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La première Toyota Supra 2020 vendue plus de 2 M$

Quelques jours à peine après le dévoilement officiel de la nouvelle Toyota Supra 2020, le premier exemplaire de ce nouveau modèle a fait sauter la caisse aux enchères.

Mise à l’encan en Arizona par la firme Barrett-Jackson, la Supra au numéro de série 20201 a finalement été vendue pour 2,1 M$ US, soit l’équivalent d’environ 2,8 M$ CAN. C’est beaucoup d’argent, quand on sait qu’une Supra 2020 « Launch Edition » ne coûtera que 56 180 $ aux États-Unis.

Vêtue d’une carrosserie grise et d’un intérieur rouge, cette première Supra 2020 devient automatiquement une pièce de collection. En plus de son numéro de série, elle se démarque par la signature du PDG de Toyota, Akio Toyoda, sur son couvre-moteur.

Les profits engendrés par Toyota dans le cadre de cette vente faramineuse seront remis aux fondations American Heart Association et Bob Woodruff Foundation.

Un peu moins pour la Mustang GT500
Au même encan, la première édition de la Ford Mustang Shelby GT500 2020 a aussi été mise en vente.

Avec son moteur V8 de plus de 700 chevaux, elle a été vendue pour 1,1 M$ US. Comme Toyota, Ford remettra les profits liés à cette vente à des œuvres de charité.

Meilleure technologie 2019 du Guide de l'auto : Mazda SKYACTIV-X

Lorsque Mazda a introduit la technologie SKYACTIV il y a presque dix ans, qui touchait à la fois les plates-formes et les motorisations de ses véhicules, le constructeur a non seulement dynamisé le comportement routier de ses voitures et VUS, mais en plus il a grandement réduit la consommation de ses moteurs. Mazda récidive cette fois avec la technologie SKYACTIV-X, démontrant que l’on n’a pas encore exploité à fond le moteur à combustion en ce qui a trait à la réduction des émissions polluantes et de l’efficacité énergétique.

Après avoir conduit des prototypes du constructeur équipés de cette nouvelle motorisation, on a pu témoigner de sa puissance, de son couple généreux à bas régime et de son faible appétit en carburant. En effet, le nouveau moteur de 2,0 litres, muni d’un compresseur volumétrique, produirait 10% à 30% plus de couple que le quatre cylindres Mazda actuellement sur le marché, mais une consommation réduite de 20% à 30%. Tout cela avec de l’essence ordinaire, et sans recourir à la complexité de l’hybridation. Considérée comme étant la meilleure technologie de l’année, selon l’équipe du Guide de l’auto, SKYACTIV-X devrait se retrouver sous peu dans les nouveaux modèles Mazda.

L’histoire de Volvo, celle qui roule… en beauté et en sagesse

Pour plusieurs, le nom Volvo est synonyme de sécurité, de solidité et de luxe. D’un certain prestige aussi.

Pour d’autres, il s’agit de tracteurs, de camions ou de pelles mécaniques. Aujourd’hui, ces deux entités sont séparées mais continuent de partager le nom Volvo et son logo. Voyons comment tout ça a commencé…

Le nom Volvo pourrait se traduire en latin par «Je roule», ce qui est parfait pour représenter une automobile. Or, le 11 mai 1915, le nom Volvo a d’abord été déposé pour être apposé sur un nouveau type de roulements à billes fabriqué par SKF, compagnie qui existe toujours, d’ailleurs.

Mais le nom ne fut jamais utilisé pour les roulements à billes. Question de diversifier son offre et, par le fait même, trouver de nouveaux débouchés pour ses produits, SKF se lance dans la fabrication automobile en 1926. Le nom Volvo s’impose! Le 14 avril 1927, une première Volvo quitte la chaîne d’assemblage de Göteborg, en Suède, une ÖV4.

Parfaites pour les routes du Québec!
Pour affronter le dur climat et les routes cahoteuses du pays, les Volvo sont conçues et fabriquées pour être solides, une caractéristique qui ne les quittera jamais. Autre caractéristique qui accompagne encore les Volvo, le symbole Mars ou, si vous préférez, du mâle avec son cercle et sa flèche pointant le ciel. Selon un communiqué de presse de Volvo, ce logo serait «l’un des idéogrammes les plus anciens et les plus courants de la culture occidentale».

La PV544 et la ceinture de sécurité à trois points
En 1944, Volvo dévoile une voiture qui sera marquante, la résolument moderne PV444. Cette série fera partie du catalogue de Volvo jusque dans les années 60, sous différentes déclinaisons. C’est d’ailleurs avec la PV544 que Volvo tâte le terrain américain en 1955, tout d’abord via un distributeur indépendant puis, en 1956, en établissant un réseau de vente.

Depuis ses débuts, le constructeur de Göteborg s’est aussi distingué par son niveau très relevé de sécurité. En 1959, l’ingénieur Nils Bohlins développe une ceinture de sécurité à trois points, la même que nous utilisons encore, et on la voit pour la première fois dans la PV544, cette même année.

Des Volvo fabriquées au Canada
Peu de gens le savent… Volvo a déjà assemblé des voitures au Canada. À Halifax, en Nouvelle-Écosse. Cette aventure débute le 11 juin 1963 lorsque Volvo y ouvre sa première usine d’assemblage à l’extérieur de la Suède. Il s’agissait aussi de la première usine nord-américaine à être opérée par un constructeur non américain. Cette usine évitait à Volvo les tarifs douaniers sur les produits importés et allait lui permettre de profiter de l’accord du pacte de l’automobile entre les États-Unis et le Canada qui allait être signé dès 1965.

La première usine canadienne est construite à Halifax et on y assemble, entre autres, les Amazon 122 S et 123 GT. En 1967, les installations sont devenues trop exigües et la marque suédoise déménage ses pénates de l’autre côté de la rivière, à Darmouth, dans une usine de 30 000 pieds carrés, capable de produire plus de 8 000 voitures par an. La production s’arrêtera le 18 décembre 1998.

La plus connue des Volvo, celle de Simon Templar
Une des voitures les plus importantes mais aussi les plus inattendues de Volvo est dévoilée officiellement au Salon de l’auto de Genève 1961, la P 1800. La ligne sportive, à des lieux de celle de la PV 444, est l’œuvre de Pietro Frua, pour le compte de la Carrozzeria Ghia. Une très belle version familiale sera aussi produite, la P 1800 S. Cette icône suédoise devient également une vedette internationale grâce à Roger Moore et son personnage Simon Templar de la série Le Saint. La dernière Volvo P1800 est construite le 27 juin 1973.

Merci Simon!
Malgré les succès, Volvo demeure un très petit constructeur. Durant les années 70, il devient évident qu’il doit s’associer à un autre s’il veut survivre. Une entente avec l’autre constructeur suédois, SAAB, échoue en 1978. Dans les années 90, c’est une association avec Renault qui achoppe. En passant, c’est en plein milieu de cette décennie tourmentée qu’un jeune Québécois, Simon Lamarre, amorce sa carrière chez Volvo, en Suède. On doit à ce natif de Sainte-Thérèse, l’habitacle du premier XC90 (2002), le style incomparable du coupé C30 et celui, très beau, de la familiale V40 de 2012.

Jusque vers la fin des années 90, Volvo produit des automobiles mais aussi des camions et de l’équipement lourd. La direction prend alors la décision de se départir de la division automobile pour se concentrer sur les autres produits. Surprise, c’est Ford qui se montre intéressé! Le 28 janvier 1999, Ford annonce avoir fait l’achat de Volvo Cars pour 6,45 G$. Elle pourra toutefois conserver le nom Volvo et son très populaire logo. C’est sous le règne de Ford que naît le désormais illustre, et probablement le sauveur de Volvo, le VUS intermédiaire XC90.

Ford est passé, Ford est parti
La crise économique de 2008 oblige toutefois Ford à revoir ses plans. Le constructeur américain se départit alors de Jaguar/Land Rover (qu’il vend à Tata Motors), puis de Volvo. Plusieurs marques sont intéressées, dont BMW et Volkswagen mais c’est le constructeur chinois Geely qui l’acquiert le 2 août 2010.

Une marque chinoise qui ne copie pas
Auparavant totalement inconnue ici, Geely, fondée en 1986, est rapidement devenue une multinationale incontournable dans le domaine de l’automobile. L’arrivée de Volvo en 2010 fait partie d’une vision à long terme qui englobe maintenant des marques comme la London EV Company, Yuan Cheng, Proton et Lotus. Plutôt que de pirater la technologie et profiter platement de la renommée du nom Volvo, Geely choisit de donner à la marque suédoise toute l’attention qu’elle mérite et développe un plan d’action pour lui permettre de croître.

Volvo vers demain
Volvo bénéficie maintenant d’une nouvelle gamme de moteurs turbo et surcompressés, d’un programme d’hybridation et d’électrification sérieux, et la division sportive Polestar, fondée en 2005 mais ayant des racines jusqu’en 1996, connaît un essor fulgurant.

Volvo, on l’a vu, a établi sa réputation sur son niveau très élevé de sécurité. Lentement, elle perd cet avantage puisqu’à cause du coût de plus en plus abordable de la technologie et de la facilité avec laquelle elle peut être adaptée à une foule d’applications, les autres constructeurs proposent aussi des voitures de plus en plus sécuritaires. Au fil des années, on doit à Volvo, outre la ci-haut mentionnée ceinture de sécurité, le siège d’appoint pour bébé (1976) et, mieux, le siège d’appoint intégré (1990).

L’avenir de Volvo semble aujourd’hui rempli de promesses. Son portfolio comporte plusieurs véhicules intéressants et jouit d’un bel équilibre entre berlines, familiales et VUS. En plus, les organes mécaniques sont modernes et en parfaite symbiose avec la tendance actuelle vers l’efficacité énergétique. Et comme si ce n’était pas assez, les lignes de tous ces véhicules s’avèrent fort rafraîchissantes. Reste juste à régler le problème de la fiabilité. Elle s’améliore, certes, mais on ne peut pas encore parler d’un exemple à suivre!

Lexus RX L 2019 : cinq choses à savoir

Le segment des véhicules utilitaires à sept passagers est devenu tellement populaire que même les constructeurs de luxe commencent a en offrir plus d’un au sein de leur gamme.

Avant l’année dernière, Lexus n’avait pas de concurrent viable aux Acura MDX, Infiniti QX60, Volvo XC90 et Audi Q7. Le constructeur a donc pris son VUS intermédiaire à cinq passagers, le RX, et a allongé sa plateforme tout en lui intégrant une troisième rangée de sièges. On le nomma ensuite le RX L.

Voici cinq choses à savoir au sujet du véhicule.

Il est considérablement plus long qu’un Lexus RX standard
Afin de pouvoir accommoder jusqu’à sept passagers, la plateforme du Lexus RX a dû être étirée de 112 mm. Le véhicule mesure donc 5 000 mm d’un parechoc à l’autre, faisant de lui un utilitaire de luxe plus long qu’un Acura MDX (4 984 mm), mais tout de même plus court qu’un Mazda CX-9 (5 065 mm). Son empattement demeure toutefois identique au RX conventionnel, mais son toit et ses portières arrière ont été renforcés afin d’accommoder les nouvelles dimensions.

Hybride ou pétrole
Le Lexus RX L peut être alimentée par un choix de deux moteurs, soit un V6 (RX 350L) à essence, soit une motorisation hybride autonome (RX 450hL). Pour le RX 350L, le moteur dispose d’une cylindrée de 3,5 litres et développe une puissance totale de 290 chevaux et un couple de 263 lb-pi. Le RX 450hL, quant à lui, est alimenté par le même moteur V6, sauf qu’on lui a greffé des moteurs électriques pour une puissance totale de 308 chevaux, sans oublier une nette amélioration sur le plan de la consommation d’essence.

Rouage intégral, électrique?
Comme la plupart de ses concurrents, la Lexus RX L s’offre avec soit un rouage à traction, soit intégral, et ce, autant sur les déclinaisons à essence qu’hybrides. Mais contrairement au RX 350L, qui fait recours à une transmission intégrale conventionnelle – c’est-à-dire qu’il envoie la puissance aux roues arrière lorsqu’une perte d’adhérence est détectée –, le rouage intégral du RX 450hL est contrôlé en partie par le moteur électrique situé à l’arrière du véhicule.

Sa longueur le rend moins puissant
En raison de sa carrosserie étirée, les ingénieurs devaient modifier le système d’échappement du véhicule. Celui-ci, désormais plus long que sur le RX 350 ordinaire, est un tantinet plus restrictif, menant à une légère perte de puissance. Or, le moteur V6 passe de 295 à 290 chevaux, et le couple, de 267 à 263 lb-pi.

Son coffre est petit
Inévitablement, l’ajout d’une troisième rangée de sièges a un effet néfaste sur l’espace de chargement du coffre. Celui-ci passe de 521 à seulement 211 litres. Certes, il est possible d’abaisser les dossiers de sièges pour obtenir plus d’espace, mais même une fois toutes les banquettes rangées dans le plancher, le RX L ne dispose que de 1 656 litres d’espace de chargement total, ce qui est inférieur à celui de l’Acura MDX (2 575 litres) et de l’Infiniti QX60 (2 166 litres).

Tesla élimine la version de base 75D de ses Model S et Model X

Si vous avez visité le site de Tesla cette semaine, vous aurez sans doute remarqué que la variante 75D des Model S et Model X n’est plus offerte. C’est effectivement ce qu’a annoncé Elon Musk dans un récent gazouillis.

« À partir de lundi, Tesla n’acceptera plus les commandes des versions 75 kWh des Model S et X. Si vous désirez cette version, veuillez passer vos commandes avant dimanche soir sur le site de Tesla. »

Le prix de détail de la Model S 75D était de 99 950 $ au Canada, 114 700 $ dans le cas du Model X. Ces versions permettaient aux amateurs de la marque de s’offrir une version certes moins performante, mais beaucoup plus accessible, surtout au Canada.

Les acheteurs devront maintenant se rabattre sur les versions 100D, plus puissantes et dotées d’une autonomie supérieure, offertes à un prix de 124 600 $ pour la Model S et 127 700 $ pour le Model X. La plus abordable des Tesla demeure la Model 3 dont les ventes ont explosé au Canada en 2018.

On croit que Tesla a éliminé les versions de base afin de maximiser sa profitabilité et que l’intérêt des livrées de base est moindre aux États-Unis depuis l’arrivée de la Model 3. C’est d’ailleurs cette dernière qui permet maintenant d’attirer les amateurs de la marque plus sensibles à leur budget.

Le Guide de l’auto débarque à la radio

À compter du 19 janvier, Le Guide de l’Auto aura sa propre émission de radio sur la nouvelle plateforme numérique QUB radio.

Tous les samedis à 10h, cette émission animée par Antoine Joubert et Germain Goyer couvrira le monde automobile en long en large, des voitures neuves aux classiques qui font vibrer les nostalgiques. Les deux experts s’assureront également de répondre à vos questions.

«La radio est un médium de j’adore, indique Antoine Joubert, journaliste automobile. Ça faisait longtemps que je rêvais d’avoir ma propre émission! La radio me permet de partager ma passion de l’automobile avec les auditeurs et de parler avec des personnes clés de l’industrie. J’ai super hâte de plonger dans cette nouvelle aventure aux côtés de mon sympathique acolyte Germain!»

Pour le lancement de cette nouvelle émission, le duo animera en direct du Salon de l’auto de Montréal le samedi 19 janvier avec deux émissions spéciales, l’une à 10h et l’autre à 14h. Pour ne rien manquer, téléchargez l’application QUB radio pour iOS et Android ou écoutez l’émission de radio en direct sur qub.radio ou en reprise, sous forme de balado.

Une Mazda3 hybride bientôt offerte en Amérique du Nord?

La toute nouvelle génération de la Mazda3 a fait son apparition dans le cadre du dernier Salon de l’auto de Los Angeles. La grande nouvelle, c’est que non seulement la voiture profite d’une refonte esthétique complète, mais on a décidé de la proposer avec un rouage intégral optionnel, une première pour le modèle.

Toutefois, ce qui est passé un peu plus sous le radar, c’est que la Mazda3 2019 sera aussi offerte dans d’autres marchés, notamment l’Europe, avec un moteur SKYACTIV-X jumelé à un système hybride léger. Ce type de système comprend un petit ensemble de batteries au lithium-ion de 24 volts et un petit moteur électrique positionné entre le moteur à combustion et la boîte de vitesses. L’apport électrique permet d’ajouter du couple en accélération, mais surtout, de réduire la consommation en carburant.

Mazda a introduit cette technologie afin de répondre aux normes plus strictes dans certains marchés, mais il n’est pas impossible que cette technologie soit offerte en Amérique du Nord selon ce que nous avons appris des dirigeants de Mazda lors de leur passage au Salon de l’auto de Montréal.

Selon le constructeur, équipé de la technologie hybride légère, ce moteur quatre cylindres SKYACTIV-X offrirait pratiquement le même niveau de performances que le moteur de 2,5 litres tout en procurant une économie de carburant de loin supérieure.

La volonté d’introduire cette livrée n’est certainement pas en cause, le dilemme touchera beaucoup plus le prix. Déjà que la nouvelle Mazda3 ne sera pas la plus abordable du lot, un prix trop élevé pour une version hybride pourrait miner son intérêt.

Toyota RAV4 hybride 2019 : prix annoncés

Après avoir dévoilé l’échelle de prix du Toyota RAV4 2019 il y a deux mois, Toyota Canada vient tout juste d’annoncer les PDSF de la version hybride du VUS compact.

Vendu à partir de 32 090 $ avant les frais de transport et de préparation, le RAV4 hybride LE propose un système multimédia Entune 3.0 avec écran tactile de sept pouces, une intégration Apple CarPlay, un climatiseur automatique bizone, des phares et feux de jour à DEL, des jantes en alliage de 17 pouces, des longerons de toit ainsi que la suite Toyota Safety Sense 2.0 qui comprend l’alerte de précollision frontale avec freinage autonome d’urgence, le régulateur de vitesse intelligent, la surveillance des angles morts et bien plus.

Le RAV4 hybride XLE à 35 090 $ ajoute un toit ouvrant, un siège du conducteur à huit réglages électriques, un hayon à commande électrique, une clé intelligente, un volant chauffant et gainé de cuir, des essuie-glaces à capteur de pluie, des phares antibrouillard, cinq ports USB ainsi que des poignées de porte et des embouts d’échappement chromés.

Le RAV4 hybride XSE à 38 090 $ obtient une suspension à réglage sport, des roues de 18 pouces, un toit noir, un écran tactile de huit pouces, une compatibilité de radio SiriusXM ainsi que des sièges sport avec garnissage Softex, entre autres. Pour 2 500 $ supplémentaires, le groupe Technologie peut être ajouté qui regroupe une chaîne audio JBL à neuf haut-parleurs, un système de navigation intégré, un sonar et une assistance au stationnement et une recharge de téléphones sans fil.

Finalement, le RAV4 hybride Limited à 42 090 $ reçoit tout l’équipement du XSE avec groupe Technologie, mais sans la suspension sport et les antibrouillards. Il profite également de jantes de 18 pouces et d’une calandre uniques, des coques de rétroviseurs chromés avec éclairage au sol, un hayon à mains libres, des sièges avant chauffants et ventilés, des sièges arrière chauffants et une sellerie en cuir Softex spécifique.

Les prix du RAV4 non hybride varient de 27 990 $ – ou 30 690 $ avec le rouage intégral – à 40 690 $.

La motorisation du Toyota RAV4 hybride 2019 combine un quatre cylindres de 2,5 litres avec un moteur électrique et un bloc de batteries afin de produire un total de 219 chevaux, le tout géré par une boîte automatique à variation continue électronique. Le rouage intégral figure de série. Toyota Canada avance une consommation ville/route de 5,8 / 6,3 L/100 km, pour une moyenne mixte de 6,0 L/100 km. La cote combinée de l’ancienne génération du RAV4 hybride s’élevait à 7,3 L/100 km.

Le RAV4 hybride sera mis en vente au printemps.

Encore plus de puissance pour la Dodge Challenger Hellcat

Déjà l’une des voitures les plus puissantes de l’industrie avec ses 717 chevaux, la rutilante Dodge Challenger SRT Hellcat arrive au Salon de l’auto de Montréal avec sa nouvelle version Redeye.

La Redeye, c’est un monstre de 797 chevaux, gracieuseté d’un moteur V8 HEMI suralimenté de 6,2 litres. Il s’agit grosso modo de la même mécanique qui alimentait la Challenger SRT Demon, un bolide encore plus puissant qui n’a été construit qu’à 3 300 exemplaires dont seulement 300 ont été livrés au Canada.

Capable de passer de 0 à 100 km/h en 3,4 secondes et de franchir le quart de mile en 10,8 secondes, la Hellcat Redeye sera assurément l’un des modèles les plus courus du Salon cette année!

La Volvo V60 Cross Country 2019 présentée à Montréal

Seulement quelques mois après le lancement officiel de la toute nouvelle Volvo S60/V60, voilà que la marque nous présente déjà la déclinaison Cross Country du modèle. Elle est présentée en grande primeur canadienne au Salon de l’auto de Montréal.

La V60 est la dernière voiture au sein de la gamme Volvo à subir la plus récente cure de rajeunissement du constructeur. Se situant dans le segment des voitures de luxe compactes, elle rivalisera principalement des voitures comme la BMW Série 3, la Mercedes-Benz Classe C, l’Audi A4, la Lexus IS, l’Infiniti Q50, l’Acura TLX, la Jaguar XE et l’Alfa Romeo Giulia.

En déclinaison Cross Country, sa suspension a été légèrement soulevée et sa carrosserie renforcée afin qu’elle puisse affronter les sentiers battus. Équipée de série avec le rouage intégral, cette familiale « de guerre » sera alimentée par un moteur quatre cylindres turbo de 250 chevaux qu’on surnomme le T5.

Pour le moment, la motorisation hybride rechargeable (T8) qu’on retrouve dans la S60 conventionnelle ne sera pas offerte, mais il ne serait pas impossible qu’elle s’ajoute à la gamme prochainement. Toutes les Volvo V60 Cross Country 2019 viendront de série avec une boîte automatique à huit rapports, sans oublier les fameux phares à DEL Thor’s Hammer d’une beauté absolument exquise.

Cette nouvelle Volvo familiale arrivera dans les concessionnaires canadiens ce printemps.

La troisième saison de The Grand Tour débute aujourd’hui

Si vous ne savez toujours pas ce qu’est The Grand Tour, sachez que c’est actuellement l’une des émissions d’automobile les plus regardées la planète, sans oublier une des plus cool.

Diffusée sur la chaîne Prime Video d’Amazon, l’émission suit les aventures de Jeremy Clarkson, Richard Hammond et James May, des journalistes automobiles britanniques qui animaient anciennement l’émission Top Gear. C’est aujourd’hui que débute la troisième saison de l’émission.

Du gros budget
Comme les deux premières saisons, on s’attend à un budget colossal, montrant le trio conduire les bolides les plus puissants de la planète, tout en s’aventurant dans les endroits les plus magistraux, complétant des défis parfois idiots, sans oublier quelques explosions lors de l’épopée.

Dans la bande-annonce, nous sommes présentés à Richard Hammond au volant d’une camionnette Chevrolet. Il traverse un ravin sur un fébrile pont en bois. Évidemment, sa camionnette tombe en panne en plein milieu du pont.

Parmi les nouveautés, on aperçoit le trio à bord de trois « muscle car » américains iconiques, la Ford Mustang, la Dodge Challenger et la Chevrolet Camaro. Jeremy Clarkson met à l’essai la McLaren Senna, et affronte une pilote de course professionnelle sur un circuit glacé au volant d’un Lamborghini Urus.

Tout ça sera diffusé sur une série de treize épisodes, disponible dès aujourd’hui sur Prime Video. C’est un rendez-vous à ne pas manquer!

Le Ford Explorer 2020 présenté au Salon de Montréal

Quelques jours à peine après son dévoilement mondial au Salon de l’auto de Detroit, Le Ford Explorer 2020 arrive au Salon de Montréal pour sa première apparition en sol canadien.

Présenté sous une toute nouvelle génération, l’Explorer 2020 adopte un design qui se dissocie du modèle actuel tout en conservant un air de famille bien clair.

Un nouveau moteur… et une version hybride
Sous le capot, l’Explorer dit adieu au V6 atmosphérique qui lui servait de motorisation de base. Le moteur d’entrée de gamme devient plutôt un bloc à quatre cylindres biturbo de 2,3 litres, lequel sera jumelé à une boîte automatique à 10 rapports.

Ford n’a pas encore confirmé la puissance de ce moteur pour 2020, mais le constructeur prédit une puissance de 300 chevaux et un couple de 310 livres-pied. Notons que cette mécanique est déjà offerte en option avec l’Explorer 2019, mais sa puissance est limitée à 280 chevaux.

Pour 2020, le Ford Explorer proposera désormais un nouveau moteur à six cylindres turbocompressé de 3,0 litres. De plus petite cylindrée que le moteur de 3,5 litres qu’elle remplace, cette motorisation optionnelle devrait néanmoins offrir des performances supérieures, estime Ford. Le constructeur parle d’une puissance (estimée pour le moment) de 365 chevaux et d’un couple de 380 livres-pied.

Ford a aussi brièvement confirmé qu’une variante hybride sera commercialisée, mais les détails quant à cette nouvelle version n’ont pas été dévoilés. Rappelons qu’en mars dernier, Ford avait annoncé que tous ses VUS allaient être offerts avec une version hybride ou hybride rechargeable dès 2020.

Finalement, pour les amateurs de performance, sachez que l’Explorer sera aussi commercialisé en variante ST, comme c’est dorénavant le cas pour l’Edge.

Plus de techno
Plus léger que le modèle qu’il remplace, l’Explorer 2020 sera livré de série avec l’ensemble Ford Co-Pilot 360, regroupant plusieurs technologies d’aide à la conduite telles que l’avertissement de présence dans les angles morts, le système de maintien de voie et l’assistance précollision avec système de freinage d’urgence automatique.

Parlant de technologie, l’Explorer 2020 sera désormais disponible avec un écran tactile de 10,1 pouces intégrant la dernière génération du système multimédia SYNC.

Le VUS américain sera aussi équipé d’un régulateur de vitesse adaptatif capable d’identifier les panneaux de signalisation et pourra aussi se stationner de lui-même à la simple pression d’un bouton.

Et pour les amateurs de musique, Ford précise que l’Explorer 2020 sera aussi livrable avec un système audio à 14 haut-parleurs de 980 watts!

Construit aux États-Unis, le Ford Explorer 2020 arrivera chez les concessionnaires l’automne prochain.

Ford pourrait commercialiser un F-150 électrique

L’an dernier, on vous avait confirmé qu’un Ford F-150 hybride rechargeable arriverait pour 2020, une nouvelle qui nous avait été confiée lors de notre visite au centre de recherche du constructeur, à Dearborn au Michigan.

Mais depuis ce temps-là, les choses ont déjà beaucoup changé. Les voitures électriques sortent à profusion, et plus récemment, nous avons aperçu deux nouvelles entreprises américaines dévoiler des camionnettes entièrement électriques. Le Rivian R1T semble déjà prêt à venir voler des ventes aux grands constructeurs américains.

Ford, se fiant largement à ses camionnettes pour survivre, doit répliquer.

Pas avant la prochaine génération
Le 16 janvier 2019, le président de Ford Jim Farley a annoncé à ses investisseurs qu’un F-150 entièrement électrifié est en effet dans les plans de l’entreprise, mais il faudra attendre à la prochaine génération avant de le voir apparaître chez les concessionnaires.

Rappelons-le, le Ford F-150 actuel s’est pointé le but du nez en 2015, et a été mis à jour en 2018. Il y a de fortes chances qu’il soit avec nous encore jusqu’à l’année prochaine. C’est à ce moment-là où Ford sortira le nouveau modèle, offrant l’option d’une déclinaison hybride rechargeable.

Le F-150 à batteries mentionné ci-haut pourra donc prendre quelques années avant de voir le jour. D’ici là, rappelons-nous que le Rivian R1T est capable de remorquer 11 000 livres (4 989 kg) et de supporter une charge utile de 1 764 livres (800 kg). Du côté de Ford, aucune donnée technique n’est encore dévoilée pour son F-150 électrique.

Les VUS de luxe sont à l’honneur au Salon de l’auto de Montréal

Toujours très appréciée des visiteurs du Salon de l’auto, la présence des marques les plus prestigieuses de la planète permet de découvrir des modèles inusités qu’on n’aperçoit que très rarement sur nos routes.

Cette année, les VUS sont particulièrement présents sur le plancher du Palais des congrès, et ce même dans les kiosques de Lamborghini, Rolls-Royce et Jaguar.

Le Lamborghini Urus 2019, un VUS construit pour la piste
Chez Lamborghini, la grande vedette n’est pas une voiture sport, cette année. Il s’agit plutôt de l’Urus, un nouveau VUS dont les premiers exemplaires sont à peine arrivés chez Lamborghini Montréal.

Avec un V8 biturbo de 4,0 litres sous le capot, l’Urus propose une puissance tout simplement phénoménale de 650 chevaux. Cela lui permet de pousser sa carcasse de près de 2 200 kilos de 0 à 100 km/h en 3,6 secondes et d’atteindre une vitesse maximale dépassant les 300 km/h.

On a aussi droit à un rouage à quatre roues motrices, une suspension pneumatique et assez juste assez d’espace dans le coffre pour y loger deux sacs de golf!

À un prix de départ de 232 000 $, on peut parler d’un beau joujou pour les plus nantis.

Le Rolls-Royce Cullinan 2019 arrive
Comme Lamborghini, Rolls-Royce a elle aussi accueilli un VUS dans sa gamme au cours de la dernière année. Sauf qu’au lieu d’un véhicule axé sur la performance, le prestigieux constructeur britannique a mis le paquet sur le luxe.

Le Rolls-Royce Cullinan, dont le nom fait référence au plus gros diamant brut jamais découvert, partage sa plateforme avec la nouvelle génération de l’iconique Phantom. Idem pour la motorisation, un V12 biturbo de 6,75 litres d’une puissance de 563 chevaux.

Vous trouviez la facture salée pour le Lamborghini Urus? Avec le Cullinan, c’est encore pire! Au Canada, Rolls-Royce demande un prix de base de 401 000 $. Aussi bien vous rendre au Salon de l’auto pour l’admirer, parce qu’à ce prix-là, vous n’en croiserez pas des tonnes sur la route!

Chez Jaguar, on passe en mode électrique
Si les VUS sont souvent synonymes de gros moteurs à essence, Jaguar a décidé de faire les choses autrement. Avec l’I-PACE, le tout premier modèle entièrement électrique de la marque, on propose un véhicule utilitaire dont la batterie de 90 kWh permet une autonomie de près de 400 kilomètres.

Est-ce que ce nouveau modèle de Jaguar saura charmer les propriétaires de Tesla Model S et Model X? Chose certaine, l’I-PACE prouve que le constructeur met les bouchées doubles en ce moment pour faire sa place dans le créneau des véhicules électriques.

À un prix de départ de 86 500 $, le Jaguar I-PACE 2019 n’est définitivement pas pour toutes les bourses. Sauf qu’à côté du Lamborghini Urus et du Rolls-Royce Cullinan, on peut presque parler d’une aubaine!

Le Jaguar I-PACE sera présenté en primeur canadienne au Salon de l’auto de Montréal, du 18 au 27 janvier.

Le Honda Passport 2019 présenté en primeur canadienne à Montréal

Dévoilé en primeur en novembre dernier à Los Angeles, le Honda Passport 2019 effectue son arrivée en sol canadien pour la toute première fois dans le cadre du Salon international de l’auto de Montréal.

Se glissant entre le CR-V et le Pilot, le Passport devient le quatrième véhicule utilitaire sport offert actuellement par Honda. Son arrivée chez les concessionnaires est prévue pour le début de 2019.

Un moteur de choix
Sous le capot du tout nouveau Passport se trouve un V6 de 3,5 litres qui développe une puissance et un couple qui s’élèvent respectivement à 280 chevaux et 262 livres-pied. Ce moteur i-VTEC est jumelé à la plus récente boîte automatique à neuf rapports conçue par le constructeur japonais.

Cette mécanique, qui a su faire ses preuves, est exactement la même que celle du Pilot. Bref, on est en terrain connu chez Honda.

Le Passport sera évidemment offert avec un rouage intégral, mais il sera aussi disponible avec une architecture à roues motrices avant. On parle d’une capacité de remorquage de 1 588 kilogrammes (3 500 livres) avec la version de base et de 2 268 kg (5 000 lb) avec la transmission intégrale.

De la sécurité pour tous
Peu importe la déclinaison choisie, le Honda Passport 2019 est équipé de l’ensemble Honda Sensing. Cette technologie comprend entre autres :

  • L’alerte de collision avant
  • Le système de freinage à réduction d’impact
  • L’avertissement de sortie de voie
  • L’assistance au franchissement involontaire de ligne
  • L’atténuation de sortie de voie
  • Le régulateur de vitesse adaptatif

Un nom ramené à la vie
Le nom Passport n’a pas été choisi au hasard par Honda. Il s’agit de l’appellation qu’on avait donnée au tout premier VUS commercialisé en Amérique du Nord par le constructeur japonais, en 1994. Il s’agissait alors grosso modo d’un Isuzu Rodeo auquel on avait apposé un logo Honda!

Contrairement au nouveau modèle, cet ancien Passport n’avait été vendu qu’aux États-Unis et n’a jamais traversé la frontière canadienne.

Deux primeurs canadiennes pour Nissan à Montréal

Bien que Nissan l’ait dévoilée en primeur mondiale à New York au printemps dernier, c’est à Montréal que l’Altima de sixième génération sera présentée pour la première fois au Canada.

Pour 2019, cette berline intermédiaire innove en offrant de série la transmission intégrale au Canada. Auparavant, l’Altima ne pouvait être livrée qu’avec les roues motrices avant.

En ce qui a trait à la motorisation, on retrouve un bloc à quatre cylindres de 2,5 litres qui produit une puissance de 182 chevaux et un couple 178 livres-pied. Bien qu’il s’agisse d’un moteur familier chez Nissan, le constructeur japonais assure que 80% des pièces sont nouvelles ou redessinées.

Une mécanique optionnelle est également proposée, mais seulement aux États-Unis, pas au Canada. Il s’agit du même moteur turbocompressé à compression variable qui a d’abord été présenté avec l’Infiniti QX50 2019. Développant 248 chevaux et 273 livres-pied, force est d’admettre qu’il s’agit d’une motorisation plus qu’intéressante. On doit toutefois s’en passer de ce côté-ci de la frontière.

Esthétiquement, l’Altima a été entièrement revue. Reprenant certains coups de crayon de la Maxima, la berline intermédiaire ne peut renier son appartenance à la famille Nissan avec sa calandre en V.

Le système d’assistance à la conduite ProPILOT est offert de série avec les versions SV et Platine. Grâce à une caméra, un radar et des capteurs, cet ensemble technologique permet à la voiture de rester au centre de sa voie tout en maintenant une vitesse constante. Il offre également la possibilité de gérer la distance avec le véhicule devant. Il va même jusqu’à immobiliser le véhicule complètement si un embouteillage se produit.

Un Murano légèrement rafraîchi
Présenté pour une première fois au Salon de l’automobile de Los Angeles en novembre dernier, le Murano 2019 débarque en primeur canadienne à Montréal.

Il est à noter qu’il ne s’agit pas d’un changement de génération pour ce véhicule utilitaire sport de taille intermédiaire. On a plutôt affaire à un léger rafraîchissement de mi-mandat.

Sous le capot du Murano, Nissan y a placé un moteur V6 de 3,5 litres qui développe 260 chevaux. Celui-ci est jumelé à une boîte automatique à variation continue. En fonction de la version choisie, il peut être livré avec les roues motrices avant ou la transmission intégrale.

Parmi les changements apportés pour ce millésime, notons les phares et feux à DEL, les nouveaux phares antibrouillard à DEL et les jantes redessinées de 18 ou de 20 pouces.

Soulignons aussi l’ajout de l’ensemble « bouclier » à 360 degrés. Celui-ci comprend les systèmes de freinage d’urgence avec détection des piétons, d’avertissement d’angle mort, d’alerte au trafic transversal, de détection de sortie de voie en plus du freinage d’urgence en marche arrière.

Au chapitre de la sécurité, ce n’est pas tout. Nissan équipe désormais le Murano de coussins gonflables latéraux additionnels pour la deuxième rangée et un coussin pour les genoux du passager à l’avant.

Le Murano 2019 arrive en concession simultanément avec le Salon International de l’Auto de Montréal.