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Un nouveau visage pour le Nissan Qashqai 2020

C’est au Salon de Chicago que Nissan a levé le voile sur la toute dernière mouture de son VUS sous-compact, le Qashqai (nommé le Rogue Sport aux États-Unis). Pour l’année-modèle 2020, il reçoit une mise à jour importante afin de mieux rivaliser un créneau de plus en plus en demande auprès des consommateurs.

Déjà?
Bien que le Qashqai ait seulement apparu sur notre marché en 2017, il existe dans d’autres marchés sous sa forme actuelle depuis 2014. Il était donc temps pour lui de subir une cure de rajeunissement.

Mécaniquement, il demeure essentiellement inchangé et toujours alimenté par un quatre cylindres de 2,0 litres d’une puissance de 141 chevaux. Les Qashqai avec rouage intégral viendront uniquement équipés d’une boîte automatique à variation continue, tandis qu’il sera toujours possible d’opter pour une boîte manuelle à six rapports avec le rouage à traction.

Les changements de ce nouveau Qashqai sont surtout esthétiques et affectent principalement les options offertes sur le véhicule. On remarque d’ailleurs une nouvelle calandre incorporant le fameux design V-motion qu’on retrouve également sur le Rogue, l’Altima et la Maxima. De nouveaux phares à DEL, des feux arrière redessinés et de nouvelles jantes viennent compléter l’ensemble.

C’est au niveau de la technologie qu’on remarque les plus grands changements. Le système multimédia vient désormais de série avec Android Auto et Apple CarPlay. Un système audio plus performant de marque Bose sera également offert en option. Le Qashqai 2020 viendra de série avec l’ensemble Nissan Safety Shield 360 qui incorpore les plus récentes technologies en matière de sécurité, comme le freinage d’urgence en cas de collision, le régulateur de vitesse adaptatif et le détecteur de changement de voie, entre autres.

Nissan n’a toujours pas révélé le prix de ce nouveau Qashqai, mais il est prévu chez nos concessionnaires à l’automne prochain.

La Mazda MX-5 fête son 30e anniversaire avec une édition spéciale

En 2019, la Mazda MX-5 célèbre son trentième anniversaire. Pour l’occasion, le constructeur japonais a dévoilé une édition commémorative à l’occasion du salon de l’automobile de Chicago.

Fait intéressant, c’est à ce même salon que le petit roadster avait été présenté pour la toute première fois en 1989.

Cette édition spéciale se distingue par une couleur exclusive, soit l’« Orange Racing ». Cette teinte on ne peut plus éclatante est reprise par les étriers avant et arrière, les contours de buses de ventilation, les surpiqûres des sièges Recaro, dans les portes et sur tableau de bord.

On note aussi qu’elle est montée sur des jantes RAYS de 17 pouces. De couleur gris foncé, ces dernières s’inspirent de celles utilisées dans le championnat Global MX-5 Cup. Une plaque commémorative est également apposée sur la partie inférieure de l’aile arrière.

En Amérique du Nord, les consommateurs auront le choix entre le traditionnel toit souple ou le toit rigide de la version RF.

La date d’arrivée en concession de même que le prix de cette édition spéciale n’ont pas été divulgués.

Un modèle au riche passé
Dévoilée il a trente ans, la Miata offrait une palette qui ne comptait que trois couleurs : rouge, bleu et blanc.

Son petit moteur à quatre cylindres de 1,5 L ne développait alors que 116 chevaux. Ce qui la rendait désirable, c’est définitivement sa maniabilité et sa légèreté. En effet, elle ne pesait que 940 kilogrammes. À l’origine, elle représentait une alternative fiable aux roadsters anglais qui étaient réputés pour leurs pannes fréquentes.

Aujourd’hui, la MX-5 est animée par un moteur à quatre cylindres de 2,0 L qui génère 181 chevaux.

La Volkswagen Jetta GLI revient en force pour 2019

Après une année sabbatique en 2018, la GLI effectue un grand retour pour 2019. C’est au Salon de l’automobile de Chicago que le constructeur allemand l’a dévoilée.

Non seulement elle est plus puissante que celle qui nous a quittés, mais elle offre aussi un habitacle plus spacieux.

Construite sur la plateforme MQB, la GLI est équipée d’une suspension sport qui abaisse la garde au sol de 1,5 centimètre par rapport à l’actuelle Jetta.

De série, elle est équipée de phares et de feux à DEL. Il en est de même pour les jantes de 18 pouces et les freins empruntés à la Golf R.

Sous le capot, on retrouve un moteur turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 L. Celui-ci génère 228 chevaux et un couple de 258 livres-pied. Il s’agit d’une augmentation de 18 chevaux et de 41 livres-pied en comparaison avec la précédente GLI. Il s’agit de la même mécanique que celle proposée par la Volkswagen Golf GTI.

Toute la puissance est transmise aux roues motrices avant via une boîte manuelle à six rapports. Une boîte automatique DSG à sept rapports est livrable en option.

Comme c’est le cas aussi pour la GTI, on remarque que Volkswagen a conservé quelques appliques rouges qui distinguent ces deux variantes à vocation sportive.

L’arrivée de la Volkswagen Jetta GLI 2019 en Amérique du Nord est prévue pour le printemps prochain. Pour le moment, son prix demeure inconnu.

Un anniversaire à célébrer
Afin de souligner le 35e anniversaire du modèle, Volkswagen a préparé une édition spéciale de la berline sportive. On la reconnaît notamment par ses écussons commémoratifs, ses jantes, son toit, ses coques de rétroviseurs et ses déflecteurs noirs.

Une bonne mise à jour pour le Kia Sportage 2020

Trois ans après sa refonte, le Kia Sportage reçoit une bonne mise à jour pour l’année-modèle 2020. Présenté au Salon de Chicago, le VUS compact du constructeur coréen arrivera dans les concessionnaires d’ici ce printemps.

Un air de famille
Depuis l’arrivée de la Kia Stinger, la marque change tranquillement l’allure de sa gamme afin de conserver une cohérence dans le design vis-à-vis son modèle phare. On l’a vu avec la toute nouvelle Kia Forte. C’est maintenant autour du Sportage de suivre la tendance.

Du premier coup d’œil, on aperçoit une calandre légèrement modifiée, incorporant une nouvelle grille ainsi qu’un parechocs redessiné, semblables à ceux de la Stinger et la Forte. De nouveaux phares à DEL, de nouvelles jantes, ainsi que des feux arrière redessinés participent tous à rafraichir l’allure du petit VUS.

Côté mécanique, rien ne change. Les Sportage de base sont toujours alimentés par un quatre cylindres de 2,4 litres d’une puissance de 181 chevaux et un couple de 175 lb-pi. Le 2,0 litres turbo, offert sur les déclinaisons plus cossues, développe 237 chevaux et un couple de 260 lb-pi. Les deux moteurs sont associés à une boîte automatique à six rapports, qu’on opte pour le rouage à traction ou intégral.

C’est plutôt au niveau de la technologie que les changements sont marquants. Il sera désormais possible d’équiper le Sportage des plus récentes technologies en matière de sécurité, comme la détection de la somnolence, le détecteur de changement de voie et l’arrêt d’urgence en cas de collision. Une nouvelle interface multimédia, incorporé dans un écran tactile de huit pouces, vient désormais de série avec Android Auto et Apple CarPlay. Kia en également profité pour changer le design du volant et des buses d’aération dans l’habitacle. De nouvelles couleurs de carrosserie et de nouveaux matériaux pour les sièges sont également de la partie.

Aucun prix de vente n’a encore été dévoilé pour le marché canadien. Nous en saurons davantage peu avant son arrivée chez les concessionnaires.

Toyota présente le Sequoia TRD Pro 2020

Quand la gamme TRD Pro fut introduite chez Toyota aux États-Unis en 2014, elle servait principalement de projet pilote afin de mesurer la réaction des consommateurs. Aujourd’hui, la gamme, comprenant le Tacoma, le 4Runner et le Tundra, est toujours parmi nous et enregistre des chiffres de ventes plutôt remarquables.

Cette popularité incite donc Toyota à ajouter un autre membre à sa gamme aventurière pour 2020. Voici le Sequoia TRD Pro.

Pour répondre à « la demande »
Oui, Toyota produit encore le Sequoia, et étonnement, le gros VUS à sept ou huit passagers se vend encore relativement bien, rivalisant avec des véhicules comme le GMC Yukon/Chevrolet Tahoe, le Nissan Armada et le Ford Expedition, un segment qui reprend étrangement du galon auprès des consommateurs nord-américains.

Bien que le Sequoia soit relativement inchangé depuis 2011, il demeure un véhicule hyper fiable avec une valeur de revente à la hausse.

Le TRD Pro, comme les autres véhicules de la gamme, n’altère pas la mécanique du véhicule. L’ensemble ajoute plutôt une série de modifications marquantes afin d’améliorer les prouesses hors route du VUS, comme une suspension Fox aux quatre roues, légèrement soulevée de 63,5 mm et incorporant des réservoirs d’huile séparés sur les amortisseurs avant.

On ajoute ensuite des plaques de protection, des jantes de 18 pouces BBS montées sur des pneus hors route ainsi que des éléments esthétiques comme une grille noircie, des phares antibrouillard à DEL et des écussons noircis. Côté technologie, le Sequoia TRD Pro sera équipé d’un bouton-poussoir de démarrage avec clé de proximité ainsi que l’intégration d’Android Auto et d’Apple CarPlay.

Telle est la tradition chez les véhicules TRD Pro, le Sequoia viendra lui aussi avec ses propres couleurs exclusives, comme le vert kaki.

Il sera alimenté par un V8 de 5,7 litres d’une puissance de 381 chevaux et un couple de 401 lb-pi, essentiellement le même moteur que celui du Tundra. Seule une boîte automatique à six rapports est offerte, ainsi qu’un système à quatre roues motrices à deux vitesses incorporant un différentiel central verrouillable de marque TORSEN. Le Sequoia TRD Pro 2020 pourra remorquer jusqu’à 7 100 lb (3 220 kg).

Aucun prix de vente n’a encore été dévoilé pour ce nouveau camion. En guise de comparaison, la camionnette Tundra TRD Pro 2019 se vend au prix de 61 530 $.

Un moteur turbo pour la Subaru Legacy 2020

Au Salon de l’auto de Chicago, Subaru a confirmé ce que plusieurs anticipaient. La nouvelle génération de la Legacy ne sera plus offerte avec un moteur à six cylindres.

Pour faire oublier cette mécanique, la Legacy 2020 pourra désormais être livrée en version XT équipée d’un moteur à quatre cylindres turbocompressé de 2,4 litres.

Lancée par Subaru l’année dernière sous le capot du VUS Ascent, cette nouvelle motorisation à plat propose une puissance de 260 chevaux, soit quatre chevaux de plus que le moteur à six cylindres qu’on retrouve avec la Legacy 2019. En plus de ce léger gain de puissance, Subaru promet une nette amélioration de la consommation d’essence.

Les variantes de base de la Legacy 2020 demeureront pour leur part animées par un moteur à quatre cylindres de 2,5 litres qu’on retrouvait déjà auparavant. Subaru assure toutefois avoir retravaillé cette mécanique, dont la puissance passe d’ailleurs de 175 à 182 chevaux.

Peu importe le moteur, toutes les Legacy 2020 feront appel à une boîte automatique à variation continue (CVT).

Un gigantesque écran
Construite à partir de la nouvelle plateforme globale de Subaru, cette septième génération de la Legacy proposera également l’ensemble de technologies d’aide à la conduite EyeSight de série sur toutes ses versions. Idem pour le rouage intégral, qui demeure évidemment au menu.

À l’intérieur, la Legacy 2020 pourra être équipée avec un immense écran tactile de 11,6 pouces placé à la verticale, à la manière des produits Volvo ou du nouveau Ram 1500.

La Subaru Legacy 2020 sera livrée en six variantes: base, Premium, Sport, Limited, Limited XT et Touring XT. Son prix n’a pas encore été confirmé, mais on peut s’attendre à une légère hausse par rapport aux 26 760 $ demandés pour le modèle de 2019.

La Legacy 2020 arrivera chez les concessionnaires Subaru cet automne.

Le Toyota Tacoma 2020 introduit au Salon de l’auto de Chicago

Le constructeur japonais a dévoilé le Toyota Tacoma 2020 au Salon de Chicago, et bien qu’on mentionne « des changements d’un bout à l’autre », ça prend un œil averti pour distinguer le modèle 2020 des éditions précédentes.

Les changements au Tacoma sont plus qu’esthétiques, bien que Toyota ait annoncé que la plupart des déclinaisons obtiendront une grille et des jantes en alliage révisées.

À l’intérieur, la camionnette profite d’un nouveau système multimédia avec écrans tactiles de sept et de huit pouces – remplaçant les unités de 6,1 et de 7,0 pouces – ainsi que l’intégration Android Auto et Apple CarPlay.

La variante TRD Sport reçoit des insertions de chrome dans les feux arrière et des phares antibrouillards à DEL, alors que des feux de jour et des phares à DEL sont également disponibles. La clé intelligente fonctionne maintenant pour la porte du passager avant. De plus, Toyota ajoute ce qu’il appelle un moniteur à vue panoramique, procurant une meilleure visibilité des alentours du camion lors des escapades hors route. La version TRD Off-Road obtient les mêmes révisions esthétiques que le TRD Sport et un moniteur multiterrain en option, qui lit la surface sous le véhicule. Le Tacoma Limited est équipé de série des phares à DEL et le moniteur à vue panoramique, tout comme des embouts d’échappement chromés.

Le Toyota Tacoma TRD Pro 2020 profite de roues en alliage de 16 pouces redessinées et plus légères, un recalibrage des amortisseurs Fox, des phares séquentiels à DEL et des insertions noires dans les feux arrière, alors que le moniteur à vue panoramique et le moniteur multiterrain mentionnés plus tôt figurent de série. La peinture Bleu cavalerie disparaît au profit d’une nouvelle teinte exclusive nommée Vert armée, alors que les couleurs Super blanc, Noir minuit métallisé et Gris magnétique métallisé sont également disponibles. La version hors route extrême du Tacoma reçoit aussi un nouveau siège du conducteur à 10 réglages électriques et un écran tactile de huit pouces.

Par contre, aucun changement en ce qui a trait aux motorisations. Le Toyota Tacoma 2020 continuera de proposer un quatre cylindres de 2,7 litres développant 159 chevaux et un V6 de 3,5 litres avec 278 chevaux. Les deux sont jumelés à une boîte automatique à six rapports, mais le V6 peut aussi être géré par une manuelle à six rapports.

Les prix et la date de mise en vente seront annoncés plus tard.

Ram offre à son tour un hayon modulable

L’année dernière, le hayon du nouveau GMC Sierra a fait couler beaucoup d’encre. Ram a décidé de suivre la parade en présentant le nouveau hayon de son pickup 1500.

Plutôt que de se déplier d’une multitude de manières comme c’est le cas avec le Sierra 1500, FCA propose une ouverture 60/40. Évidemment, l’ouverture et la fermeture traditionnelles demeurent possibles. Le constructeur affirme que cette innovation facilite l’accès à la boîte de chargement lorsqu’on se trouve à proximité du trottoir.

Une marche d’appoint pliante fait partie de cet ensemble. Son but est de simplifier l’action de grimper dans la boîte.

Contrairement au Sierra, Ram rend l’utilisation possible de ces deux fonctionnalités même lorsqu’une remorque est attachée au véhicule.

Pour obtenir cette option disponible pour l’année-modèle 2019, il faudra allonger 995 $ US (1 312 $ CAN) pour le hayon et 295 $ US (389 $ CAN) pour la marche.

Rappelons que Ram et GMC ne sont pas les seuls à offrir un hayon non conventionnel. C’est aussi le cas de Honda et de son Ridgeline, dont le hayon s’ouvre aussi de manière latérale.

J’aimerais votre opinion sur la Hyundai Veloster 2014, sans turbocompresseur

J’aimerais connaître votre opinion sur la Hyundai Veloster 2014, sans turbocompresseur. Est-ce fiable? Est-ce qu’elle est sensible à la corrosion? Les avis sur Internet sont contradictoires, alors merci de m’éclairer.

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Bonjour Oussama,

Essentiellement, voyez la Veloster 2014 comme une Hyundai Accent à la sauce sportive. Cette voiture fait appel au même châssis, au même groupe motopropulseur, utilisant toutefois des éléments de suspension lui permettant d’offrir une meilleure dynamique de conduite. Le diamètre des jantes, le centre de gravité plus bas ainsi que les voies légèrement plus larges permettent aussi une meilleure tenue de route. Alors oui, vous bénéficierez d’une conduite plus animée que celle d’une Accent, néanmoins sans avoir droit à une plus grande puissance.

Comme l’Accent, la Veloster est fiable et peu coûteuse à entretenir. La version de base est un choix plus sage compte tenu de sa motorisation plus durable. Quant à la corrosion, rien à craindre. Vous pourriez évidemment avoir recours à un traitement antirouille pour une plus grande durabilité, mais la rouille ne fait pas partie des points faibles de cette voiture.

D’ailleurs, quels sont-ils, ses points faibles? Peu de choses. Des roulements de roue parfois faibles, des biellettes de barre stabilisatrices un brin fragiles. Cela dit, il s’agit d’une voiture fiable, sans tracas, que vous pouvez vous procurer avec une grande tranquillité d’esprit.

En terminant, attendez-vous à débourser entre 8 500 $ et 9 500 $ pour un modèle qui afficherait autour de 80 000 km. Et si vous êtes chanceux, vous tomberez sur une voiture bénéficiant d’une balance de garantie, ce qui vous permettrait de la passer au peigne fin chez un concessionnaire pour ensuite réclamer quelques trucs, s’il y a lieu. Pour cela, vérifiez quelle est la date de mise en service.

Un nouveau VUS 100 % électrique chez BMW? Voici le iNEXT

C’est dans le cadre du Salon de l’auto de Los Angeles 2018 que BMW avait dévoilé son concept Vision iNEXT, véhicule qui laissait entrevoir ce à quoi pourrait ressembler un futur VUS 100% électrique pour la marque.

Il semble que l’on s’approche de plus en plus d’un modèle de production puisque BMW a laissé filtrer quelques images du véhicule en tenue de camouflage lors d’essais hivernaux dans la région d’Arjeplog en Suède. Le constructeur veut non seulement s’assurer que le véhicule disposera de tout l’ADN de la marque en matière de sportivité et de plaisir de conduite, mais qu’il sera aussi apte à affronter les climats les plus rigoureux.

Selon ce que l’on peut voir, le véhicule s’apparente fortement au BMW X5. Le constructeur n’a publié aucun commentaire sur la fiche technique du véhicule, mais il faut s’attendre à des chiffres d’autonomie similaires à ceux de la concurrence, notamment Audi, Tesla et Jaguar.

On se souviendra que lors de la présentation du concept, Stefan Juraschek – vice-président responsable du développement des motorisations électriques chez BMW – avait présenté la stratégie du fabricant qui consiste à développer et à construire des ensembles de batteries de taille différentes en fonction des besoins des divers véhicules.

Le BMW iNEXT devrait arriver sur le marché vers la fin de 2020 et être commercialisé en tant que modèle 2021. Il deviendra le modèle porte-étendard chez les véhicules électrifiés du constructeur bavarois. BMW avait mentionné vouloir commercialiser cinq véhicules électriques d’ici 2021. Le BMW iX3 devrait également voir le jour avant le iNEXT.

Quelle est la voiture mondiale de 2019? Les paris sont lancés!

Chaque année, on rassemble près d’une centaine de journalistes automobiles du globe pour déterminer les voitures récipiendaires dans chacune des six catégories incluant celle de la voiture mondiale de l’année, la palme la plus convoitée! Et pour représenter le Canada, le Guide de l’auto est fier de voir son journaliste Gabriel Gélinas être choisi parmi les journalistes invités à se positionner.

Le fonctionnement est simple. On regroupe tous les véhicules lancés sur le globe pour l’année-modèle 2019 et on choisit! Actuellement, 10 voitures par catégorie ont été retenues. Le 5 mars prochain, on regroupera une fois de plus les journalistes-juges à Genève pour réduire le nombre de finalistes au minimum. Les grands gagnants seront annoncés dans la magnifique ville de New York le 17 avril 2019. Voici les finalistes!

Voiture mondiale 2019
Audi e-tron quattro, BMW Série 3, Ford Focus, Genesis G70, Hyundai Nexo, Jaguar I-PACE, Mercedes-Benz Classe A, Suzuki Jimny, Volvo S60/V60, Volvo XC40.

Voiture mondiale urbaine 2019
Audi A1, Hyundai AH2/Santro, Kia Soul, SEAT Arona, Suzuki Jimny.

Voiture mondiale luxueuse 2019
Audi A7, Audi Q8., BMW Série 8, Mercedes-Benz CLS, Volkswagen Touareg.

Voiture mondiale de performance 2019
Aston Martin Vantage, BMW M2 Competition, Hyundai Veloster N, McLaren 720S, Mercedes-AMG Coupé 4 portes.

Voiture mondiale verte 2019
Audi e-tron quattro, Honda Clarity PHEV, Hyundai Nexo, Jaguar I-PACE, Kia Niro EV.

Design mondial 2019
Citroen C5 Aircross, Jaguar E-PACE, Jaguar I-PACE, Suzuki Jimny, Volvo XC40.

Bientôt la fin des subventions pour les véhicules électriques usagés?

Ceux qui songent à s'acheter une voiture électrique d'occasion devraient peut-être se dépêcher. Le gouvernement Legault se demande s'il devrait continuer à subventionner ce type d'achat, alors que le programme doit, en principe, prendre fin le 31 mars.

Les consommateurs peuvent présentement toucher jusqu'à 4 000 $ en subvention à l'achat d'un véhicule électrique d'occasion.

« Donc, une voiture 100% électrique de l'année 2014, 2015 ou 2016, on a droit à 4 000 $, mais il faut pour ça qu'elle n'ait jamais eu droit à une subvention, a expliqué Daniel Breton, expert en électrification des transports. Ça ne peut pas être une voiture qui, initialement, a été achetée au Québec. Ça doit être une voiture importée de l'Ontario, de la Californie ou de la Floride. »

Un concessionnaire de Saint-Jean-sur-Richelieu, Racine auto, a flairé la bonne affaire et a créé une division de véhicules électriques usagés. La subvention permet à ceux qui ont de petits budgets de mettre la main sur des modèles autrement inabordables.

Par exemple, une Spark de Chevrolet, vendue en 2015 aux États-Unis pour l'équivalant de 32 000 $ canadiens, est disponible à l’achat pour près de 13 000 $, incluant les subventions. Elle affiche une autonomie, en conditions optimales, de 120 km.

« Quand on achète un véhicule neuf, on a 8 000 $ de subvention du gouvernement, tandis qu'un véhicule d'occasion, on reçoit 4 000 $. Donc, avec les mêmes 8 000 $, le gouvernement met deux véhicules pour un sur la route », a fait valoir le président de Racine auto, Florian Boire.

« Il y a beaucoup de familles qui ont deux ou trois voitures. Alors, en avoir une 100% électrique d'occasion qui coûte pas trop cher avec un rabais de 4 000 $, ça fait beaucoup de sens », a souligné Daniel Breton.

L'Association des véhicules électriques du Québec croit qu'au lieu d'abolir les subventions, il faudrait plutôt élargir les critères pour l'obtenir.

« On pourrait premièrement élargir les années des voitures usagées, donc inclure 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, et pourquoi pas 2017 même? Ensuite, on pourrait aussi élargir aux voitures hybrides branchables, pas uniquement aux voitures 100% électriques. Car il y a une vaste gamme de voitures disponibles sur le marché maintenant et trop peu d’entre elles peuvent se qualifier pour le moment», a déploré Martin Archambault, porte-parole de l’Association des véhicules électriques du Québec.

Québec souhaite qu'il y ait au moins 100 000 véhicules électriques d'ici la fin de 2020 dans la province. Il y avait, à la fin de 2018, un peu plus de 39 000 véhicules électriques sur nos routes.

D’après un reportage de Richard Olivier, TVA Nouvelles

Range Rover Velar 2019 : battre la concurrence avec le style

De nos jours, il est difficile pour un constructeur de pénétrer le segment des VUS de luxe compacts. L’offre est énorme, et le choix de modèles compétents ne manque pas.

Pour se démarquer, Land Rover a décidé de miser sur le design du véhicule. Après tout, les Allemands dominent déjà le marché par la technologie et la sophistication, et les Japonais continuent de suivre de près avec la fiabilité. Et quelque part là-dedans, il y a les marques américaines qui, elles aussi, tentent de s’en mêler.

Land Rover s’essaie donc avec le Range Rover Velar, un VUS de luxe qui est, sans contredit, le plus beau de la catégorie.

Un gros compact
Non, nous ne nous sommes pas trompés. Le Velar fait effectivement partie de la catégorie des utilitaires compacts, même s’il affiche les proportions d’un intermédiaire avec sa masse nette de 4 676 livres (2 120 kg). En réalité, il partage son architecture et ses motorisations avec le Jaguar F-PACE, mais le Velar est beaucoup plus décontracté que son cousin, misant davantage sur le luxe et le confort plutôt que sur la sportivité.

On a donc droit à un choix de trois moteurs. Le P300 qui alimente les Velar d’entrée de gamme est un quatre cylindres turbo de 2,0 litres d’une puissance de 247 chevaux et d’un couple de 295 lb-pi. Un quatre cylindres turbodiesel de 1,8 litre niche dans les modèles R-Dynamic, avec 180 ch et 317 lb-pi. Deux moteurs V6 suralimentés de 3,0 litres, soit d’une puissance de 340 ou 380 chevaux et d’un couple de 332 lb-pi, ronronnent dans les déclinaisons cossues. Toutes les variantes viennent de série avec la transmission intégrale et une boîte automatique à huit rapports.

Notre modèle d’essai était un HSE P380, le plus puissant et le plus équipé de la gamme. Peint en noir, vitres teintées noires et écussons noircis, il est doté de quelques options cool comme un pare-brise chauffant, un système audio Meridian et un système hors route avancé; il avait toute une gueule. Il se vend 89 822 $.

L’image avant tout
Le thème du « beau » se poursuit dans l’habitacle où l’on retrouve une planche de bord très stylisée, moderne et d’apparence haut de gamme. Comme dans les autres produits Jaguar, les commandes sont presque entièrement tactiles, présentées sous un deuxième écran servant à contrôler la climatisation, le confort des sièges et les multiples modes de conduite du véhicule.

Franchement, c’est de toute beauté! Néanmoins, il y a un léger bémol : le système n’est pas très convivial, du moins lorsque l’on porte des gants en plein hiver!

Au moins, on a conservé quelques commandes physiques. Le chauffage, par exemple, s’active via une molette. Pareillement pour les sièges chauffants que l’on peut faire fonctionner en cliquant sur le même bouton. Toutefois, certaines des commandes s’avèrent complexes, surtout quand il faut alterner entre les modes Sport, Confort, Eco, Snow et Sand du véhicule. Ces modes sont représentés par une minuscule icône tactile. Imaginez-vous maintenant en train de conduire le véhicule en hiver, sur les routes du Québec, le soir. Il est presque impossible de toucher cette icône du premier coup! Et ne nous demandez pas ce que nous pensons de l’écran supérieur – celui qui gère le système audio et la carte de navigation – car c’est encore pire!

Au moins, tout est fort attrayant, particulièrement l’écran du haut qui se rétracte comme dans un film de James Bond. Avouez que ça, c’est très cool.

Compétent
Sur la route, le Velar fournit un confort marqué grâce à ses sièges en cuir douillets et son habitacle hautement insonorisé. On remarque toutefois une dynamique de conduite et des accélérations très semblables au Jaguar F-PACE, mais en raison du poids, le Velar est plus relaxe.

En toute honnêteté, on aurait préféré une suspension un peu plus souple. Les ressorts sport ne coïncident pas très bien avec les prétentions luxueuses du Velar.

Le V6, quant à lui, permet à ce VUS de réaliser des accélérations plus que suffisantes, tout en lui octroyant amplement de couple à bas régime pour des décollages doux et sereins. Le Velar HSE P380 peut tout de même franchir le 0-100 km/h sous la barre des six secondes. Rapide, certes, mais certains de ses concurrents allemands le sont encore plus.

La boîte automatique, quant à elle, nous a surpris. Les systèmes fournis par l’équipementier allemand ZF ont la fâcheuse manie d’être lents à répondre, notamment s'il faut rétrograder. C’est toutefois un problème qui ne semble affecter que les moteurs de plus petites cylindrées, car avec le V6, nous ne remarquons aucune faille. À vrai dire, c’est avec ce moteur que la boîte semble être plus efficace.

Outre son apparence absolument magnifique et son habitacle hyperconfortable, le Velar réussit à bien se débrouiller lorsque vient de temps d’être un véritable utilitaire.

Bon, nous avouons que sa consommation moyenne de 12 L/100 km n’est pas emballante, mais le Velar peut remorquer une charge pouvant atteindre 5 512 lb (2 500 kg), ce qui le positionne parmi les plus costauds du segment.

De plus, si sa deuxième rangée de sièges est rabaissée au plancher, il peut loger jusqu’à 1 731 litres de marchandise. C’est nettement supérieur au coffre d’un Audi Q5 (1 550 litres), d’un BMW X3 (1 600 litres) ou d’un Mercedes-Benz GLC (1 600 litres).

Bref, le Range Rover Velar 2019 demeure compétent, sans oublier son système à quatre roues motrices avancé et sa suspension ajustable pouvant s’adapter à littéralement toutes les conditions routières possibles.

Certes, c’est un beau gros jouet pour les consommateurs bien nantis, une machine sophistiquée qui risque de coûter cher à l’entretien. Il n’y a pas de doute, c’est bel et bien un Land Rover!

Volvo V60 2019 : on a conduit la seule voiture familiale hybride rechargeable

Après avoir mis au goût du jour sa S60, Volvo a réservé le même sort à la version familiale, la V60. Nous avons été la conduire dans son pays d’origine, la Suède.

Les familiales font partie de la tradition chez Volvo depuis des décennies. Dans ce segment marginal, peu de joueurs sont présents. On peut penser à la BMW Série 3 Touring qui disparaîtra sous peu de notre marché, à la Mercedes-Benz Classe C familiale ainsi qu’à l’Audi A4 allroad. En étirant l’élastique, on pourrait même y inclure les versions les plus cossues de la Subaru Outback.

Plus longue, plus basse, plus… belle!
Le constructeur, qui appartient désormais à une entreprise chinoise, ne s’est pas contenté d’un simple rafraîchissement. En effet, la bagnole a été complètement remodelée. Elle est plus longue de 12,5 cm et plus basse de 5 centimètres.

Alors que l’ancienne génération donnait quelque peu l’impression d’être en quête d’identité sur le plan esthétique, la nouvelle V60 est une familiale pure et dure. Il est difficile de me retenir de clamer haut et fort que je la trouve follement belle.

Une trop faible autonomie
Lorsque nous avions essayé le Mitsubishi Outlander PHEV, nous lui reprochions sa trop petite autonomie qui est de 35 kilomètres. En ce qui concerne l’autonomie annoncée d’une vingtaine de kilomètres de la V60 T8, on vous laisse deviner ce que l’on en pense…

À ce moteur électrique est jumelé un bloc turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 L qui développe au total 303 chevaux et un couple de 258 livres-pied. Le moteur T5 est aussi disponible. D’une cylindrée de 2,0 L, ce bloc turbocompressé génère 250 chevaux et 258 livres-pied. En Amérique du Nord, on doit se priver des motorisations au diesel.

Bien que l’on puisse être porté à croire qu’un moteur atmosphérique à six cylindres soit plus adapté à ce type de véhicule, il faut se rendre à l’évidence. L’une ou l’autre de ces versions se marient bien à la boîte automatique à huit rapports. Cela dit, le levier de la V60 T8 est désagréable. Une double manipulation est exigée, par exemple, pour passer de la position D à R.

Malgré ce désagrément auquel on finit par s’habituer, je présume, la V60 est une impressionnante routière. Enfiler les kilomètres à son volant n’est pas inquiétant. Elle est confortable et extrêmement silencieuse.

Alors que les consommateurs n’ont actuellement que d’yeux pour les VUS, certains auraient avantage à jeter un coup d’œil du côté des familiales. Non seulement elles offrent, pour la plupart d’entre elles, le rouage intégral, mais elles fournissent plus d’espace de chargement. En effet, le coffre de la V60 peut loger 658 L alors que celui du XC40 est limité à 586 L.

Une version pour ceux qui font du kayak
C’est en 1998 qu’est né le principe « Cross Country » chez Volvo. Introduit jadis avec la V70, il a été appliqué sur une série de modèles et la V60 n’y échappe pas. Grosso modo, il s’agit d’une version surélevée de 60 mm de la V60.

Cette version que l’on reconnaît par ses recouvrements de carrosserie en plastique foncé est dotée d’un mode de conduite hors route. Lorsqu’il est activé, celui-ci permet de descendre une côte sans avoir à effleurer l’accélérateur ou le frein.

Un écran par lequel tout passe
Au centre de la planche de bord, on retrouve un énorme écran tactile de neuf pouces. Si vous êtes né avec une tablette dans les mains, ça ne devrait pas être problématique. Toutefois, balayer l’écran afin de changer de menus peut s’avérer périlleux en conduisant. On aurait apprécié davantage de boutons physiques afin de faciliter les manipulations.

Pour faire différent
Bien que les familiales de la marque Volvo soient plus populaires au Québec qu’ailleurs au pays, elles demeurent des voitures marginales. Pour faire différent du voisin et de son banal VUS, c’est exactement ce vers quoi il faut se tourner.

En revanche, le prix à payer pour être différent est à considérer. Et là, on ne fait pas référence à la facture à l’achat. En effet, les 43 900 $ de la V60 et les 48 900 $ de la V60 Cross Country s’apparentent au prix des concurrentes. Là où ça risque de faire mal, c’est au chapitre de la fiabilité. Dans le plus récent palmarès de Consumer Reports, le constructeur suédois figure au sommet du palmarès des marques les moins fiables... Vous aurez été prévenu!

Range Rover Velar SVAutobiography Dynamic Edition : pour les amateurs d'exclusivité

Land Rover vient d’annoncer l’ajout d’une version hautement exclusive de son Velar, la SVAutobiography Dynamic Edition 2019. Produite par la division des véhicules spéciaux du constructeur, le Velar SVAutobiography Dynamic Edition sera proposé au Canada à la fin de l’été 2019 et commercialisé uniquement pour une année. Il devient ainsi le second modèle du constructeur à porter l’appellation exclusive SVAutobiography avec le Range Rover régulier.

Le modèle, qui occupera le sommet de la gamme Velar en matière de prix et de luxe, se distingue à l’extérieur par ses prises d’air proéminentes dans le bouclier afin d’acheminer plus d’air frais au moteur et aux freins. Le parechoc arrière profite aussi de quelques modifications, mais le changement le plus remarquable à l’arrière demeure l’échappement quadruple unique à cette livrée. Ses jantes de 21 pouces exclusives sont un autre indice, et il sera même possible d’obtenir des roues de 22 pouces afin de rehausser l’impact encore plus.

Il sera vendu avec un choix de six couleurs de carrosserie, dont le bleu Satin Byron exclusive à cette version. Dans tous les cas, le toit est peint en noir afin de faire contraste avec le reste de la carrosserie.

Le véhicule n’est pas uniquement différent esthétiquement, il est aussi plus performant. Il offre sous le capot un V8 suralimenté de 5,0 litres qui développe 550 chevaux et un couple de 502 lb-pi, lui permettant de boucler le 0-100 km/h sous la barre des 4,5 secondes. Il bénéficie d’une suspension également adaptée à sa vocation et des freins procurant un peu plus de mordant. Le rouage intégral est aussi calibré afin de maximiser les performances, notamment en favorisant le couple aux roues arrière.

Le prix sera dévoilé ultérieurement. En ce moment, la version SVAutobiography du Range Rover est vendue à un prix de base de 201 500 $ alors que le plus cossu des Velar est vendu actuellement à partir de 80 700 $.

Le Chevrolet Silverado HD 2020 sera encore plus fort que le GMC

Tel un combat en direct de gladiateurs romains, les constructeurs américains dévoilent, un à un, les plus récentes moutures de leurs camionnettes ouvrières.

Il y a quelques semaines, nous étions exposés au tout nouveau GMC Sierra HD 2020, un camion turbodiesel développant un couple de 910 lb-pi capable de remorquer jusqu’à 30 000 livres (13 607 kg).

Nous étions certains que le Chevrolet serait identique. Après tout, il est alimenté par le même moteur. Eh bien non. Il se trouve qu’il sera encore plus costaud.

Force brute
Prévu pour être dévoilé au Salon de Chicago cette semaine, le Chevrolet Silverado HD 2020 aura le même moteur V8 turbodiesel Duramax de 6,6 litres que son cousin, d’une puissance de 445 chevaux.

Mais bien qu’il soit assemblé sur sensiblement le même châssis, et que son moteur développe le même couple que le Sierra, le Chevrolet pourra tirer une charge pouvant aller jusqu’à 35 500 livres (16 102 kg), faisant de lui une machine de travail non seulement plus musclée que le Sierra, mais aussi le nouveau Ram HD (35 100 lb / 15 921 kg) et le Ford Super Duty actuel (32 500 lb / 14 741 kg).

C’est intrigant, car le Silverado HD viendra, lui aussi, équipé d’une boîte automatique Allison à dix rapports. Nous imaginons que cet écart dans les spécifications est le résultat d’une calibration différente du moteur et de la boîte de vitesses, ou de ratios de différentiel différents.

L’autre distinction entre les deux : le Silverado HD pourra être propulsé par un nouveau V8 à essence, aussi d’une cylindrée de 6,6 litres, produisant 401 chevaux et un couple de 464 lb-pi. De plus, Chevrolet a annoncé une charge utile de 7 466 livres (3 386 kg) pour son nouvel engin, des données que nous n’avons toujours pas obtenues du côté de GMC.

Et comme ses nouveaux concurrents du côté de Ford et Ram, le Chevrolet Silverado HD 2020 – offert sous les déclinaisons 2500HD et 3500HD – sera équipé des plus récentes technologies en matière de remorquage permettant de mieux guider une grosse remorque.

Prévu pour les concessionnaires canadiens cet été, le nouveau Silverado HD s’offrira sous les variantes LT, LTZ et High Country, avec roues arrière simples ou doubles. Les prix seront dévoilés peu avant sa sortie officielle.