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contenu original Journal Le Nord

Volkswagen fait renaître une légende de Woodstock

50 ans après Woodstock Art and Music Fair, Volkswagen fait revivre l’un des symboles de cet événement qui a marqué une génération.

En 1969, l’artiste Dr. Bob Hieronimus a reçu le mandat de peindre une Volkswagen Microbus 1963 qu’il s’est amusé à décorer de manière on ne peut plus psychédélique.

Son propriétaire de l’époque s’en servait comme véhicule de tournée pour son groupe de musique. Alors qu’il était stationné sur le site du festival, un photographe de l’Associated Press a capturé le moment. Ladite photo a par la suite été publiée dans une série de journaux et de magazines avant de devenir l’un des emblèmes de l’univers hippie.

Bien qu’il lui ressemble comme deux gouttes d’eau, ce Microbus n’est pas l’authentique. Après six mois de recherche, Dr. Bob Hieronimus et le documentariste canadien John Wesley Chisholm qui sont à l’origine de ce projet d’envergure en sont venus à l’évidence qu’ils ne pourraient retrouver le véritable Microbus.

Il s’agit d’une réplique qui a nécessité trois ans de travail au cours desquels le duo cité précédemment a travaillé main dans la main avec une série de mordus de la marque. Le tout a été rendu possible grâce aux généreux amateurs via la plateforme Kickstarter ainsi qu’à Volkswagen qui a appuyé le projet.

Ce Microbus qui symbolise à merveille l’époque du Flower Power a été présenté le 15 février dernier lors de l’Orange Country Transport Organization à Long Beach en Californie.

Une mise à jour pour le GMC Acadia 2020

Le GMC Acadia est un VUS intermédiaire qui profite d’une performance de vente intéressante au sein de General Motors. Mais depuis l’arrivée de nouveaux joueurs dans le créneau, sans oublier l’arrivée du Chevrolet Blazer 2019, son cousin mécanique, l’Acadia perd un peu de son attrait.

GMC en profite donc pour lui apporter une bonne mise à jour afin qu’il demeure concurrentiel face aux nouvelles recrues du segment.

Moteur turbo
Mis à part une nouvelle calandre et des feux arrière redessinés – sans oublier un habitacle modernisé – l’Acadia 2020 sera alimenté par un nouveau moteur à quatre cylindres turbo de 2,0 litres. Ce moteur, exclusif aux déclinaisons d’entrée de gamme, promet non seulement d’être plus puissant que le défunt 2,5 litres atmosphérique – 230 chevaux et un couple de 258 lb-pi –, mais aussi moins gourmand à la pompe.

Pour ce qui est du V6 de 3,6 litres, il demeure inchangé, produisant toujours 310 chevaux et un couple de 271 lb-pi.

L’autre nouveauté, c’est l’ajout d’une boîte automatique à neuf rapports sur l’étendue de la gamme. Il s’agit d’une boîte qui a fait ses preuves chez d’autres produits GM, comme le Chevrolet Equinox et le Traverse. Comme auparavant, le GMC Acadia 2020 viendra de série avec le rouage à traction. La transmission intégrale demeure offerte en option.

GMC a aussi confirmé l’ajout de la déclinaison hors-route AT4, qu’on a vu apparaître du côté du Sierra il y a quelques mois. Celle-ci viendra uniquement alimentée par le moteur V6, d’un rouage intégral à double embrayage semblable à ce qu’on retrouve dans le Chevrolet Equinox, et ornée de touches esthétiques distinguées comme une grille noircie et des jantes spécifiques.

Côté technologies, le GMC Acadia 2020 offre l’option d’un chargeur de téléphone sans fil, un nouveau système de navigation qui se met à jour en temps réel, une caméra de recul incorporée dans le rétroviseur et un système d’aide au freinage eBoost, entre autres.

Le GMC Acadia 2020 arrivera chez les concessionnaires canadiens d’ici l’automne prochain.

Meilleurs achats du Guide de l’auto 2019 : Audi Q5

Le choix de voitures et de camions sur le marché canadien est à la fois vaste et diversifié, et pour aider les consommateurs à prendre une bonne décision d’achat, l’équipe du Guide de l’auto publie chaque année ses Meilleurs achats dans toutes les catégories de véhicules.

Dans le segment des VUS compacts de luxe, le titre du Meilleur achat en 2019 a été remis à l’Audi Q5. Les journalistes du Guide de l’auto aiment son haut niveau de raffinement, la souplesse et la consommation raisonnable de son moteur turbocompressé de 252 chevaux, l’habilité de son rouage intégral ainsi que sa dynamique de conduite. Et comme toujours, la finition soignée de son habitacle est une tradition à laquelle Audi nous a habitués depuis plusieurs années maintenant.

La version SQ5 possède toutes ces qualités, mais dans un ensemble plus sportif et drôlement amusant à conduire. Elle est équipée d’un V6 turbocompressé de 354 chevaux, d’un rouage quattro à prise constante et, en option, d’une suspension pneumatique qui allie confort et tenue de route dynamique. L’Audi Q5 2019 se détaille à partir de 45 300 $ avant les frais de transport et de préparation.

En deuxième place dans le segment des VUS compacts de luxe, on retrouve l’Acura RDX (PDSF à partir de 43 990 $). Fraîchement redessiné, le RDX mise sur un caractère plus dynamique et des technologies de pointe pour se démarquer. Son quatre cylindres turbo de 2,0 litres, développant 272 chevaux, et son rouage intégral SH-AWD procurent de belles performances, alors que son habitacle marie luxe, confort et polyvalence.

En troisième place, c’est le Porsche Macan (PDSF à partir de 54 100 $) qui a attiré l’attention de l’équipe des journalistes. Il étonne par un comportement routier digne des voitures de la marque, en plus d’être assemblé avec rigueur et de proposer une relativement bonne réputation de fiabilité. Pour 2019, le Macan est disponible avec un quatre cylindres turbo de 2,0 litres (252 chevaux), un V6 turbo de 360 chevaux ou un V6 biturbo de 400 chevaux – tous jumelés à un rouage intégral.

Bentley annonce un VUS plus puissant que jamais

Bentley vient tout juste de dévoiler les détails entourant son nouveau Bentayga Speed.

Son moteur W12 de 6,0 L libère une puissance de 635 chevaux-vapeur et un couple de 664 livres-pied. Le tout est transmis aux quatre roues qui sont motrices par le biais d’une boîte automatique à huit rapports.

En vitesse de pointe, il peut atteindre 306 km/h. Quant aux 100 km/h, il lui suffit de 3,9 secondes pour les atteindre.

Auparavant, le Bentayga ne pouvait dépasser les 301 km/h et il fallait compter 4,1 secondes pour franchir le cap des 100 km/h.

Bentley le présente comme étant le VUS (véhicule utilitaire sport) le plus rapide au monde. Notons qu’au sein même du groupe Volkswagen, un autre VUS se vante de sa rapidité. Et il s’agit du Lamborghini Urus. Son V8 biturbo de 4,0 génère 650 chevaux-vapeur et 627 livres-pied. La vitesse de pointe s’élève, dans le cas de l’Urus également, à 306 km/h. Pour atteindre les 100 km/h, il n’a besoin que de 3,6 secondes.

Mais ce taureau n’est pas présenté comme étant un VUS, mais plutôt comme un VUSS, soit un véhicule utilitaire super sport. Elle est là, la nuance.

Esthétiquement, la déclinaison Speed se distingue notamment par ses phares teintés, ses jupes assorties à la carrosserie et un aileron arrière sur le hayon.

Une fois à bord, on note la présence d’Alcantara. Le constructeur fait appel à ce matériel pour la première fois avec ce véhicule.

Il sera dévoilé en primeur mondiale au Salon de l’automobile de Genève en mars prochain. Il sera commercialisé plus tard au courant de l’année.

Honda annonce la fermeture d'une usine

Le constructeur automobile japonais Honda va fermer son usine de Swindon au Royaume-Uni en 2022, ce qui menace 3 500 emplois et constitue un nouveau coup dur pour le pays à l’approche du Brexit, a affirmé lundi un député britannique.

La fermeture de l’usine située dans le sud-ouest du pays a été révélée par Sky News et la BBC, puis confirmé implicitement par le député conservateur de la région de Swindon, Justin Tomlison, sur son compte Twitter.

Ce dernier explique avoir été informé par Honda de la décision qui est, selon lui, justifiée par le contexte automobile mondial et n’est pas liée au Brexit. Le groupe japonais entendrait regrouper sa production européenne au Japon en 2021.

Le député précise qu’il ne s’attend pas à un impact sur l’emploi ou sur la production d’ici la fermeture prévue de l’usine, qui produit la berline Civic.

Sollicité par l’AFP, Honda n’était pas joignable dans l’immédiat. Le groupe devrait annoncer sa décision d’ici mardi matin, indique la presse.

Selon Sky News, Honda va par ailleurs maintenir au Royaume-Uni son siège européen situé à Bracknell (sud-ouest de l’Angleterre) et son équipe de Formule 1.

La décision de fermer le site de Swindon est un nouveau camouflet pour le gouvernement britannique qui se bat pour maintenir l’attractivité du pays malgré le brouillard du Brexit et les inquiétudes des milieux industriels quant à une sortie de l’UE sans accord.

Début février, le japonais Nissan avait créé la stupeur en renonçant à produire le VUS X-Trail, dans son usine de Sunderland (nord-est de l’Angleterre), évoquant alors indirectement le Brexit.

Fin janvier, Airbus avait averti de décisions « très douloureuses » en cas de Brexit sans accord, tandis que le géant de l’électronique japonais Sony a décidé de transférer son siège européen aux Pays-Bas.

Hormis le Brexit, le secteur automobile au Royaume-Uni est secoué par de nombreux défis, avec la désaffection du diesel face à une règlementation plus dure, ou encore le ralentissement du marché chinois.

Le constructeur britannique Jaguar Land Rover avait annoncé en début d’année la suppression de 4 500 emplois soit 10% de ses effectifs. Et l’américain Ford va supprimer plus de 1 000 emplois dans le pays dans le cadre d’une vaste restructuration de ses activités en Europe.

La MINI Cooper 3 portes Ice Blue Edition 2019 lancée à Toronto

La marque anglaise MINI a l’habitude de concocter des éditions spéciales de leurs modèles afin de garder l’intérêt auprès de sa clientèle – surtout celle qui recherche un peu d’exclusivité. Cette fois-ci, c’est le modèle 3 portes qui obtient une variante à tirage limité se nommant la Ice Blue Edition, présentée au Salon de l’auto de Toronto.

Basée sur la Cooper S, elle est équipée d’un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres qui développe 189 chevaux et un couple de 207 livres-pied, jumelé à une boîte automatique à six rapports avec sélecteurs montés au volant. Selon le constructeur, la Cooper S peut accélérer de 0 à 100 km/h en 6,8 secondes.

La MINI Cooper S 3 portes Ice Blue Edition 2019 reçoit aussi une peinture exclusive, rehaussée par un aileron de toit, des bandes décoratives et des coques de rétroviseurs Orange solaris. Des jantes en alliage JCW Cup de 18 pouces et des garnitures noir piano sont également incluses.

L’équipement de série comprend un sonar de stationnement, des phares et des feux arrière à DEL, un ensemble aérodynamique JCW, un système multimédia avec écran tactile de 8,8 pouces, une intégration Apple CarPlay et une recharge sans fil pour téléphones.

La Cooper S 3 portes Ice Blue Edition se détaille à 38 990 $ avant les frais de transport et de préparation, et seulement 30 unités seront disponibles à travers le Canada cette année. Si cette variante exclusive de la MINI nous intéresse, il serait sage de se manifester plus tôt que tard chez le concessionnaire.

Subaru Forester 2019 : il ne faudrait pas l'oublier

Pour 2019, le Forester fait peau neuve afin de demeurer concurrentiel dans le créneau des VUS compacts. Certains, surtout les puristes, peuvent lui reprocher de s’être embourgeoisé au fil des années, mais le Forester est sans doute le modèle de la marque, avec l’Outback, qui aura le mieux conservé ses racines dans son évolution. Plusieurs ont tendance à l’oublier lors de leur magasinage, il ne faudrait pas.

Vous le trouvez plus imposant à première vue? Vous avez raison, le véhicule profite de la nouvelle plate-forme globale de Subaru – utilisée par l’Ascent, le Crosstrek et l’Impreza – et dispose d’un empattement supérieur et d’une longueur accrue de 30 mm. Le tout se traduit par un peu plus d’espace à bord, particulièrement pour les passagers arrière. Puisque les VUS compacts sont très populaires chez les jeunes familles, le nerf de la guerre c’est l’espace de chargement et le Forester en fournit maintenant plus que plusieurs de ses concurrents, surtout avec ses 2 155 litres une fois les banquettes arrière abaissées.

Du beau boulot à bord
Nous l’avions mentionné lors de notre récent essai de la Subaru Impreza, le constructeur s’est attardé à corriger une lacune importante : la finition de ses habitacles. C’est aussi le cas à bord du Forester qui profite d’un aménagement beaucoup plus en ligne avec la concurrence. L’impression de qualité est plus présente, notamment avec l’ajout de matériaux souples aux endroits plus visibles. Par contre, notre version Premier, vendue près de 40 000 $, n’avait pas le panache de certaines livrées haut de gamme de la concurrence.

Étonnamment, il fallait régler le climatiseur automatique à 19 degrés afin de ne pas avoir trop chaud et même une fois la température idéale atteinte, le ventilateur continuait à souffler à grande vitesse plutôt que de réduire le débit et ainsi diminuer le bruit à bord.

Logé sur le tableau de bord, un second écran multifonction de 6,3 pouces, typique aux véhicules Subaru, procure quelques informations supplémentaires dont la consommation. On se dit qu’il y a belle lurette que Subaru aurait dû intégrer le tout au système principal ou du moins, dans le groupe d’instrumentation. On est heureux de retrouver l’intégration Apple CarPlay et Android Auto, toutefois la qualité du système de sonorisation demeure médiocre, car on ne perçoit pratiquement aucune basse fréquence.

Toute nouvelle cette année, la version Sport donne un peu de style à ce VUS qui arbore, il faut l’avouer, un design assez passe-partout. Le Forester a toujours fait appel à la partie logique et pratique du cerveau, certainement pas émotive. Cette livrée ajoute quelques éléments tape-à-l’œil incluant des accents orangés sur certaines composantes de carrosserie dont les rails du toit, des jantes et une grille au fini noir mat ainsi qu’un petit aileron à l’arrière. La thématique orangée est aussi présente à bord.

La fin du moteur turbo
Ironiquement, on s’affaire à dynamiser le style du Forester, mais on lui retire son moteur turbocompressé et sa boîte manuelle. La cinquième génération du Subaru Forester perd sa version XT et donc, son moteur suralimenté, alors que de son côté le Mazda CX-5 en reçoit un cette année dans ses versions Signature et GT. Dommage, car cette mécanique procurait un avantage concurrentiel au modèle, ce n’est plus le cas. Toutes les versions sont donc maintenant équipées du quatre cylindres de 2,5 litres qui développe 182 chevaux, 12 de plus que dans l’ancien modèle. C’est en ligne avec la concurrence, alors que le Honda CR-V en offre un peu plus en raison de sa mécanique turbocompressée.

Au volant, difficile d’admettre que les 12 chevaux supplémentaires changent la donne, le comportement du Forester demeure très similaire. Le moteur Boxer avec sa configuration à plat émet toujours une sonorité distincte et la boîte automatique à variation continue ne l’aide pas à être silencieux. Heureusement que l’on a amélioré l’insonorisation de l’habitacle, le tout est perceptible en conduite normale.

On aime bien la position de conduite et la prise en main du volant, lesquelles procurent un bon sentiment de contrôle. La vision périphérique est excellente, surtout à l’arrière, les formes carrées du véhicule lui servent bien. Le Forester se situe à mi-chemin entre le confort sur route et le plaisir de conduite. Il se montre engageant et colle bien en virage. On remarque très peu de transfert de poids, que ce soit dans les courbes ou au freinage.

Le Forester possède également un système d’arrêt-démarrage du moteur qui favorise l’économie de carburant, mais l’opération du système n’est certainement pas transparente. On perçoit de fortes vibrations, le véhicule faisait même un léger bond en avant au redémarrage, et ce, malgré que nous avions le pied sur le frein.

La force du Subaru Forester demeure son excellent rouage intégral qui est l’un des plus efficaces sur le marché. Si vous aimez le Forester, attendez que l’hiver se pointe, c’est lors d’une tempête que tous ses petits irritants se feront rapidement oublier.

Le Suzuki Jimny Black Bison a l’air extrêmement féroce

Wald, une entreprise japonaise de modification automobile, vient de présenter une version plus costaude du Suzuki Jimny.

Baptisé Sports Line Black Bison, cet ensemble est aussi offert sur d’autres véhicules comme le Mercedes-Benz Classe V et la BMW Série 7.

Parmi les modifications apportées, notons les pneus et les roues, le pare-chocs avant et arrière, les phares à DEL et les ailes élargies.

Le pneu de secours, qui se trouvait à l’origine sur le hayon, a été retiré.

On remarque aussi que les sorties d’échappement ont été positionnées tout juste devant l’essieu arrière.

Des lumières à DEL ont aussi été installées sur le toit.

Sur le plan de la motorisation, Wald ne mentionne aucune modification. Sous le capot qui comporte désormais des prises d’air, on retrouverait donc le moteur d’origine à quatre cylindres de 1,5 L.

Chaque élément a été retravaillé afin lui sculpter un air agressif.

Wald n’a diffusé aucune photo de l’habitacle.

Les nouvelles Q50 I-LINE et Q60 I-LINE à l’affiche au Salon de l’auto Toronto

Infiniti lance sa nouvelle ligne d’éditions I-LINE de la berline Q50 et du coupé Q60, qui seront disponibles seulement au Canada à partir du mois prochain.

I-LINE signifie « ligne inspirée » et cette appellation devrait bientôt apparaître sur d’autres modèles de la marque. L’Infiniti Q50 I-LINE 2019 est basée sur la version RED SPORT 400, signifiant qu’elle est équipée d’un V6 biturbo de 3,0 litres produisant 400 chevaux et un couple de 350 livres-pied, une boîte automatisée à sept rapports avec double embrayage et un rouage intégral. L’édition I-LINE dispose également d’une grille de calandre noircie, des jantes en alliage noir reluisant de 19 pouces, d’un béquet en fibre de carbone sur le couvercle de coffre et des écussons appropriés. Elle se détaillera à partir de 56 195 $ avant les frais de transport et de préparation.

Même chose pour l’Infiniti Q60 I-LINE 2019, bien que le coupé ait droit à des roues en alliage de 20 pouces, et son PDSF se situera à 65 295 $.

La marque de luxe présente également l’Infiniti QX Inspiration au Salon de l’auto de Toronto, initialement dévoilé à Detroit le mois dernier. Ce VUS conceptuel signale le futur langage de design d’Infiniti en ce qui a trait aux véhicules électrifiés, alors que la compagnie prévoit lancer une gamme complète de VÉs, d’hybrides et de modèles e-POWER (des VÉs avec un générateur monté à bord qui se recharge en roulant) au cours des prochaines années.

Mercedes-Benz dévoile le VUS électrique EQC à Toronto

La marque allemande Mercedes-Benz est prête à affronter Tesla, Audi et Jaguar dans l’arène des VUS 100% électriques, avec l’EQC 2020, qui fait sa première apparition canadienne au Salon de l’auto de Toronto.

De plus, on a annoncé les prix de la berline Mercedes-Benz Classe A 2019 lors de la conférence de presse devant les médias au salon. La berline A 220 débutera à 34 990 $ avant les frais de transport et de préparation, alors que l’A 220 4MATIC se détaillera à partir de 36 990 $.

L’A 220 est équipée d’un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres qui développe 188 chevaux, ainsi que d’une boîte automatisée à sept rapports avec double embrayage. L’équipement de série comprend un toit ouvrant panoramique, un climatiseur automatique, des phares et des feux arrière à DEL, des roues de 17 pouces, des sièges chauffants à l’avant, un siège du conducteur à réglage électrique avec fonction mémoire ainsi qu’un système multimédia MBUX avec écran tactile de sept pouces.

Le Mercedes-Benz EQC 400 2020 dispose de deux moteurs électriques afin de procurer un rouage intégral et qui produisent un total d’environ 402 chevaux, avec un couple de 564 livres-pied. Ce EQC est également muni d’une batterie de 80 kWh, et le chiffre 400 dans son nom indique l’autonomie estimée de 400 kilomètres. Une recharge complète sur une borne de niveau 2 prendrait 10 à 11 heures.

Le prix du EQC 400 n’a pas encore été annoncé, mais ce nouveau concurrent aux Jaguar I-PACE, Audi e-tron quattro et Tesla Model X sera en vente au Canada tôt en 2020.

Ford Escape 2019 : en attendant la relève

Si Ford a récemment lancé la serviette avec ses berlines, c’est pour mieux se concentrer sur le développement de ses véhicules utilitaires. Comme le Ford Escape, par exemple.

Inchangé depuis plusieurs années, l’Escape demeure l’un des véhicules vedettes du constructeur américain. Concurrent direct avec des modèles comme le Toyota RAV4 et le Honda CR-V, le VUS américain continue de tirer habilement son épingle du jeu dans une catégorie de véhicules pourtant saturée.

Mais pourquoi, au juste?

Une gamme de moteurs étoffée
La réponse se retrouve partiellement sous le capot. Parce qu’au lieu de ne proposer qu’une ou deux motorisations comme une bonne partie de ses rivaux, l’Escape en propose trois.

À moins d’avoir un budget limité, oubliez la motorisation de base, un bloc à quatre cylindres de 2,5 litres générant 168 chevaux et un couple de 170 livres-pied. La puissance est un peu juste et le rouage intégral n’est pas offert.

Pour y avoir droit, il faut se tourner vers l’un des deux moteurs optionnels, des moteurs EcoBoost d’une cylindrée respective de 1,5 et de 2,0 litres.

Le plus petit est aussi le plus écoénergétique de la gamme, lequel enregistre une consommation combinée ville/route de 9,1 L/100 km avec les roues motrices avant et de 9,9 L/100 km avec le rouage intégral.

Puis, à bord de la version Titanium que nous avons mise à l’essai, le moteur de 2,0 litres et le rouage intégral sont de série. Là, on a droit à 245 chevaux et à un couple de 275 livres-pied. Avec un ensemble de remorquage offert en option, l’Escape doté de cette motorisation se démarque également par une capacité de remorquage de 1 588 kilogrammes (3 500 livres).

Muni de cette mécanique, le Ford Escape devient un véhicule au comportement routier franchement intéressant. La boîte automatique à six rapports est un peu vieillotte, mais elle accomplit son travail honnêtement et la consommation de carburant demeure dans la mesure du raisonnable, même si les modèles japonais restent les champions à ce chapitre.

Un habitacle à retravailler
Si l’Escape adopte un comportement routier au-delà des attentes pour un VUS qui n’a pas été revu depuis plusieurs années, force est d’admettre que certaines composantes de son habitacle trahissent son âge.

La position de conduite est bonne et l’espace amplement suffisant pour le conducteur et le passager avant. Ceci dit, l’habitacle de l’Escape est parsemé de plastiques bon marché, même dans la variante Titanium.

Sur le modèle mis à l’essai, un écran tactile de huit pouces trônait au centre de la console, intégrant l’honnête système SYNC 3, très facile à manœuvrer. Seul hic, la position de l’écran, très éloigné du conducteur, rend certaines manœuvres trop peu ergonomiques.

À l’arrière, les places sont assez limitées et d’un confort acceptable, sans plus. Heureusement, Ford a pris soin de laisser beaucoup d’espace dans le coffre.

Avec un espace de chargement de 964 litres (1 925 une fois les sièges arrière rabattus), l’Escape offre assez de place pour trimballer ce que vous voudrez, de l’attirail de ski à l’équipement de camping.

Certains concurrents comme le Honda CR-V (1 110 litres) et le Toyota RAV4 (1 064 litres) font mieux, mais l’Escape n’a pas trop à rougir. Le seuil du coffre, plutôt bas, rend d’ailleurs l’accès facile.

Vivement 2020
L’un des plus gros défauts de l’Escape 2019, c’est que l’on sait qu’il vit sur du temps emprunté. Ford a déjà confirmé qu’il présentera une toute nouvelle génération du modèle pour 2020.

Le nouvel Escape promet notamment une variante hybride ainsi qu’un habitacle repensé et des éléments mécaniques modernisés. On en apprendra davantage au cours des prochains mois. En attendant, l’Escape 2019 commence à ressembler à un prix de consolation pour ceux qui doivent absolument changer de véhicule cette année.

Commercialisé en versions S, SE, SEL et Titanium, l’Escape actuel est vendu à un prix de départ de 26 399 $ avant les frais de transport et de préparation.

En plus du moteur le plus puissant du lot, la version Titanium donne droit à des jantes des jantes de 19 pouces et à une panoplie de systèmes d’aide à la conduite.

Reste que face à une facture qui dépassait 40 000 $ pour notre modèle d’essai, difficile de parler d’un achat raisonnable. Si vous tenez au moteur de 2,0 litres (et vous faites bien d’y tenir), aussi bien choisir une version SEL.

Et si vous êtes capable d’attendre encore quelques mois pour l’Escape de nouvelle génération, notre petit doigt nous dit que ça vaut probablement la peine…

Toyota annonce le prix de sa Supra 2020

Le retour de la Toyota Supra a fait couler beaucoup d’encre depuis son annonce.

Celle que Toyota décrit comme « l’un des modèles les plus appréciés dans l’histoire de la marque » a été présentée il y a quelques semaines au Salon international de l’auto de Montréal et elle n’est pas passée inaperçue.

Et voilà que le constructeur japonais a profité du Salon de Toronto pour annoncer le prix de la Toyota GR Supra 2020. Elle se détaillera au Canada à partir de 64 990 $ avant les frais de transport et de préparation.

Mue par un moteur à six cylindres en ligne turbocompressé de 3,0 litres emprunté à BMW, la Toyota Supra 2020 propose une puissance de 335 chevaux ainsi qu’un couple de 365 livres-pied, le tout jumelé à une boîte automatique à huit rapports. Avec cette motorisation sous le capot, elle franchit le 0 à 96 km/h en 4,1 secondes et elle peut atteindre une vitesse maximale limitée électroniquement à 250 km/h.

La Toyota Supra 2020 arrivera chez les concessionnaires au courant de l’été.

La voiture de l’année 2019 de l’AJAC est une Coréenne

À l’ouverture du Salon de l’auto de Toronto, l’Association des Journalistes Automobile du Canada (AJAC) a remis à la Kia Stinger son prix de voiture canadienne de l’année.

La berline sportive de Kia n’est pas passée inaperçue lors de son dévoilement. Proposant des performances plutôt spectaculaires grâce à un moteur optionnel à six cylindres biturbo de 3,3 litres de 365 chevaux, la Stinger démontre tout le chemin parcouru par Kia au cours des dernières années.

Offerte à un prix de départ de 41 895$, la Stinger 2019 a charmé les journalistes de l’AJAC par son impressionnant rapport qualité/prix.

Les finalistes incluaient la Kia Forte (Meilleure voiture compacte au Canada), la Kia Stinger (Meilleure voiture grand format au Canada) et la Volvo V90 R-Design (Meilleure voiture de luxe grand format au Canada).

Le titre du véhicule utilitaire au Jaguar I-Pace
Dans la catégorie des véhicules utilitaires, c’est un modèle entièrement électrique qui a séduit les membres de l’AJAC.

Le Jaguar I-Pace, le premier véhicule 100% électrique proposé par le constructeur de luxe britannique, devient un rival direct à des modèles comme les Tesla Model S et Model X.

Équipé d’une batterie de 90 kWh, l’I-Pace propose une autonomie de 386 kilomètres en plus d’un rouage intégral de série, gracieuseté de deux moteurs électriques dont la puissance combinée s’élève à 394 chevaux.

Le prix de départ pour ce bolide demeure toutefois loin de l’accessibilité, à 86 500$.

Les finalistes incluaient le Mazda CX-5 (Meilleur utilitaire intermédiaire au Canada), le Hyundai Kona (Meilleur utilitaire compact au Canada) et le Jaguar I-PACE (Meilleur véhicule électrique de luxe au Canada).

Les Prix de la voiture verte canadienne de l’année de l’AJAC seront annoncés le mois prochain au Salon de l’auto de Vancouver.

Porsche présente les Panamera GTS et 718 Cayman GT4 Clubsport à Toronto

Après les primeurs canadiennes de la Porsche 911 S 2020, du Cayenne Turbo 2019 et du Macan 2019 au Salon de l’auto de Montréal, voilà que le constructeur allemand dévoile la 718 Cayman GT4 Clubsport et la Panamera GTS au Salon de l’auto de Toronto.

La Porsche Panamera GTS 2019 est une énième variation de la berline sport et de la version à hayon Sport Turismo. En habillage GTS, les deux voitures arborent une apparence plus sportive, un réglage de suspension unique et une puissance de moteur se positionnant entre les versions 4S et Turbo. Son V8 biturbo développe 453 chevaux et un couple de 457 livres-pied, assorti d’une boîte automatique PDK à huit rapports. Selon Porsche, avec l’ensemble Sport Chrono, les Panamera GTS et Panamera Sport Turismo GTS peuvent atteindre 100 km/h en 4,1 secondes.

Le prix débute à 146 200 $ avant les frais de transport et de préparation pour la Porsche Panamera GTS 2019, et à 153 300 $ pour la GTS Sport Turismo. Les deux voitures seront mises en vente cet été.

La Porsche 718 Cayman GT4 Clubsport n’est pas une voiture conforme pour la route, mais plutôt destinée pour la piste. Elle est équipée d’un six cylindres à plat atmosphérique de 3,8 litres, bon pour 425 chevaux. Une boîte PDK à six rapports avec double embrayage achemine la puissance aux roues arrière.

L’habitacle de la GT4 Clubsport est dénudé pour la course, mais obtient une cage de sécurité. Deux versions sont disponibles, Competition (242 000 $) et Trackday (216 500 $), cette dernière étant équipée de caractéristiques que la première n’a pas, dont des freins antiblocage et un programme de contrôle de stabilité.

La Toyota Prius e-AWD 2019 à l’affiche au Salon de l’auto de Toronto

Une foule de nouveaux véhicules arrivent chez les concessionnaires Toyota, et non seulement la marque japonaise renouvelle sa gamme de VUS compacts, mais ses voitures reçoivent également beaucoup d’attention.

La Toyota Prius 2019 profite de quelques révisions esthétiques et un nouveau système multimédia en option qui dispose d’un écran tactile de 11,6 pouces – comme celui figurant dans la Toyota Prius Prime. Toutefois, la grande nouvelle pour les acheteurs canadiens, c’est la disponibilité d’équiper la populaire voiture hybride d’un rouage intégral.

Outre le quatre cylindres de 1,8 litre, le moteur électrique monté à l’avant et la boîte automatique à gestion électronique, procurant une puissance totale de 121 chevaux, la Prius e-AWD est également muni d’un moteur électrique à l’arrière. Le système e-AWD est réactif, signifiant que le moteur arrière s’activera entre 0 et 10 km/h, et lorsqu’une perte d’adhérence est détectée jusqu’à une vitesse de 70 km/h. Autrement, la Prius demeure une voiture à traction. La cote de consommation mixte ville/route de la Toyota Prius e-AWD 2019 est établie à 4,7 L/100 km, ou seulement 0,3 L/100 km de plus que celle de la Prius régulière. La version e-AWD se détaille à partir de 28 990 $ avant les frais de transport et de préparation.

Toyota présente également le Fine-Comfort Ride Concept, un véhicule à piles à combustible qui démontre ce à quoi aurait l’air l’habitacle d’une voiture autonome du futur. En poussant les roues aux extrémités, on parvient à maximiser l’espace intérieur de la voiture. La Toyota Fine-Comfort Ride Concept a initialement été dévoilée au Salon de Tokyo en 2017.

Au Salon de l’auto de Toronto, le constructeur en a également profité pour annoncer le prix de la Toyota GR Supra 2020, qui se détaillera au Canada à partir de 64 990 $ avant les frais de transport et de préparation. Les Toyota Corolla et Corolla hybride 2020 et Toyota RAV4 hybride 2019 sont également à l’affiche.

Les Cadillac CT6-V 2019 et Cadillac XT6 2020 dévoilés à Toronto

La marque de luxe américaine présente deux nouveaux modèles au Salon de l’auto de Toronto, qui attireront vraisemblablement tous les deux beaucoup d’attention, mais pour des raisons bien différentes.

La Cadillac CT6-V 2019 fera étalage de son V8 biturbo de 4,2 litres, un tout nouveau moteur chez Cadillac qui développerait 550 chevaux et un couple de 627 livres-pied. Il disposera d’un système arrêt/redémarrage automatique et d’une désactivation de cylindres, et sera jumelé à une boîte automatique à dix rapports – le tout pour garder sa consommation à un niveau respectable.

La CT6-V sera produite en quantité très limitée, alors que seulement 275 unités ont été annoncés pour les États-Unis. On imagine qu’environ 25 unités seront réservées pour le marché canadien. Le prix devrait se situer à partir de 95 295 $ avant les frais de transport et de préparation.

Alors que les amateurs de performances admireront la CT6-V, les familles amoureuses des produits de luxe seront plutôt charmées par le Cadillac XT6 2020. Ce VUS intermédiaire à trois rangées est équipé d’un V6 de 3,6 litres produisant 310 chevaux ainsi que d’une boîte automatique à neuf rapports et d’un rouage intégral.

Le XT6 proposera une foule de caractéristiques disponibles, dont une chaîne audio Bose à 14 haut-parleurs, une sellerie de cuir semi-aniline, un ioniseur d’air dans l’habitacle, des sièges avant chauffants et ventilés, des sièges de deuxième rangée chauffants, un volant chauffant, un régulateur de vitesse adaptatif, une surveillance des angles morts, une alerte de trafic transversal arrière, une prévention de sortie de voie, un système de caméras à 360 degrés, une vision nocturne, des dossiers de sièges de troisième rangée à rabattage électrique, un rétroviseur intérieur à caméra, un affichage tête haute et une radio satellite SiriusXM 360L. Le système multimédia CUE obtient une molette multifonction montée sur la console centrale, introduit d’abord dans le VUS sous-compact Cadillac XT4 2019.

Le prix et la date de mise en vente du Cadillac XT6 2020 n’ont pas encore été annoncés.