudroyant – ce dernier faisant partie d’un groupe d’options de 6 995 $ habillant l’habitacle en cuir et le rehaussant de ceintures de sécurité rouges. Notre véhicule d’essai était fort attrayant avec cette option, malgré son tarif supplémentaire élevé.

Comme d’habitude, le système multimédia Uconnect est facile à utiliser, avec de grosses zones de boutons et un écran tactile très réactif, mais FCA a pensé de laisser des commandes rotatives pour le volume et la syntonisation de la radio ainsi que pour l’intensité du système de ventilation. Des sièges chauffants et ventilés ainsi qu’un volant chauffant figurent de série, et bien que l’on doive les activer à l’écran, on peut les programmer pour s’allumer automatiquement selon la température extérieure, ce qui est pratique.

En revanche, les garnitures reluisantes en fausse fibre de carbone ne font pas très chics, et l’on ne devrait pas retrouver des garnitures en plastique argenté sur le volant et la console centrale dans un véhicule de ce prix... Le couvercle du compartiment de rangement en dessous des commandes de climatisation s’aligne si mal avec l’encadrement du levier de vitesses et des porte-gobelets qu’on le laisserait toujours ouvert. Les portes se ferment avec la sensation de solidité et la sonorité auxquelles on s’attend d’une sous-compacte, mais pas d’un VUS de luxe... Ce sont des compromis à faire pour choisir un Grand Cherokee au lieu d’un Cayenne ou d’un X5 M.

La polyvalence n’est toutefois aucunement affectée par la motorisation Hellcat et les composants hautes performances. L’espace de chargement est adéquat : 1 028 litres derrière les sièges, et un volume maximal de 1 934 litres avec les dossiers rabattus, alors que la capacité de remorquage maximale est toujours fixée à 3 265 kilogrammes (7 200 livres).

Le prix de base pour un Jeep Grand Cherokee Trackhawk 2018 est de 110 845 $ avant les frais de transport et de préparation, une somme assez élevée, et notre véhicule à l’essai incluait environ 13 k$ en options. En comparaison, une Cayenne Turbo de base se détaille à 139 700 $, alors qu’un Range Rover Sport SVR ouvre la mise à 133 000 $.

C’est un choix déchirant. On est fasciné par la puissance du moteur Hellcat et le cri de son compresseur ainsi que par la polyvalence au quotidien de ce Jeep, mais le prix est difficile à justifier. Et puisque la majorité des gens croiront que l’on roule en SRT « ordinaire », on pourrait croire que les 38 000 $ supplémentaires exigés pourraient être mieux dépensés ailleurs. D’un autre côté, s’il n’y aura pas beaucoup de Trackhawk sur le marché, il pourrait s’agir d’un éventuel modèle de collection.

Une chose est sûre, toutefois : c’est l’un des VUS les plus rapides, les plus sonores et les plus excitants sur le marché, ce qui pourrait être suffisant pour le considérer comme une aubaine.

Le Porsche Macan 2019 se paie une petite cure de jeunesse

Introduit en 2014, le Porsche Macan devenait rapidement le véhicule le plus populaire chez Porsche, démocratisant encore plus la marque auprès des non-initiés. Après avoir été présenté en première mondiale au dernier Salon de l’auto de Shanghai, c’est dans le cadre du Salon de l’auto de Paris que le Macan a été présenté en première Européenne.

Côté style, fidèle à ses habitudes, Porsche conserve en majeure partie les traits de caractère du Macan actuel, c’est surtout la partie arrière qui comportera les principaux changements, notamment avec une bande à DEL qui unit les feux arrière du Macan 2019, un élément de style que l’on retrouve aussi sur le Cayenne et la Panamera de dernière génération.

Sous le capot, la version de base aura droit à une nouveauté, soit un moteur quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres qui développe un peu moins de puissance, soit 248 chevaux, mais conserve le même couple, soit 273 lb-pi, le tout jumelé à une boîte à sept rapports avec double embrayage.

À bord, on a retravaillé la planche de bord en intégrant la toute dernière génération du système de communication de Porsche PCM qui comprend maintenant un écran de 10,9 pouces au lieu de sept. En option, le Porsche Macan 2019 peut être équipé du volant de type GT que l’on retrouve à bord des modèles 911 et qui, lorsque jumelé à l’ensemble Sport Chrono, intègre le sélecteur de mode avec bouton Sport Response.

Le véhicule profite aussi d’un nouveau système d’assistance pour les embouteillages comprenant un régulateur de vitesse adaptatif qui comprend des fonctionnalités d’accélération et de freinage semi-automatiques lorsque le véhicule roule à moins de 60 km/h.

Construit à l’usine de Leipzig, le Porsche Macan 2019 sera proposé au Canada à un prix débutant à 55 500 $.

La piste de course de Mont-Tremblant fermera-t-elle aussi ses portes?

Au cours de l’été, les amateurs de course automobile ont dû encaisser des coups durs. Récemment, l’Autodrome St-Eustache et SRA Karting à St-Roch-de-l’Achigan ont annoncé la fermeture de leurs pistes respectives suite aux difficultés financières et/ou aux pressions des citoyens de l’arrondissement qui se plaignent du bruit généré par les voitures. Maintenant, c’est au tour de la piste de course du Mont-Tremblant de voir son avenir possiblement s’embrouiller.

Récemment, une demande en recours collectif a été déposée devant les tribunaux. Tous les résidents étant établis à trois kilomètres autour de la piste sont touchés par ce recours. Selon les informations rapportées par l’équipe de Radio-Canada, on parle de 4 200 personnes concernées. On y demande d’indemniser les résidents affectés, à la hauteur de 2 500 $ par personne par année, pour les « troubles et inconvénients », ce à quoi on ajoute 5 000 $ en dommages punitifs.

Ce recours repose sur l’argumentaire du bruit excessif et envahissant causé par les activités du circuit. Certains résidents affirment enregistrer une pollution sonore suffisamment importante pour en être incommodés. Jim Iredale, un résident situé tout près de la piste, affirme « […] j’ai pris un niveau de 80 dB, je suis à 750 mètres. Quand on est au travail, on est obligé de mettre un équipement pour la santé et la sécurité de nos oreilles [à partir de 55 dB]. Alors ici, dans ma cour, je n’ai pas ça. Je ne suis pas pour me promener dans mon jardin avec une protection pour le bruit ».

Ce à quoi l’avocat du Circuit du Mont-Tremblant, Me Louis P. Bélanger, rétorque : « ces gens-là sont venus s'installer à 500 mètres d’une piste de course... c’est comme si vous alliez vous installer sur une rue qui est au bout d’une piste à l’aéroport et après vous vous plaignez du bruit des avions. La loi dit que vous devez aussi accepter les inconvénients normaux de voisinage en fonction des usages locaux. La piste fait partie du paysage récréotouristique de Tremblant depuis 1964. »

Cette tendance aux recours judiciaires et aux plaintes civiles visant la fermeture des pistes suscite la colère et la frustration des amateurs de sports automobiles. Bertrand Godin, animateur, chroniqueur et instructeur de conduite automobile, soutient dans une entrevue accordée à la société d’État qu’« on perd de plus en plus de circuits automobiles. C’est vraiment dommage. Ceux qui font de la vitesse sur les circuits, ils vont sur les circuits. Et non pas sur les routes. Lorsqu’on dit aux jeunes que les routes ne sont pas des pistes de course et qu’on ferme les pistes de course, on a un problème. »

À l’heure qu’il est, la Ville de Mont-Tremblant accepte le circuit tel qu’il est et affirme qu’il fait partie du paysage touristique de la région. Le Circuit du Mont-Tremblant est actuellement à la source de cinq conflits devant les tribunaux.

Une Acura Integra Type R vendue aux enchères pour 63 800 $ US

Ces derniers jours avait lieu à Las Vegas un encan organisé par Barrett-Jackson. Au cours de cet événement, une Acura Integra Type R 1997 s’est envolée pour la somme de 63 800 $ US, soit l’équivalent d’environ 82 000 $ CAN.
Ce montant inclut la commission.

À titre indicatif, une Acura RLX flambant neuve se détaille à partir de 65 490 $ CAN. À l’exception de la NSX, il s’agit du véhicule le plus dispendieux au sein de la gamme de la division de luxe de Honda.

Si cette Acura s’est vendue plus cher qu’une neuve, c’est parce que malgré ses 21 ans, elle est pratiquement neuve. En effet, on peut lire sur son odomètre qu’elle n’a parcouru que 1 191 milles, ce qui représente environ 1 916 kilomètres.

Par ailleurs, cette compacte japonaise a tout pour plaire à un collectionneur puisqu’il s’agit d’un exemplaire assemblé lors de la première année de production de cette version, soit 1997. Il est à noter qu’elle porte le numéro 37 sur les 320 unités produites cette année-là.

Alors que les sièges sont recouverts de suède noir parsemé de surpiqûres rouges, la carrosserie est peinte en blanc Championship White.

Évidemment, sous le capot, on retrouve le bloc d’origine. Il s’agit d’un moteur à quatre cylindres de 1,8 litre dont la puissance s’élève à 195 chevaux. Il est accouplé à une boîte manuelle à cinq rapports.

En plus du système de climatisation, elle est équipée de la direction et du freinage assistés, des vitres, rétroviseurs et portes électriques ainsi que de la chaîne audio à six haut-parleurs jumelée à un lecteur CD.

Comme une digne voiture de collection, cette Integra Type R est accompagnée de la documentation d’époque : autocollant de fenêtre, facture d’achat orignal ainsi que le manuel du propriétaire.