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Volkswagen Tiguan 2018 : se conformer au marché

Si les consommateurs nord-américains veulent des VUS compacts dotés d’un habitacle spacieux et n’ont rien à faire d’une conduite sportive, Volkswagen manquait la cible avec la première génération du Tiguan. Ce dernier était souvent qualifié de « Volkswagen GTI des VUS », ce qui était drôlement approprié.

Par contre, au fil dans ans, les rivaux du Tiguan ont gagné en proportion, et bien que celui-ci était le VUS compact le plus amusant à conduire, on se devait de réagir afin de conserver une part de marché respectable. Le Volkswagen Tiguan 2018 de deuxième génération a été lancé, et pour s’assurer que l’espace intérieur ne soit pas un problème pour les acheteurs canadiens et étatsuniens, la compagnie a créé non pas une, mais deux versions de son utilitaire.

En Europe, on retrouve le Tiguan « ordinaire » et le Tiguan Allspace plus gros. En Amérique du Nord, ce dernier sera le seul disponible et profitera d’un empattement allongé de 110 millimètres. On obtient donc plus d’espace de chargement, mais aussi l’option d’ajouter une troisième rangée de sièges. Il se joint au club sélect de VUS compacts à sept passagers qui comprend le Dodge Journey, le Mitsubishi Outlander et le Nissan Rogue.

Si l’on transporte régulièrement plus de cinq passagers, peut-on se procurer un Tiguan à sept places au lieu d’un Volkswagen Atlas? Absolument pas, puisque cette troisième rangée est minuscule. Ce n’est pas pour rien que VW appelle cette configuration « 5+2 ». À la défense du Tiguan, ses rivaux de taille compacte mentionnés plus haut ne sont guère mieux. Bon, peut-être un peu.

Le Volkswagen Tiguan 2018 bénéficie d’un habitacle plus moderne, surtout grâce à l’écran tactile de huit pouces figurant dans les déclinaisons Comfortline et Highline – le Trendline de base obtient un écran tactile de 6,5 pouces – et l’instrumentation numérique pour le conducteur Volkswagen Digital Cockpit, de série dans le Highline. Par contre l’intégration Apple CarPlay et Android Auto est incluse dans tous les Tiguan.

Bien que le Trendline soit plutôt dénudé de caractéristiques, en se tournant vers les versions plus dispendieuses et en choisissant un ensemble ou deux en option, on ajoutera le freinage autonome d’urgence, la surveillance des angles morts, le régulateur de vitesse intelligent, le système de caméras à 360 degrés, le système de navigation, le démarreur à distance, le hayon à commande électrique, le toit ouvrant panoramique, les sièges avant chauffants, la sellerie en cuir, le volant chauffant et la climatisation automatique bizone, entre autres. Par contre, pas de sièges chauffants à l’arrière, lesquels sont disponibles dans d’autres VUS compacts.

Le système multimédia fonctionne très bien, avec de grandes zones de boutons, un écran réactif et une carte de navigation facile à consulter. Les commandes de climatisation ne pourraient être plus simples à manipuler, et la chaîne audio Fender est excellente. En revanche, certains plastiques dans l’habitacle et les surfaces de sièges en cuir (du similicuir en fait) ont une apparence et une sensation bon marché.

Les sièges du Tiguan sont fermes, mais confortables, et l’on retrouve un bon dégagement pour les jambes dans la deuxième rangée, même pour des adolescents et des adultes. Quant à l’espace de chargement, le VUS de VW passe du pire à l’un des meilleurs de sa catégorie, avec un volume maximal de 2 081 litres lorsque les dossiers de la deuxième rangée sont rabattus. En ajoutant la troisième rangée, le volume maximal baisse à 1 860 litres – quand même très bon – et si tous les sièges sont occupés, l’espace de chargement chute à 340 litres, légèrement mieux que dans ses adversaires mentionnés plus tôt. Le cache-bagages amovible peut être rangé sous le plancher, ce qui est très pratique.

Bien que l’espace intérieur ait grimpé en flèche, l’agrément de conduite a pris une débarque...

En fait, ce n’est pas si dramatique, mais l’ancien Tiguan était si énergique et si habile au chapitre de la tenue de route que la nouvelle mouture donne l’impression d’avoir abandonné l’entraînement au centre sportif, et passer maintenant ses soirées à regarder Netflix en s’empiffrant de croustilles! Toutefois, sa qualité de roulement est indéniable et la plupart des acheteurs de VUS apprécieront cette qualité. Le VUS compact le plus amusant à conduire est désormais le Mazda CX-5, surtout qu’il gagne un moteur turbocompressé de 227 chevaux pour le millésime 2019.

Le Volkswagen Tiguan 2018 est moins puissant. Son moteur turbo de 2,0 litres produit 180 chevaux, en baisse de 20, mais le couple passe de 207 à 221 livres-pied. Ce moteur récemment mis au point est partagé avec la Volkswagen Beetle et la Volkswagen Passat, et mise sur l’économie de carburant avant les performances à tout rompre. Il est doux et bien géré par une boîte automatique à huit rapports, également nouvelle.

Au moins, le nouveau Tiguan fonctionne avec de l’essence ordinaire, alors que le moteur de l’ancien exigeait du super. Malgré la centaine de livres ajoutée au poids du véhicule, la consommation a été réduite d’environ un litre aux 100 km. Nous avons enregistré une moyenne décente de 10,5 L/100 km lors de notre essai, cependant certains rivaux tels le Honda CR-V et le Toyota RAV4 peuvent faire mieux.

Le prix de base est fixé à 28 925 $ avant les frais de transport et de préparation, dans le cas d’une version de base à roues motrices avant. Ajouter la transmission intégrale 4MOTION fait grimper la facture à 31 175 $. Notre version Highline à l’essai avec la troisième rangée de sièges et l’ensemble Aide à la conduite coûtait environ 41 000 $ – plus ou moins équivalent aux déclinaisons tout équipées de la concurrence.

Il y a beaucoup de choses à aimer de ce Tiguan pour les nouveaux clients de Volkswagen en Amérique du Nord. Il est spacieux, confortable et technologiquement à jour. Par contre, nous avons l’impression que la clientèle fidèle de la marque, qui a vu le Touareg être retiré au profit de l’Atlas et le Tiguan perdre son caractère enjoué, est déçue de la stratégie d’offrir des produits à saveur plus américaine qu’allemande.

Mais, si c’est ce que les consommateurs américains veulent, Volkswagen se devait d’adapter sa gamme de modèles en conséquence s’il veut continuer à vendre des véhicules chez nous. Il s’agit tout simplement de se conformer au marché.

Hyundai annonce le prix du Kona électrique 2019

Hyundai Canada a finalement dévoilé le prix de son modèle le plus attendu de 2019, le Kona électrique.

Les automobilistes canadiens devront débourser au minimum 45 599$ pour un exemplaire du Kona électrique, le deuxième modèle entièrement électrique de Hyundai après l’Ioniq.

Le Kona électrique 2019 sera muni d’une batterie de 64 kWh qui lui permet une impressionnante autonomie de 415 kilomètres.

À titre de comparaison, la Chevrolet Bolt EV, dont le prix de base est établi à 46 445$ en 2018, propose une autonomie de 383 kilomètres.

En plus de la variante de base à 45 599$, baptisée Preferred, le Hyundai Kona électrique sera proposé avec une variante Ultimate. Offerte à un prix de 51 999$, cette version plus haut de gamme proposera notamment des sièges en cuir, un écran tactile de huit pouces avec navigation satellite, un système audio de meilleure qualité, des sièges avant ventilés, un toit ouvrant et des phares à LED.

Même dans sa variante de base, le Hyundai Kona électrique 2019 sera muni de série de sièges avant chauffants, d’un volant chauffant, d’un prise de recharge rapide ainsi que d’un écran tactile de sept pouces à bard, compatible avec Android Auto et Apple CarPlay.

Les acheteurs québécois du Hyundai Kona électrique pourront bénéficier d’un crédit gouvernemental de 8000$ dans le cadre du Programme Roulez électrique.

Les premiers exemplaires du Hyundai Kona électrique arriveront chez les concessionnaires du Québec en janvier prochain.

Déjà un rappel pour la Toyota Corolla Hatchback

Toyota Canada a émis un rappel de sécurité concernant sa nouvelle Corolla à hayon 2019.

Selon le constructeur, c’est le convertisseur de couple de la transmission automatique à variation continue (CVT) qui est en cause. Celui-ci pourrait tomber en panne et ainsi causer une perte de propulsion au véhicule.

«Une perte de propulsion pendant la conduite à vitesse plus élevée pourrait augmenter le risque de collision», admet Toyota Canada, qui assure que le remplacement du convertisseur de couple n’entrainera aucun frais pour les propriétaires.

Seules les versions à transmission automatique de la Toyota Corolla à hayon sont visées par ce rappel. Les variantes équipées d’une transmission manuelle en sont exclues.

Toyota Canada estime qu’environ 973 unités sont concernées.

Si vous croyez faire partie des propriétaires dont le véhicule fait partie de ce rappel, Toyota demande de visiter le site toyota.ca/recall ou d’appeler directement au 1 888 869-6828.

Une Chevrolet Corvette à moteur central aperçue sur les routes du Michigan

Ça fait longtemps que General Motors nous agace avec une potentielle Chevrolet Corvette à moteur central.

En fait, ça fait plus de 50 ans qu’on nous en parle, mais voilà que les rumeurs se font de plus en plus persistentes. Un prototype a même été aperçu à quelques reprises sur la route et sur les circuits de course.

Pas pour Detroit
Même si GM demeure silencieux au sujet de son nouveau bolide, les multiples images et vidéos qu’on a vu circuler sur Internet nous confirment qu’en effet, une Corvette à moteur central arrivera dans un avenir rapproché, mais on ignore quand.

Pour le Salon de l’auto de Detroit, qui ouvrira ses portes en janvier? Pas certain. Nous connaissons la programmation du constructeur pour le salon en janvier, et les chances sont peu probables qu’une nouvelle Corvette soit dévoilée lors de l’événement.

À moins qu’on nous prévoie une surprise de dernière minute, il est fort probable qu’on doive attendre encore une autre année avant qu’elle se pointe le bout du nez. Mais rien n’est clair ni confirmé à ce sujet.

Cela n’empêche pas les ingénieurs de rouler avec des prototypes camouflés, et c’est exactement ce qu’un citoyen du Michigan a récemment affiché sur son compte Instagram. On y aperçoit des images d’une supervoiture ressemblant étrangement à une future Corvette avec son nez pointu, ses coups de crayons angulaires et ses proportions de voitures exotiques rappelant d’autres bagnoles à moteur central comme les Lamborghini et la Ford GT, par exemple.

Qui sait, peut-être que ce mystérieux bolide sera autre chose que la Corvette? Serait-il plutôt une superbombe Cadillac? Chose certaine, il y a un bolide très excitant qui s’en vient chez GM!

5 trucs pour conduire dans le verglas de façon sécuritaire

Chaque année, les conducteurs québécois doivent faire face à un épisode de verglas. Cela rend les déplacements en voiture plus compliqués et plus hasardeux.

Dans un tel contexte, la meilleure chose à faire est d’éviter de prendre la route autant que possible. Mais si vous devez absolument le faire, voici quelques précautions à prendre pour vous assurer de demeurer en sécurité.

Déglacez bien votre voiture
Avant même de quitter votre domicile, prenez le temps de bien déneiger et déglacer votre véhicule. Les fenêtres, les feux et les phares doivent principalement être bien dégagés. Cela vous permettra de bien voir et d’être bien vu. C’est important en tout temps, et ça l’est encore plus dans une situation de pluie verglaçante.

Réduisez votre vitesse
Ça tombe sous le sens, mais certains conducteurs ont malheureusement encore besoin de se le faire rappeler. Quand les conditions climatiques sont difficiles, réduire votre vitesse pourrait vous éviter un grave accident.

Gardez vos distances
Avec la glace sur la chaussée, il vous faudra pas mal plus d’espace pour freiner. En gardant une plus grande distance entre vous et les véhicules qui vous précèdent, vous vous donnerez toutes les chances d’éviter une collision si une situation d’urgence devait survenir.

Évitez les mouvements brusques
La pluie verglaçante peut rapidement transformer la chaussée en patinoire. Rien de moins. Dans un tel contexte, assurez-vous d’être très doux avec le volant et de ne pas faire de mouvement rapide. Ceux-ci pourraient vous envoyer directement dans le décor.

Évitez les freinages inutiles
Un petit coup de frein sur de la glace noire suffit pour vous faire perdre le contrôle de votre véhicule. À moins d’en avoir réellement besoin, évitez d’appuyer sur la pédale de gauche. Priorisez plutôt une conduite préventive qui vous permettra de ralentir doucement en relâchant simplement l’accélérateur.

En adoptant une conduite intelligente, le verglas deviendra soudainement pas mal moins dangereux.

Cadillac XT4 2019 : la Cadillac qui ne veut pas en être une

Chez Cadillac, la mort des voitures conventionnelles est annoncée. Ce n’est plus de la spéculation, c’est maintenant une question de temps.

Exit les ATS, CTS, XTS et même la prestigieuse CT6. Le produit n’est pas mauvais, mais les consommateurs nord-américains sont tout simplement ailleurs.

Pour tenter de les reconquérir, Cadillac mise sur une offensive où les VUS auront toute la place. Et l’une des pièces maîtresses de cette nouvelle stratégie, c’est le nouveau XT4.

Le luxe en format compact
Sous un nouveau design franchement réussi, Cadillac présente un modèle qui n’a rien à envier à la concurrence… mais qui ne propose pas grand-chose pour s’en démarquer.

Dans une catégorie où à peu près tous les modèles sont calqués l’un sur l’autre, le XT4 embarque dans le moule sans trop essayer de s’en défaire, mis à part peut-être par une gamme d’options interminable, allant des sièges avec fonction de massage au rétroviseur-caméra en passant par des roues de 20 pouces. On est dans un Cadillac, après tout!

S’il est joli de l’extérieur, le XT4 l’est tout autant à l’intérieur. Les matériaux utilisés sont d’une qualité irréprochable et l’intégration technologique est supérieure aux autres modèles de la glorieuse marque américaine.

C’est que Cadillac profite de l’arrivée du XT4 pour intégrer la dernière génération de son système multimédia, qu’on peut désormais contrôler via l’écran tactile, mais aussi à l’aide d’une roulette placée entre les deux sièges.

Sous l’écran, Cadillac a pris soin de conserver plusieurs commandes physiques. Ça peut paraître banal, mais trop de constructeurs semblent obsédés par la centralisation des commandes dans l’écran tactile. Quand il faut accéder à un menu pour activer les sièges chauffants ou régler la climatisation, ça commence à être problématique...

Heureusement, Cadillac n’est pas tombée dans le panneau. Les boutons physiques demeurent bien présents, alignés de jolie façon sous l’écran. Le compromis idéal entre le design et la fonctionnalité.

Sous le capot, une seule motorisation équipe toutes les versions du modèle. Il s’agit d’un bloc à quatre cylindres de 2,0 litres développant 237 chevaux et un couple de 258 livres-pied. Encore là, on est dans les normes de ce qui se fait ailleurs dans l’industrie.

Histoire d’aller chercher une meilleure économie d’essence, Cadillac fait appel à une efficace boîte automatique à neuf rapports ainsi qu’à un système de désactivation des cylindres. Celui-ci peut faire rouler le XT4 sur seulement deux cylindres lorsqu’il n’est pas trop sollicité.

Cadillac clame une consommation de 9,9 L/100 km en ville et de 8,3 L/100 km sur route, ce qui place le véhicule dans une bonne position par rapport à la concurrence. Après une semaine d’essai, toutefois, l’ordinateur de bord affichait plutôt une consommation moyenne de 10,5 L/100 km. Dans un contexte où le mercure est souvent descendu sous les -10 degrés, c’est franchement convenable.

Le rouage intégral est évidemment au menu, bien que le véhicule puisse demeurer en « mode deux roues motrices » en tout temps. En fait, pour passer aux quatre roues motrices, le conducteur doit manuellement changer le mode de conduite pour sélectionner « AWD ». Étrange stratégie, dans un marché où les concurrents offrent à peu près tous un système qui active automatiquement les quatre roues motrices quand le besoin se fait sentir.

Un mode Performance est aussi disponible pour les conducteurs en quête d’adrénaline. Entendons-nous, on n’achète pas un XT4 pour aller sur un circuit, mais le petit dernier de Cadillac a tout de même des aptitudes routières appréciables.

Une image à refaire
Fut une époque où l’image de Cadillac représentait l’un de ses meilleurs atouts. Une Cadillac, ça empestait le luxe, le prestige. Aux yeux des consommateurs, c’était ce qui se faisait de mieux.

Puis, le temps a fait son œuvre. Cadillac est demeurée populaire auprès des conducteurs ayant connu ses années de gloire, mais elle n’a pas réussi à charmer les plus jeunes.

Il est là, le défi de Cadillac avec la XT4 : arracher des ventes à une concurrence principalement allemande qui compte déjà sur de gros canons comme l’Audi Q3, les BMW X1/X2 et le Mercedes-Benz GLA, pour ne nommer que ceux-là.

Chose certaine, ce n’est pas avec son prix que le XT4 fera courir les foules... Son PDSF de 36 750 $ n’a rien de bien extravagant, mais il n’a rien d’extraordinaire non plus. Le XT4 de base est plus cher qu’un Audi Q3, mais plus abordable qu’un BMW X1.

Et attention aux options, parce que ça peut monter vite. En incluant les frais de transport et préparation, le XT4 mis à l’essai dans le cadre de cette chronique revenait à un peu plus de 60 000 $. Ça commence à faire pas mal, pour un modèle de ce format.

Le XT4 est un très bon véhicule, comparable à ses principaux rivaux allemands. Mais pour pouvoir réellement revamper son image auprès des consommateurs, il faudra plus que ça.

Une version électrifiée, peut-être? Ou une variante axée sur la performance arborant le fameux écusson « V » que l’on a déjà vu sur l’ATS et la CTS?

Cadillac doit frapper un grand coup, se démarquer de la parade, pas seulement la suivre. Et ce n’est pas avec le XT4 2019 que ça arrivera.

Qiantu K50 : une nouvelle supervoiture électrique chinoise débarque en Amérique

En 2020, une nouvelle supervoiture électrique sera produite en sol américain et c’est la Qiantu K50, un coupé électrique conçu par la firme Chinoise CH-Auto. La voiture est le fruit d’une collaboration entre cette dernière et Mullen Technologies, un distributeur de véhicules électriques basé en Californie qui vient de confirmer l’accord de production et de distribution.

La Qiantu K50 profitera d’un groupe propulseur 100% électrique. Afin d’assurer une légèreté supérieure, sa carrosserie est conçue entièrement en aluminium alors qu’on a utilisé de la fibre de carbone dans la composition des différents panneaux. La K50 est un coupé doté de deux moteurs électriques, avant et arrière, de 160 kW qui développent chacun 218 chevaux pour un total de 435 chevaux. On annonce une autonomie de 380 km alors que le 0 à 100 km/h est annoncé en 4,6 secondes.

Aucun chiffre de production n’a été annoncé, mais la firme mentionne que le carnet de commandes est ouvert et que les unités offertes seront très limitées. À l’instar de Tesla, le véhicule sera vendu uniquement en ligne sans passer par un réseau de concessionnaires.

Si le projet se concrétise, la Qiantu K50 pourrait devenir la première voiture chinoise assemblée aux États-Unis. Le modèle, présenté au dernier Salon de l’auto de Pékin, est déjà en vente en Chine depuis quelques mois et son prix équivaut à environ 110 000 $ US.

Rappel chez Mercedes-Benz : le calcium sur les routes en cause

Transports Canada vient d’émettre un rappel touchant le système de direction assistée de plusieurs modèles Mercedes-Benz des années-modèles 2011 à 2016. Au total, 21 500 unités en seraient affectées au pays.

Sur certains véhicules du constructeur ayant été mis sur la route au Québec et dans les provinces Maritimes, où l’on répand beaucoup de calcium sur les routes lors de la saison hivernale, les boulons qui fixent le moteur d’assistance électrique de la direction au carter du boîtier de direction risquent de corroder et se briser.

Si tel est le cas, la servodirection subirait une perte d’assistance, et la force additionnelle requise pour tourner le volant pourrait causer un accident.

Pour corriger le problème, les concessionnaires devront évidemment remplacer les boulons brisés et appliquer un revêtement anticorrosion. De plus, le boîtier de direction devra être remplacé si les boulons ne peuvent être enlevés.

Les voitures touchées sont les Mercedes-Benz Classe C, Classe E, Classe S et CLS, alors que les VUS affectés sont les Mercedes-Benz Classe M, GLC et GLE.

Les propriétaires de ces modèles sont priés de visiter leur concessionnaire afin de faire vérifier l’état de leurs véhicules.

La transmission intégrale sur tous les véhicules, dit Toyota

Avec les VUS qui dominent désormais le parc automobile canadien, Toyota réfléchit sur son offre de véhicules équipés d’une transmission intégrale, tant pour ses utilitaires, que ses voitures.

Une décision inévitable
Selon Larry Hutchinson de chez Toyota Canada, les petits VUS abordables « AWD » ont fait en sorte que les consommateurs canadiens s’attendent désormais à voir l’option être offerte sur tous les véhicules.

On l’a d’ailleurs vu avec la nouvelle Nissan Altima, la Mazda3 et la Toyota Prius, qui offriront toutes l’ajout d’une transmission intégrale pour 2019. Selon Hutchinson, la raison pour laquelle le Toyota C-HR n’est pas équipé d’un tel rouage est que sa clientèle cible, qui migre typiquement d’une Corolla, une Camry ou même une Honda Civic, ne l’exige pas, car « ils ont roulé longtemps avec un véhicule à traction, dans la neige, sans trop s’en soucier. »

Hutchinson avoue tout de même qu’au Canada, dès qu’on goûte à la transmission intégrale, il est difficile de revenir en arrière, et c’est pour cette raison que la nouvelle plate-forme TNGA du constructeur, celle qui supporte à la fois le C-HR, la Corolla hatchback (ainsi que la prochaine Corolla), le prochain RAV4, la Camry, l’Avalon, et certains produits Lexus, a été pensée pour accommoder les quatre roues motrices.

On ignore toujours sur quels produits Toyota ajoutera l’option, mais si le géant japonais l’a fait avec sa Prius, une bagnole qui mise à premier lieu sur l’économie d’essence, il ne serait pas surprenant de voir la Corolla, la Camry, et même peut-être l’Avalon d’être équipées elles aussi d’une telle transmission.

La Nissan Maxima 2019 offerte à partir de 40 790 $

Quelques semaines après avoir présenté la Maxima 2019 dans le cadre du Salon de l’auto de Los Angeles, voilà que Nissan dévoile les prix Canadiens de sa berline porte-étendard. Premier constat, le constructeur a éliminé du catalogue sa version de base SV qui se détaillait à 38 900 $, et c’est la Maxima SL qui fait maintenant office de livrée d’entrée de gamme. Les versions SR et Platine sont de retour et la bonne nouvelle c’est qu’elles sont moins dispendieuses que l’an passé.

Maxima SL

40 790 $ CA

Maxima SR

43 190 $ CA

Maxima Platine

45 650 $ CA

Toutes les versions sont équipées d’un moteur V6 de 3,5 litres qui développe 300 chevaux, le tout jumelé à une boîte automatique à variation continue. Outre quelques changements à l’extérieur et à l’intérieur, la voiture profite du bouclier de sécurité à 360 degrés de Nissan qui comprend six systèmes actifs de sécurité et d’aide à la conduite dont le système de freinage d’urgence intelligent avec détection des piétons, le système d’avertissement sur l’angle mort, le système d’alerte de trafic transversal, le système de détection de sortie de voie, les phares à assistance aux feux de route et le système de freinage d’urgence intelligent en marche arrière.

La Nissan Maxima 2019 se bat principalement contre la Toyota Avalon, un modèle qui a également subi une refonte importante récemment. La voiture devrait être en vente dès les premières semaines de 2019.

Hyundai : la machine agressive que rien n'arrêtera

Nous revenons de la Corée du Sud où nous avons mis à l’essai le tout dernier gros VUS de Hyundai, le Palisade 2020, un véhicule qui viendra séduire les consommateurs nord-américains dès l’été prochain en satisfaisant leur penchant pour les véhicules utilitaires.

Notre séjour nous a fait réfléchir. Il nous a permis de dresser un portrait sur l’industrie automobile sud-coréenne en 2019. Dans un monde où GM ferme ses usines et Ford cesse de produire des voitures, Hyundai, de son côté, roule à fond de train. Et ne s’arrêtera à rien.

Difficile d’éviter les clichés
Je voulais m’abstenir d’intégrer les mots « Hyundai Pony » dans ce texte, mais il est difficile d’observer l’évolution rapide et constante du géant coréen sans parler de sa première voiture commercialisée sur le marché canadien en 1983.

On s’en souvient tous de celle-là. On se souvient aussi que c’était une voiture très ordinaire, à la conception rudimentaire, d’une faible résistance à la corrosion et d’une fiabilité discutable.

Aujourd’hui, Hyundai a énormément changé, et ce, en très peu de temps. Cette année, nous avons donné le prix du meilleur nouveau VUS de l’année au Hyundai Kona, ainsi que le prix du Meilleur achat à la Hyundai Accent dans la catégorie des sous-compactes. Le constructeur prévoit commercialiser un véhicule à pile à combustible à hydrogène nommé Hyundai Nexo en janvier, et les cousines Genesis G70 et Kia Stinger ont affronté deux bagnoles allemandes de haut calibre dans Le Guide de l’auto 2019. Même que certains de nos journalistes ont eu plus de plaisir à pousser les voitures coréennes à fond de train plutôt que les allemandes!

Très peu de manufacturiers automobiles peuvent se vanter d’être passés du statut de petit joueur sous-estimé à celui de titan de l’industrie moderne en à peine 30 ans. En 2018, Genesis, Kia et Hyundai figuraient parmi les trois premières marques les plus fiables selon l’étude Initial Quality Rating de J.D. Power. Sans oublier le fait qu’il soit le seul fabricant à pouvoir rivaliser les grandes marques allemandes sur le plan de la sophistication avec des bolides comme la Stinger et la G70.

Hyundai, qui englobe désormais les marques Kia et Genesis, est actuellement le cinquième plus gros constructeur automobile à l’échelle mondiale. À elle seule, sa division automobile emploie plus de 100 000 personnes, et en 2016, elle a enregistré des revenus de ventes de 11 milliards $.

Ici, nous avons les constructeurs américains qui assemblent certaines de leurs voitures au Canada, mais nous ne conduisons pas tous des GM, des Ford ou des FCA pour autant. On aime aussi les produits d’ailleurs.

En Corée du Sud, les voitures américaines et japonaises sont rares. Le peuple est fier de conduire des Kia, des Hyundai, des Genesis et des Daewoo! Certains employés de Hyundai demeurent même dans des immeubles estampés de l’écusson de l’entreprise!

Bien plus que des voitures
Mais au-delà des Accent, des Elantra et des Kona, Hyundai est aussi un conglomérat qui étend ses tentacules dans plusieurs secteurs industriels, comme la manufacture de véhicules commerciaux, d’acier, de paquebots et d’équipement de construction, sans oublier la production d’électricité et même de pétrole!

Hyundai est d’ailleurs le seul constructeur automobile à produire son propre acier. Hyundai Steel est une usine hautement sophistiquée, le monstre industriel – entièrement couvert pour réduire ses émanations nocives pour l’environnement – couvre une surface de 5,3 km sur le bord de la mer, emploie plus de 17 000 personnes et dispose d’une capacité de production de 24 millions de tonnes d’acier par année.

Nous avons également visité le centre de design et de développement de Hyundai. Hélas, nous ne pouvons rien vous dire au sujet de ce que l’on a vu sur les lieux, mais pour avoir aussi visité les centres de Volkswagen, Ford et Mercedes-Benz, on peut affirmer que Hyundai est une force gigantesque extrêmement agressive. Les infrastructures sont neuves et modernes, les employés sont nombreux et motivés, et les technologies et procédés utilisés pour la conception des voitures sont non seulement les plus avancées de l’industrie, mais dans certains cas brevetés par le constructeur.

L’influence de pros
Au centre de design, il est difficile d’ignorer l’impact que des personnes renommées comme Peter Schreyer et Luc Donkerwolke ont eu sur l’entreprise. Un d’origine allemande, l’autre belge, ces deux hommes ont apporté avec eux un savoir-faire stylistique incomparable après avoir fait leurs dents chez Audi, Porsche et Lamborghini. Et cette lancée est ressentie au sein de l’équipe de design chez Hyundai/Kia qui tente constamment de rehausser les attentes avec l’apparence de ses véhicules. Le Palisade en est un bel exemple.

Plus récemment, on a vu arriver Albert Biermann au sein de l’entreprise. Il est un des ingénieurs qui a longtemps été chargé de la calibration des châssis et de la suspension des produits BMW M et a aidé à configurer la tenue de route de la Kia Stinger et des berlines Genesis. Il est aussi le papa de la nouvelle division N de Hyundai, celle qui mettra l’accent sur les performances et la tenue de route. La Hyundai Veloster N est le premier bébé de cette division chez nous, et elle est assez réussie!

Alors, que devez-vous retenir de cette capsule? Pas que Hyundai est la meilleure marque automobile au monde, ni que vous devez vous en acheter une demain matin. Honnêtement, vous faites ce que vous voulez, nous ne sommes ici que pour vous guider!

De notre côté, nous n’avons plus de préjugés au sujet de l’entreprise. En 2019, une Hyundai représente un excellent achat. C’est indéniable.

La Lincoln Continental avec les portes-suicide ne viendra pas au Canada

Plus tôt cette semaine, on vous avait partagé une rutilante Lincoln Continental équipée de magistrales portes-suicides, semblable à l’iconique bagnole de John F. Kennedy. Certes, elle est superbe, et à nos yeux, illustre merveilleusement bien la direction que la marque Lincoln doit prendre afin de s’affirmer dans cette industrie agressive. Hélas, l’auto ne sera pas vendue ici.

Un nombre trop limité
Selon Christine Hollander, directrice des communications chez Ford du Canada, cette mouture de la Continental est tellement niche, et se vendra en quantité tellement limitée, qu’il est difficile de justifier ses ventes sur notre marché.

En effet, lors de son annonce officielle, Lincoln a déclaré que seulement 80 exemplaires seraient commercialisés pour l’année 2019, avec une quantité « limitée » qui continuera en 2020. Surtout, avec un prix de détail à plus de 100 000 $ US, elle est en effet très nichée!

De plus, les ventes de Lincoln Continental en général ne sont pas superbes. Introduite en 2016, seulement 1 156 voitures furent vendues au pays depuis sa renaissance. Au mois de novembre 2018, les ventes ont été en baisse de 25,5%, avec seulement 406 unités livrées au total.

Tout ça est un peu triste, car la Continental est une berline intermédiaire de luxe réussie, une bagnole qui, pour la première fois depuis des lunes, rehausse l’image de Lincoln et lui permet enfin de se distinguer dans le créneau. Mais avec l’intérêt diminuant des consommateurs envers les berlines, il n’est que normal que Lincoln soit hésitant d’importer les portes-suicides de ce côté-ci de la frontière par crainte qu’elle dorme dans les cours de concessionnaires.

Et vous, si une Continental du genre était disponible sur notre marché, seriez-vous preneur?

La Lamborghini du pape pourrait être à vous

Via la plateforme Omaze est organisé le tirage de la Lamborghini Huracán du pape François.

Rappelons-nous que ce dernier a reçu, en novembre 2017, cette voiture du prestigieux constructeur italien. À ce moment, il s’est empressé de l’autographier et de la bénir.

Peinte en blanc, cette Huracán a été décorée de quelques garnitures de couleur Giallo Tiberino. La combinaison de ces deux teintes n’a pas été choisie par hasard. En effet, c’est celle qu’on retrouve sur le drapeau du Vatican.

Il s’agit d’une version à toit rigide et à roues motrices arrière.

Cette Huracán n’a pas remplacé sa fidèle papemobile.

Le gagnant du tirage se verra remettre les clés de la voiture lors d’une cérémonie privée où seront réunis le pape François et le PDG deLamborghini, Stefano Domenicali.

Pour participer au tirage, il suffit d’acquérir des billets virtuels sur la plateforme. Le coût varie de 10 à 5 000 $. Plus le montant est grand, plus les chances de gagner sont élevées.

Les sommes recueillies seront redistribuées par l’organisme Charities Aid Foundation of America.

Il reste 42 jours pour participer à ce tirage.

Audi e-tron quattro 2019 : un nouveau standard pour la recharge rapide

La recharge d’un véhicule électrique peut s’opérer sur plusieurs scénarios, dépendamment de la puissance du courant électrique qui est livré au véhicule et de la vitesse à laquelle sa batterie est en mesure d’absorber la charge.

Le nouveau VUS électrique Audi e-tron quattro, qui sera commercialisé au pays dès le deuxième trimestre de 2019 à un prix de départ de 90 000 $, n’échappe pas aux règles de la physique en ce qui a trait à sa recharge et, à l’occasion de la première mondiale du e-tron quattro, Audi a annoncé les spécifications suivantes.

En Amérique du Nord, lorsque le véhicule est branché à une borne de recharge conventionnelle de 220 volts livrant 9 kilowatts, la recharge complète est accomplie en dix heures. En le branchant sur une borne de recharge rapide de 50 kilowatts, il est possible de charger la batterie de 80% en 80 minutes. Si le chargeur livre 100 kilowatts, ce temps est réduit de moitié, soit à 40 minutes. En Europe, il sera possible de se brancher sur une borne de 400 volts et 150 kilowatts pour obtenir une charge de 80% en trente minutes.

Pourquoi une recharge à seulement à 80% et non à 100%? La réponse est que la recharge se fait à intensité maximale au début et diminue vers la fin, alors que les électrons sont stockés dans la batterie.

Pour bien comprendre ce phénomène, imaginez que vous faites partie du public qui entre dans une salle de cinéma qui est vide. Au début, il est facile pour les spectateurs de se trouver une place qui leur convient et de s’y installer. Plus la salle se remplit, plus les nouveaux arrivants doivent prendre du temps pour repérer des places inoccupées et se faufiler entre les spectateurs déjà assis pour les rejoindre. La salle de cinéma, c’est la batterie du véhicule électrique et les spectateurs sont les électrons. Voilà pourquoi la vitesse de recharge s’opère rapidement au début et ralentit vers la fin.

Cependant, lors d’une démonstration de la recharge sur une borne de recharge rapide de 175 kilowatts du réseau FastNed aux Pays-Bas, le e-tron quattro a établi un nouveau standard alors que sa recharge a débuté à un niveau de charge de 29% jusqu’à la recharge complète. Le taux de charge a atteint vite 150 kilowatts et a même atteint un pic de 155 kilowatts à environ 70% de l’état de charge. Le taux de charge s’est ensuite maintenu aux alentours de150 kilowatts alors que la batterie était chargée à 80%, pour être réduit à 50 kilowatts jusqu’à la recharge complète de la batterie. À titre de comparaison, le Tesla Model X plafonne à un taux de recharge de 120 kilowatts, et ce taux baisse bien avant que la batterie n’atteigne 80% de sa charge.

Au Canada, le groupe Volkswagen a créé Electrify Canada, dont le plan initial comprend l’installation d’un réseau de 32 stations de bornes de recharge rapide capables de livrer une puissance de 50, 150 et même 350 kilowatts en prévision de l’arrivée sur notre marché de véhicules comme l’Audi e-tron quattro et la Porsche Taycan, entre autres. L’achat ou la location de l’Audi e-tron quattro au Canada permettra à la clientèle de profiter sans frais d’un abonnement illimité aux bornes de ce réseau.

Mercedes-Benz CLA 2019 : première mondiale en approche au CES de Las Vegas

Signe des temps, Mercedes-Benz a choisi le Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas, et non le Salon de l’auto de Detroit, pour la première mondiale de la deuxième génération de son « coupé à quatre portes » CLA le 8 janvier prochain. Depuis quelques années, le CES est devenu le théâtre de plusieurs dévoilements de modèles ou encore un événement de prédilection pour l’introduction de nouvelles technologies, et l’édition 2019 ne fera pas exception à cette tradition.

La CLA de deuxième génération conserve une filiation très évidente avec le modèle de première génération en ce qui a trait au design de sa carrosserie, exception faite d’un empattement allongé et de flancs retravaillés ainsi que de blocs optiques plus acérés et d’une nouvelle calandre. Si le look de la carrosserie demeure familier, le design de son habitacle marque un clivage très prononcé avec le modèle antérieur en reprenant la planche de bord élaborée pour la récente Classe A avec ses deux grands écrans et son nouveau système multimédia MBUX.

On s’attend également à ce que la division AMG propose une variante CLA 35, animée par un moteur quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres développant environ 300 chevaux, ainsi que l’AMG CLA 45 dont le moteur devrait générer plus de 400 chevaux, en cours d’année 2019 puisque des prototypes camouflés ont été aperçus lors d’essais menés par les ingénieurs de la marque en Allemagne.

Revenez nous début janvier pour tout savoir sur cette Mercedes-Benz CLA ainsi que sur tous les nouveaux modèles présentés au CES 2019 de Las Vegas.

Une nouvelle édition spéciale pour la Nissan GT-R

Nissan sortira une édition très spéciale de sa superbombe GT-R en l’honneur de Naomi Osaka, la première joueuse de tennis japonaise à avoir remporté un tournoi du Grand Chelem en simple, hommes et femmes confondus.

Pour les collectionneurs
Seulement 50 de ces Nissan GT-R seront produites, assorties de trois couleurs exclusives, soit Midnight Opal (mauve), Brilliant White Pearl (blanc) et Meteor Flake Black Pearl (noir). Trois couleurs d’habitacle bien distinctes ont également été créées pour agrémenter ce modèle à tirage limité, chacune pouvant être associée à la couleur extérieure de notre choix.

Mécaniquement, l’auto demeure intacte, même chose au niveau de son apparence globale, si ce n’est de l’ajout de feux de freinage à DEL installés sur un aileron en fibre de carbone, ainsi qu’une plaque commémorative avec numéro de série étampée en or dans le compartiment moteur.

Malheureusement, cette édition limitée ne sera commercialisée qu’au Japon. Les prix seront annoncés le mois prochain. Il vous faudra attendre 15 ans pour vous en importer une sur notre marché. Rendu-là, la Nissan GT-R édition Naomi Osaka risque de déjà valoir une belle petite fortune.