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Aston Martin vole la vedette à Genève en présentant quatre supervoitures

GENÈVE (Suisse) – Aston Martin avait été claire qu’elle présenterait une version finale de sa tant attendue super voiture, la Valkyrie, à Genève, mais personne ne s’attendait à voir apparaître trois autres superbombes anglaises sur le plancher du PalExpo.

En plus de confirmer les détails techniques de son bolide, le constructeur britannique a présenté une riposte à la toute dernière Ferrari F8 Tributo et la McLaren 720S.

La petite des quatre
On la nomme la Vanquish Vision Concept, et elle représente la première « bébé » supervoiture d’Aston Martin, servant à voler des ventes à Ferrari, McLaren et Lamborghini.

Contrairement aux bolides traditionnels du constructeur britannique qui font recours à un moteur à l’avant et un rouage à propulsion – comme la Vantage et la DB11 – la Vanquish Vision Concept est une supervoiture à moteur central et sera alimentée par un tout nouveau V6.

Au moment d’écrire ces lignes, nous ignorons les spécifications de ce moteur, ni s’il sera fourni par AMG ou développé par Aston Martin, mais il serait identique à celui de l’autre hypervoiture d’Aston Martin – l’AM-RB-003, sans les turbos et la motorisation hybride. La Vanquish Vision Concept fera recours à l’aluminium comme matériau principal pour sa carrosserie.

L’AM-RB-003 a aussi fait son apparition à Genève aujourd’hui, un bolide qu’on a vu apparaître sur internet il y a quelques mois. Aston Martin déclare qu’elle se positionnera entre la Vanquish Vision Concept et la Valkyrie au sein de la gamme et profiterait des derniers avancements en matière d’électrification du constructeur, ainsi que plusieurs composantes inspirées des voitures de formule 1.

Comme sa petite sœur, nous ne connaissons pas les spécifications techniques ni le prix de vente de cette « mini Valkyrie » à l’heure actuelle, mais le début de sa production a été confirmée pour la fin de cette année.

Et pour compléter cette magnifique brochette, Aston Martin a apporté non pas une, mais deux Valkyrie en Suisse, en plus de dévoiler les spécifications techniques officielles de sa fusée sur roues. Alimentée par un moteur V12 de 6,5 litres associé à un système hybride, la Valkyrie développe 1 160 chevaux à un régime moteur astronomique de 10 500 tr/min ainsi qu’un couple de 545 lb-pi. Son système électrique viendrait du constructeur de supervoitures électrifiées croate Rimac, et la Valkyrie promet de se joindre au club des voitures de production les plus rapides au monde, bien qu’Aston Martin n’ait toujours pas dévoilé de chiffres d’accélération ni de vitesse de pointe officielle.

La quatrième du groupe, c’est la Valkyrie AMR Pro, une version extrême de la bagnole, conçue exclusivement pour les circuits de course. Seulement 25 unités de la AMR Pro seront produites, et elle incorporera, selon le constructeur, des composantes encore plus légères et une motorisation hybride encore plus puissante que sa jumelle, mais rien d’officiel n’a encore été présenté à ce sujet.

Quoi qu’on en dise, il fait bon de voir Aston Martin voler la vedette cette année à Genève.

Bugatti « La Voiture Noire », le bolide le plus dispendieux au monde

Bugatti ne laisse jamais passer un Salon de l’auto de Genève sans nous présenter une création. Cette fois, Bugatti, filiale du groupe Volkswagen qui souligne cette année ses 110 ans, en a profité pour dévoiler un modèle hautement exclusif produit en un seul exemplaire et malheureusement pour les intéressés, déjà vendu.

Baptisée « La Voiture Noire » afin de souligner les origines françaises de la marque, ce bolide devient le modèle de production le plus dispendieux au monde, l’unique exemplaire vendu pour la modique somme de plus de 11 millions d’euros à un acheteur inconnu. Ce modèle vise une fois de plus à démontrer la capacité de Bugatti à produire les hypersportives les plus précieuses et les plus exclusives au monde.

Cette super sportive rend hommage à la Bugatti Type 57 SC Atlantic, une voiture construite dans les années 1930 et pilotée par le fils d’Ettore Bugatti. Elle rend hommage à la France, mais aussi à la créativité de Jean Bugatti.

Assemblée à la main et disposant d’une carrosserie composée entièrement de fibre de carbone, le bolide dispose de la même mécanique que la Chiron, soit un moteur 16 cylindres à quadruple turbo de 8,0 litres développant 1 500 chevaux. L’extérieur reprend les traits de la Chiron et de la Divo, et à l’arrière, difficile de ne pas remarquer les six sorties d’échappement qui, dans le cas de ce bolide, n’ont rien de superflu.

Le constructeur en a aussi profité pour dévoiler une Chiron Sport inédite afin de souligner les 110 ans de la marque et limitée à uniquement 20 exemplaires. Voici votre chance si jamais vous avez raté votre chance avec « La Voiture Noire ».

Nissan Canada dévoile les prix de la LEAF PLUS à grande autonomie

Au mois de janvier dernier, Nissan a dévoilé la LEAF PLUS équipée d’une batterie de 62 kWh, permettant une autonomie maximale de 363 kilomètres sur une pleine charge. Jusqu’à maintenant, la LEAF de deuxième génération et sa batterie de 40 kWh pouvait parcourir une distance estimée à 243 km.

De plus, la LEAF PLUS est plus énergique avec son moteur électrique de 214 chevaux, comparativement à 147 chevaux dans le cas de la LEAF « ordinaire ». Selon Nissan, les accélérations sont plus rapides de 13% et la vitesse maximale est augmentée de 10%.

Le constructeur vient d’annoncer les prix pour la version à grande autonomie. La Nissan LEAF S PLUS 2019 sera en vente à partir de 43 998 $ avant les frais de transport et de préparation de 1 950 $, alors que la version SV PLUS se détaillera à 46 598 $, et la version SL PLUS, 49 498 $.

En guise de comparaison, le Hyundai Kona électrique avec son autonomie maximale de 415 km se détaille à partir de 45 599 $, alors que la Chevrolet Bolt EV et son autonomie de 383 km est offerte à partir de 44 800 $ et la Tesla Model 3 de base, 47 600 $.

On peut reconnaître la LEAF PLUS de la LEAF par sa calandre légèrement redessinée avec accents bleutés et un logo e+ sur le volet de recharge rapide. Lorsque la LEAF PLUS arrivera chez les concessionnaires au mois d’avril, la LEAF à batterie de 40 kWh ne sera disponible qu’en livrée SV pour le millésime 2019 au tarif de 40 698 $. Dans tous les cas, le gouvernement du Québec accorde une subvention allant jusqu’à 8 000 $ lors de l’achat ou de la location de la voiture électrique, applicable après le calcul des taxes de vente.

Nissan LEAF SV : 40 698 $
Nissan LEAF S PLUS : 43 998 $
Nissan LEAF SV PLUS : 46 598 $
Nissan LEAF SL PLUS : 49 498 $

Le tout nouveau Mazda CX-30 2020 se pointe… et on le veut ici!

Mazda nous avait promis une nouveauté en première mondiale au Salon de l’auto de Genève 2019 pour élargir sa gamme de VUS. C’est donc le compact CX-30 qui entre en scène, encore une fois dans la fameuse teinte Rouge crystal, et devient le deuxième membre de la nouvelle génération de véhicules Mazda, après bien sûr la Mazda3 2019.

Décrit comme un modèle phare, le CX-30 (on ne pourra pas l’appeler CX-4) vient s’insérer entre le CX-3, parfois jugé trop restreint, et le populaire CX-5. Il présente la dernière évolution du langage stylistique KODO de Mazda. La silhouette du capot et de la partie arrière est particulièrement attrayante, tandis que les moulures prononcées autour des roues ajoutent un élément de robustesse. À l’intérieur, sans donner bien des détails, la compagnie promet un habitacle qui accueille quatre adultes en tout confort.

Les caractéristiques de performance chères à Mazda, comme l'accélération, les virages et le freinage, ont été considérablement améliorées, dit-on. Dans la majorité des cas, les acheteurs auront le choix entre un moteur SKYACTIV-G de 2,0 litres avec technologie de désactivation des cylindres et le nouveau SKYACTIV-X tant vanté qui réduit la consommation d’essence d’environ 25% grâce entre autres à un allumage par compression. Une boîte manuelle et une automatique à six rapports seront offertes, tout comme la transmission intégrale i-ACTIV et le contrôle vectoriel de force G.

Selon d’autres informations recueillies, le Mazda CX-30 sera disponible également avec un système de surveillance de la somnolence et de l’inattention du conducteur ainsi qu’un assistant qui facilite la conduite dans les bouchons de circulation.

Le Mazda CX-30 sera commercialisé dans différents marchés, à commencer par l’Europe cet été. Pour l’instant, le Canada n’a pas encore été confirmé, mais les chances sont bonnes de le voir débarquer chez nous plus tôt que tard. Naturellement, vous serez parmi les premiers à en être informés.

Ce nouveau concept électrique de Kia mise sur les émotions… et un cockpit hallucinant!

Aujourd’hui au Salon de l’auto de Genève 2019, Kia a dévoilé un nouveau concept de voiture électrique qui vise à conquérir le cœur du public et à le faire battre plus vite. On l’appelle « Imagine by Kia ».

La compagnie prétend que la meilleure façon de répondre aux préoccupations des conducteurs d’aujourd’hui par rapport aux véhicules électriques, c’est d’avoir une approche de l’électrification qui se concentre uniquement sur les émotions.

Alors que la majorité des fabricants s’attardent aux chiffres et à des éléments rationnels comme l’autonomie, le rendement et la puissance, Kia veut surprendre les gens et les rejoindre d’une manière plus chaleureuse et plus humaine, aux dires du vice-président du design de Kia Motors Europe, Gregory Guillaume.

Laisser libre cours à son imagination
C’est ce qu’incarne le concept Imagine by Kia, une voiture électrique à quatre portes qui n’appartient à aucune catégorie et qui propose quelque chose de tout à fait nouveau, même si elle conserve certains traits familiers. La calandre « Tiger Nose », par exemple, a été réinterprétée en un « Tiger Mask » illuminé qui encercle les phares à DEL. Séparés par des « paupières » horizontales, les feux de route et de croisement sont enfermés dans un logement en verre acrylique, si bien qu’ils créent un regard perçant et flottant à la fois. De plus, les ondulations au bas du parechoc avant et des portières latérales sont censées créer une impression de mouvement lorsque la lumière atterrit sur la voiture – un peu comme des ondes de choc.

La carrosserie en soi est fascinante aussi, elle qui reçoit une peinture argent avec effet chromé en six couches appliquées à la main et un fini bronze par-dessus tout ça. Ses lignes fluides et dynamiques sont accentuées par le panneau vitré continu qui s’étend de la base du pare-brise jusqu’à l’arrière du toit. N’oublions pas les jantes en alliage de 22 pouces aux insertions en acrylique qui réfléchissent la lumière comme le ferait un diamant taillé.

Tout un spectacle à bord!
L’habitacle spacieux et extrêmement épuré est dominé par un tableau de bord hallucinant composé de 21 écrans HD qui se synchronisent en courbant vers le conducteur – une façon de se moquer des constructeurs automobiles qui se livrent une guerre pour savoir qui peut offrir le plus gros écran, selon Kia.

Chose certaine, les designers ont réussi tout un coup d’éclat. Du point de vue du conducteur, les écrans créent un seul affichage harmonisé. Les informations du véhicule sont présentées en compagnie d’une série d’anciens concepts de Kia qui font un lien entre le passé et le futur de la marque.

Puisque Kia ne veut pas insister sur les spécifications et autres détails techniques, nous ne savons pratiquement rien au sujet de la motorisation du concept Imagine by Kia, à part le fait qu’une batterie rechargée par induction et placée près du sol alimente un moteur compact. Êtes-vous suffisamment intrigué pour vouloir conduire un éventuel modèle de série

La Koenigsegg Jesko dévoilée à Genève

Christian von Koenigsegg vient de lever le voile sur le prochain projet de son entreprise au Salon de l’auto de Genève. Il s’agit de la Jesko, une autre hypervoiture qui remplacera la rutilante Agera RS avec plus de puissance, des performances rehaussées et un habitacle plus accueillant.

D’abord, le nom Jesko rend homme au père de Christian, qui a su aider la petite entreprise à braver les défis financiers lors de ses premières années d’existence. Maintenant octogénaire à la retraite, Jesko et son épouse Brita étaient sur place au salon pour assister au dévoilement du bolide.

Les ingénieurs de la marque ont repris le moteur de la Koenigsegg Agera RS, soit un V8 biturbo de 5,0 litres, et à la suite d’améliorations, il produit maintenant 1 280 chevaux et un couple de 1 106 livres-pied en l’abreuvant d’essence super. Ou 1 600 chevaux avec du biocarburant E85. Bref, une centaine d’étalons supplémentaires par rapport à l’Agera RS, et un régime maximal atteignant désormais 8 500 tr/min. On n’a pas encore annoncé les données de performance de cette nouvelle hypervoiture, mais cela ne saura tarder.

Une nouvelle boîte automatique à neuf rapports a été mise au point pour la Jesko, ou ce que la firme appelle sa Light Speed Transmission. On note la présence de « plusieurs » embrayages, sans spécifier le nombre exact, dans un ensemble compact qui promet des changements ultra rapides, même lors d’une rétrogradation en sautant plusieurs rapports. Presqu’à la vitesse de la lumière, selon Koenigsegg, expliquant évidemment le choix du nom LST. Cette boîte profite également d’une gestion électronique appelée Ultimate Power On Demand ou UPOD, qui choisit le rapport optimal lors des accélérations.

Pour la Jesko, on a conçu une nouvelle structure monocoque composée de fibre de carbone et d’aluminium, plus long et plus haut que celle de l’Agera, permettant un meilleur dégagement pour les jambes et la tête dans l’habitacle.

Outre une suspension retravaillée, le bolide profite de roues arrière directionnelles, pouvant pivoter jusqu’à un angle de trois degrés dans la même direction que celles d’en avant – bonifiant l’agilité et la stabilité à haute vitesse – ou dans la direction opposée lors des manœuvres à basse vitesse, réduisant le diamètre de braquage.

À l’instar de la Koenigsegg Regera, la Jesko dispose d’une télécommande pouvant actionner l’ouverture des portes et des capots à distance, alors que les entrées et les sorties de la voiture sont facilitées par des charnières de porte mieux articulées. Une fois à bord, on est évidemment enveloppés de cuir, d’alcantara, de fibre de carbone et d’aluminium. Le volant comprend deux petits écrans tactiles pour régler les fonctions audio, de téléphone et du régulateur de vitesse. On profite également d’une intégration Apple CarPlay, d’une zone de recharge sans fil pour téléphones et d’un système de caméras à 360 degrés.

Le constructeur n’a pas annoncé le nombre d’unités de la Koenigsegg Jesko qui seront assemblées, mais on peut assumer avec certitude qu’elles sont déjà toutes vendues.

La Pininfarina Battista électrique se dévoile comme la voiture la plus puissante de l’histoire

Le Salon de l’auto de Genève 2019 a vraiment débuté en force avec la première mondiale de la Pininfarina Battista, une voiture sport extrême 100% électrique qui arrivera sur les routes l’an prochain. Bonne nouvelle : elle sera disponible au Canada aussi!

« La Battista incarne la pureté, la beauté et la rareté, ainsi qu’une vision du développement durable qui plait autant au cœur qu’à la raison, a déclaré le PDG de Pininfarina, Michael Perschke. Elle sera la voiture la plus puissante jamais conçue et elle vous fera tomber en amour avec les moteurs électriques. »

À quel point puissante? Le chiffre a de quoi laisser bouche bée : 1 900 chevaux. (À titre de comparaison, la Bugatti Chiron développe 1 479 chevaux.) Pininfarina mentionne également un couple d’environ 1 700 lb-pi et un sprint de 0 à 100 km/h en moins de deux secondes. Vous avez bien lu. Par ailleurs, la batterie mise au point et adaptée par Rimac fournit une autonomie de 450 kilomètres.

Le tout est installé dans un châssis et une carrosserie en fibre de carbone, avec une suspension à double levier triangulaire, de superbes jantes de 21 pouces et des pneus Pirelli taillés sur mesure.

L’équipe d’ingénieurs responsable de la Pininfarina Battista est menée par Rene Wollman, qui agira à titre de directeur du programme des voitures sport après avoir récemment participé au lancement d’une autre machine exceptionnelle, la Mercedes-AMG ONE. Le pilote d’essai et de développement est nul autre que Nick Heidfeld, anciennement de la F1 et maintenant pilote pour l’écurie Mahindra en Formule E.

Cherchant aussi à devenir la voiture électrique la plus désirable au monde, la nouvelle Battista a été présentée en trois couleurs distinctes : bleu ionique, gris satin et blanc pur nacré. Elle sera limitée à une production de 150 unités, toutes assemblées à la main au siège social de Pininfarina à Cambiano, en Italie. Le prix au Canada avoisinerait les 2,5 millions $.

Précisons que Pfaff Automotive Partners de Vaughan, en Ontario, vient d’être nommé distributeur exclusif pour l’Est du Canada. Un autre groupe devrait être annoncé sous peu pour l’Ouest du pays.

Alfa Romeo Tonale Concept : le premier modèle rechargeable de la marque

La marque italienne Alfa Romeo vient de dévoiler un nouveau VUS concept au Salon de l’auto de Genève, et il s’agit d’un avant-goût de ce qui s’avérerait son premier modèle hybride rechargeable.

À l’été de 2018, Fiat Chrysler Automobiles a annoncé qu’un petit VUS se joindrait à la gamme d’Alfa Romeo – au même titre qu’un utilitaire pleine grandeur – et la version de production éventuelle du Tonale sera positionnée sous l’actuel Alfa Romeo Stelvio.

Les stylistes de la marque avancent que le design du Tonale Concept est inspiré « par la beauté et les nuances associées aux formes humaines, ainsi que le mouvement organique de la lumière causé par les lignes et les volumes purs. » Bon, on peut dire qu’il partage inévitablement une ressemblance familiale aux autres modèles chez Alfa Romeo.

L’habitacle du Tonale Concept est « conçu pour accueillir confortablement quatre passagers », alors qu’un mélange d’aluminium, de cuir et d’alcantara créé une atmosphère chaleureuse et luxueuse. Le conducteur dispose d’un écran d’instrumentation numérique de 12,3 pouces, alors que le système multimédia exploite un écran tactile de 10,25 pouces.

On précise également que le véhicule est connecté au communautés Alfa Romeo Lifestyle and Social. Autrement dit, la fonction Alfista propose une interface connectée avec les clubs et les événements communautaires Alfa Romeo tout en affichant des nouvelles et des mises à jour à propos de la marque. Les clients pourront aussi commander des billets et confirmer leur présence à des événements ou des rencontres, et gagner des accès VIP lors des événements commandités. La fonction Paddock est un garage et un marché en ligne pour se procurer des pièces de performance ou de l’équipement intérieur et extérieur pour notre véhicule.

La motorisation hybride rechargeable proposera trois modes de conduite par l’entremise de son système Alfa D.N.A., y compris Dual Power maximisant la puissance des moteurs à combustion et électrique, Natural qui optimise les performances et l’efficacité en conduite au quotidien ainsi que Advance E pour la conduite 100% électrique. Aucun détail technique n’a été révélé jusqu’à maintenant au sujet de cette motorisation hybride rechargeable, mais l’an dernier, Alfa Romeo avait promis que sa technologie procurerait une autonomie en conduite électrique de plus de 50 kilomètres ainsi qu’un 0-100 km/h en environ 4,5 secondes.

Au cours des prochaines années, Alfa Romeo révélera également une nouvelle 8C équipée d’un moteur biturbo et d’un système hybride pour une puissance combinée surpassant les 700 chevaux, et un nouveau coupé GTV misant sur une motorisation E-Boost de plus de 600 chevaux.

Première mondiale du Audi Q4 e-tron concept

GENÈVE (Suisse) – Au Salon de l’auto de Genève, Audi présente le nouveau Q4 e-tron concept à motorisation 100% électrique dans un kiosque où seules des voitures électrifiées sont en montre. Ce concept de VUS électrique à rouage intégral est élaboré sur la plate-forme MEB du groupe Volkswagen et le modèle de production fera son entrée sur le marché vers la fin de 2020, devenant ainsi le cinquième véhicule à motorisation électrique de la marque allemande.

De dimensions plus compactes que le e-tron quattro, le Q4 e-tron concept est doté d’un empattement long afin de bonifier l’habitabilité malgré son gabarit qui en fait un véhicule plus compact que le e-tron quattro. Les dimensions extérieures du Q4 e-tron concept sont 4,59 mètres en longueur, 1,90 mètres en largeur et sa hauteur est de 1,61 mètres. Au cours de la conférence de presse, Bram Schott, président et chef de la direction, a annoncé que l’autonomie du Q4 e-tron concept est de 450 kilomètres, selon le protocole WLTP (World Light-vehicle Test Procedure), alors que Marc Lichte, chef du design chez Audi, assure que le style de l’éventuel modèle de série sera très semblable à celui du Q4 e-tron concept, hormis quelques détails.

Le Q4 e-tron concept est animé par deux moteurs électriques, soit l’un pour le train avant et l’autre pour le train arrière, ce qui en fait un véhicule à rouage intégral. Le sprint de 0 à 100 kilomètres/heure est annoncé en 6,3 secondes et la vitesse maximale est limitée électroniquement à 180 kilomètres/heure. L’énergie électrique est contenue dans une batterie d’une capacité de 82 kilowatts/heure localisée dans le plancher du véhicule, tout comme sur le e-tron quattro.

La plupart du temps, le concept Audi Q4 e-tron utilise principalement son moteur électrique arrière afin d'obtenir le meilleur rendement. Pour des raisons d'efficacité, le couple est généralement réparti en mettant l’accent sur l'essieu arrière. Si le conducteur a besoin de plus de puissance que ce que le moteur électrique arrière peut fournir, la transmission intégrale électrique utilise le moteur avant pour redistribuer le couple nécessaire à l'essieu avant. Le moteur électrique à l'arrière a une puissance de 150 kW et développe un couple de 229 livres-pied, alors que le moteur avant entraine les roues avant jusqu'à 75 kW et 111 livres-pied, la puissance totale du système étant de 225 kW (302 chevaux US). Chargée à 125 kilowatts, la batterie retrouve 80% de sa capacité en 30 minutes.

Audi profite également du Salon de l’auto de Genève pour présenter en première européenne la e-tron GT concept, dévoilée au Salon de Los Angeles à l’automne dernier, ainsi que le e-tron Sportback dont la commercialisation est prévue en cours d’année 2019. Également présentes chez Audi, les versions hybrides rechargeables des Q5, A6, A7 et A8L complètent le portrait de l’électrification chez la marque aux quatre anneaux.

Le Salon de l’auto ouvre ses portes à Québec

Les amateurs de voitures de Québec pourront se rincer l’œil cette semaine.

Du 5 au 10 mars, le Centre de foires de Québec accueille l’annuel Salon de l’auto. Encore une fois cette année, les amateurs de bagnoles pourront admirer les plus récents produits de l’industrie automobile.

Parmi les vedettes de cette édition 2019, mentionnons notamment la Toyota Supra, le Lamborghini Urus, le Jeep Gladiator et le Honda Passport.

En plus de pouvoir regarder leurs voitures de rêve de plus près, les visiteurs du Salon de l’auto de Québec pourront mettre à l’essai plus d’une dizaine de véhicules électriques, de la Chevrolet Bolt EV à la Volkswagen e-Golf en passant par la Hyundai Ioniq.

Les amateurs de performances auront aussi de quoi se mettre sous la dent grâce à la zone « essai routier de rêve », réunissant des bolides exceptionnels comme la Jaguar F-TYPE, la Nissan GT-R et la Porsche 718 Boxster sur un parcours d’environ cinq kilomètres.

Une belle façon d’oublier l’hiver, le temps d’une visite au Salon de l’auto!

Où?
Centre de foires de Québec
250 boulevard Wilfrid-Hamel
Local RC46, niveau Salle d’exposition
Québec (Québec) G1L 5A7

Quand?
5 mars : 9 h 30 à 21 h
6 mars : 9 h à 21 h
7 mars : 9 h à 21 h
8 mars : 9 h à 21 h
9 mars : 9 h à 21 h
10 mars : 9 h à 17 h

Combien?
Admission générale: 16 $
13 à 17 ans : 8 $
65 ans et plus : 14 $
Enfants de 6 à 12 ans : 5 $
Enfants de moins de 5 ans : Gratuit
Forfait familial (2 adultes et 2 enfants) : 35 $

BMW X4 M40i 2019 : sportivité et polyvalence réunis

BMW s’est forgé une solide réputation en matière de plaisir de conduite, ADN qu’il a toujours su transmettre à ses VUS. En 2009, il a repoussé l’idée en créant le X6, un véhicule tape à l’œil mariant le style et le dynamisme d’un coupé sport à l’aspect tendance et pratique d’un VUS. Ce dernier allait paver la voie à de nombreux concurrents, notamment chez Mercedes-Benz.

Fort de ce succès, le constructeur bavarois a décidé d’introduire en 2015 le X4, un bébé X6 basé cette fois sur la plate-forme du X3 et utilisant essentiellement les mêmes composantes mécaniques. Il se distingue principalement par sa silhouette plus athlétique soutenue par son toit plongeant à l’arrière et ses lignes de coupé sport. Ce qu’il perd en visibilité et en aspect pratique, il le regagne en performances et en plaisir de conduite. Si vous cherchez un petit VUS haut en couleur et capable d’éclipser la majeure partie des véhicules dans une bretelle d’autoroute, le X4 vaut le détour, surtout dans sa version griffée M.

On fait corps avec le véhicule
L’habitacle du X4 est magnifiquement ficelé, l’attention aux détails est marquée et l’effet de luxe est bien présent. Tout est bien orienté vers le conducteur et aménagé afin que l’on puisse faire corps avec le véhicule. C’est là la principale force du X4, on a l’impression d’être au volant d’une voiture sport, non pas d’un VUS.

Malgré sa taille réduite, le X4 se montre assez fonctionnel grâce à plusieurs rangements pratiques. Celui se situant à l’avant du sélecteur est assez imposant pour y loger téléphones intelligents et autres articles utiles tout en donnant accès à une prise USB. Le système multimédia iDrive est beaucoup plus convivial que par le passé. On peut même l’activer en faisant des signes de la main grâce à son système de contrôle gestuel. Voilà qui impressionnera vos passagers à tout coup!

Si les passagers avant profitent d’amplement d’espace, ce n’est pas le cas à l’arrière. C’est ici que la taille réduite du X4 se fait le plus sentir. Il faudra aimer être intime pour s’assoir à trois à l’arrière! C’est moins criant dans le cas de l’espace de chargement qui, malgré un plancher assez élevé, dispose d’une bonne profondeur. Le X4 sacrifie environ 25 litres d’espace de chargement par rapport au X3.

Plus onéreux
À l’instar du X3, le BMW X4 de seconde génération est proposé en deux versions comprenant chacune une mécanique et surtout, une personnalité distincte. Il faudra débourser 53 000 $ pour vous procurer le X4 xDrive 30i, soit environ 5 000 $ de plus qu’un X3 équivalent. On vous vendra le véhicule en mentionnant que le X4 est un peu plus imposant de quelques centimètres en longueur et en largeur par rapport au X3 tout en possédant quelques équipements supplémentaires. On vous vend surtout un style plus exubérant, lequel vous assurera d’être vu!

Sous le capot, le X4 xDrive 30i abrite un quatre cylindres turbocompressé développant 248 chevaux et un couple de 258 lb-pi jumelé à une boîte automatique à huit rapports, la seule offerte. C’est quelques chevaux de plus que dans le cas du Coupé GLC de Mercedes-Benz. Le modèle fait preuve d’un bon équilibre et réalise des performances louables.

Dans le cadre de cet essai, nous avons mis la main sur le M40i 2019, qui profite du traitement de l’écurie M de BMW.

Son prix de base de 66 000 $ est indécent pour un si petit VUS, mais si vous en prenez le volant après avoir essayé la version de base, le retour en arrière sera pratiquement impossible. Le cœur de ce modèle, c’est son moteur six cylindres en ligne de 3,0 litres qui fait passer la puissance à 355 chevaux et le couple à 343 lb-pi. Ce dernier, qui anime aussi la petite M240i, se révèle un véritable coup de cœur tant par sa vigueur que par son couple étonnant disponible à bas régime.

Bolide ou VUS?
Ce moteur transforme véritablement le X4 en bolide et le plus beau, c’est sa riche sonorité qui ne manquera pas de vous séduire à chaque démarrage.

Sur la route, les ingénieurs se sont assuré que le véhicule dispose des mêmes attributs que les berlines sport de la marque. Les suspensions maîtrisent très bien tout transfert de poids et le véhicule colle en virage comme peu de VUS le font. Merci aussi à son centre de gravité un tantinet plus bas que celui du X3.

Ses freins « M » de plus grandes dimensions – peints en bleu et très visibles à travers les jantes – assurent un freinage plus mordant et endurant et vous permettent de toujours contrôler cette puissance. Chaque composante du X4 M40i a été optimisée en fonction des performances, que ce soit dans le calibrage de la direction ou dans la répartition du poids entre le train avant et arrière.

Notre essai hivernal nous a permis de mettre à l’épreuve le X4 dans la neige. Chaussé d’excellents pneus Pirelli, le véhicule collait littéralement à la route, nous devions pratiquement le pousser à l’extrême afin de le prendre en défaut. Son gabarit réduit, son poids inférieur et son rouage intégral en font presque un véhicule de rallye, il vous procure une bonne assurance en toute condition. Seul son débattement plus réduit le pénalise.

En conduite normale et urbaine, il est évident que les formes du véhicule nuisent à la visibilité, surtout à l’arrière. Les constructeurs le savent, et des technologies telles un système de détection d’angles morts et une caméra de recul avec vision 360 permettent de laisser une plus grande marge de manœuvre aux stylistes tout en diminuant les impacts négatifs.

Le BMW X4 M40i est probablement l’antithèse d’un VUS, mais il fait davantage appel au cœur qu’à la raison. L’histoire de l’automobile est d’ailleurs remplie de ce type de véhicule.

Volkswagen ID. Buggy : un joli clin d’œil au passé

À l’aube de l’ouverture du Salon de l’auto de Genève, les constructeurs dévoilent déjà leurs véhicules concepts au grand public.

Tel que promis, Volkswagen fera une présence marquée en Suisse avec ceci, le ID. Buggy concept, un « dune buggy » modernisé et entièrement électrique!

Un avant-goût de ce qui s’en vient
Depuis quelque temps, Volkswagen nous parle d’une série de véhicules électriques qu’il commercialisera dans un avenir rapproché sous le nom I.D. L’une d’entre elle est même prévue sur notre marché d’ici la fin de cette année, proposant une autonomie pouvant aller jusqu’à 550 km.

Mais Volkswagen a aussi d’autres plans avec sa nouvelle famille de véhicules électriques, et prévoit élargir la plateforme MEB sur laquelle ils seront assemblés en plusieurs variantes distinctes. Nous l’avons vu avec l’I.D. Buzz, un concept rappelant la toute première fourgonnette Westfalia. Voici maintenant l’ID. Buggy.

Grâce à sa batterie de 62 kWh, ce biplace hors-route destiné aux dunes de sable développe 201 chevaux, un couple de 228 lb-pi et accomplit le 0-100 km/h en 7,2 secondes, tout en offrant à son propriétaire une autonomie de près de 250 km.

Mesurant à peine quatre mètres de long et un peu moins de deux mètres de large, l'ID. Buggy concept rappelle les bons vieux dune buggy d’autrefois, alimentés par des moteurs de Volkswagen Beetle. Et comme ses ancêtres, ce concept vient par défaut avec un rouage à propulsion. Toutefois, il serait également possible, selon Volkswagen, de l’équiper d’une transmission intégrale au besoin.

Bien entendu, il ne s’agit que d’un exercice de design pour le moment, mais il fait bon de voir Volkswagen s’amuser avec sa prochaine famille de véhicules électriques. Reste à voir si le constructeur aura l’audace d’en faire un véhicule de production.

Salon de l’auto de Genève 2019 : offensive hybride rechargeable pour Audi

GENÈVE (Suisse) – Au Salon de l’auto de Genève, Audi présente de nouvelles variantes à motorisation hybride rechargeable pour les modèles Q5, A6, A7 et A8 qui seront disponibles en cours d’année 2019. Ces nouvelles variantes recevront la désignation TFSI e, puisque l’appellation e-tron sera désormais réservée aux modèles à motorisation entièrement électrique de la marque allemande.

Audi annonce une autonomie de plus de 40 kilomètres en mode électrique, selon le protocole WLTP (World Light-Vehicle Test Procedure) pour toutes les variantes TFSI e, ce qui permettra aux conducteurs de parcourir près du tiers de leurs trajets quotidiens en mode électrique, d’après Audi. Le chargeur embarqué de 7,2 kilowatts permet de recharger complètement la batterie en deux heures. La venue de deux de ces nouvelles variantes à motorisation hybride rechargeable est d’ores et déjà confirmée pour le Canada, les A8 et Q5 étant les premières à faire leur entrée sur notre marché, et on s’attend à ce que les A6 et A7 suivent plus tard.

Tous munis du rouage intégral, les modèles Q5, A6 et A7 sont animés par un moteur thermique quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres et par un moteur électrique, intégré à la boîte à double embrayage S tronic à sept rapports, lequel est alimenté par une batterie lithium-ion d’une capacité de 14,1 kilowatts-heure localisée sous le coffre. Deux versions de ces modèles seront disponibles, soit les 50 TFSI e quattro, qualifiées de versions « confort » dont la motorisation développe 299 chevaux et un couple de 331 livres-pied, ainsi que les 55 TFSI e quattro, à vocation plus sportive, dont la motorisation à suralimentation accrue déploie 367 chevaux et 368 livres-pied. Les versions 55 recevront une suspension plus ferme et que le moteur électrique sera sollicité plus fréquemment pour ajouter à l’agrément de conduite.

Tout comme les autres modèles, la variante à motorisation hybride rechargeable de la A8, uniquement disponible en version à empattement allongé, vient de série avec le rouage intégral. La A8L 60 TFSI e quattro abrite un moteur V6 de 3,0 litres turbocompressé et un moteur électrique intégré dans l’embrayage de la boîte automatique à huit rapports. La puissance maximale est de 449 chevaux et le couple maximal est chiffré à 516 livres-pied.

Tous ces modèles à motorisation hybride rechargeable sont dotés de plusieurs modes de conduite, dont le mode EV qui donne priorité à l’électrique, Auto qui est un mode hybride entièrement automatique, et Hold qui permet de conserver l’énergie de la batterie pour une utilisation ultérieure en mode électrique.

De plus, un système appelé « predictive efficiency assistant » prend en compte les données de navigation et le système de capteurs de la voiture pour planifier l’itinéraire complet et indiquer au conducteur, par un signal lumineux et une réaction haptique de la pédale d’accélérateur, quand lever le pied pour maximiser l’efficience énergétique. Comme plusieurs autres modèles de la marque, les nouvelles variantes à motorisation hybride rechargeable sont équipées du système Audi drive select qui permet de paramétrer le comportement routier selon plusieurs modes affectant la boîte de vitesses, la suspension et la direction, selon le choix du conducteur.

Cette annonce s’inscrit dans la voie de l’électrification des modèles du constructeur, Audi émulant ainsi plusieurs autres marques, dont BMW et Mercedes-Benz, qui ont adopté cette stratégie. Précisons également que Audi présente aussi le nouveau VUS électrique Q4 e-tron concept au Salon de l’auto de Genève.

Jaguar XE 2020 : design rafraîchi, nouvelles technologies

La berline sport compacte de Jaguar, lancé pour le millésime 2017, obtient quelques changements esthétiques et des améliorations dans son habitacle pour 2020.

La voiture reçoit de nouveaux parechocs avant et arrière, avec des ouvertures surdimensionnées qui confèrent une posture plus large à la XE – selon Jaguar. Des phares à DEL amincis et une calandre redessinée font également partie des changements au design extérieur.

L’habitacle de la XE a été retravaillé avec plus de matériaux doux au toucher ainsi que de nouveaux placages et des garnitures de panneaux de porte. Jaguar avance des améliorations au chapitre du confort, de la qualité et de la connectivité, avec plus d’espace de rangement. Le nouveau volant est emprunté du I-PACE alors que le levier de vitesse est tiré directement de la F-TYPE.

La Jaguar XE 2020 est maintenant disponible avec le système multimédia Touch Duo Pro du constructeur, avec un écran de 12,3 pouces et une interface tactile pour les commandes de climatisation. La berline peut aussi être équipée d’un nouveau rétroviseur intérieur utilisant une caméra montée à l’arrière, ou ce que Jaguar appelle ClearSight. On ajoute aussi une recharge de téléphones sans fil, un affichage tête haute en couleur ainsi que l’intégration de série d’Apple CarPlay et d’Android Auto.

Pour le moment, la XE est disponible au Canada en déclinaison SE avec un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres avec 247 chevaux, alors que la version R-Dynamic SE propose la même motorisation, mais dont la puissance est rehaussée à 296 chevaux, permettant des accélérations de 0 à 100 km/h en 5,4 secondes. Les deux variantes proposent un rouage intégral de série. La Jaguar XE 2020 est maintenant en vente à partir de 49 900 $ avant les frais de transport et de préparation.

Meilleurs achats 2019 du Guide de l’auto : Mazda MX-5

Le printemps est à nos portes, et cette année, on s’est enfin décidé à se procurer une décapotable abordable. Mais laquelle choisir? Pour aider le consommateur à faire un choix éclairé, le Guide de l’auto publie chaque année ses Meilleurs achats dans une foule de catégories, dont celle des décapotables.

Le titre du Meilleur achat pour 2019 a été décerné à la Mazda MX-5, une petite décapotable biplace qui propose un agrément de conduite indéniable. Avec sa superbe tenue de route, sa direction précise et son caractère enjoué, la MX-5 est la preuve que l’on n’a pas besoin d’une motorisation surpuissante pour avoir du plaisir au volant.

Malgré tout, le roadster de Mazda profite cette année d’une plus grande cavalerie sous le capot, alors que son quatre cylindres de 2,0 litres produit désormais 181 chevaux. Le couple du moteur est également mieux exploité à mi-régime, signifiant des accélérations de dépassement légèrement plus franches. De plus, la MX-5 plaît par son design résolument séduisant et dynamique, son habitable bien fini et, en option, un toit rétractable à commande électrique ajoutant une touche de luxe. La Mazda MX-5 se détaille à partir de 32 900 $ avant les frais de transport et de préparation.

En deuxième place parmi les décapotables abordables, on retrouve la Fiat 124 Spider (PDSF à partir de 34 795 $) qui partage son architecture avec celle de la MX-5. Cependant, elle a une personnalité qui lui est propre avec un quatre cylindres turbocompressé de 1,4 litre, bon pour 160 chevaux. On aime son design extérieur, la finition de son habitacle et, bien entendu, son agrément de conduite.

La Ford Mustang décapotable (PDSF à partir de 35 699 $) figure en troisième place. Elle est équipée soit d’un quatre cylindres turbo de 310 chevaux, soit d’un rutilant V8 de 5,0 litres développant 460 chevaux bien en santé. Évidemment, les performances et le comportement routier sont les points forts de la Mustang, mais son caractère sportif et son design athlétique sont difficiles à ignorer.

Tesla dévoilera un nouveau modèle très bientôt

Quelques jours après avoir annoncé l’entrée en production de la Model 3 de base, Elon Musk a confirmé le dévoilement prochain d’un nouveau VUS chez Tesla.

Fidèle à ses habitudes, le PDG du constructeur américain en a fait l’annonce sur Twitter, précisant que le dévoilement officiel sera réalisé le 14 mars prochain à Los Angeles.

Quelques secondes plus tard, Musk a ajouté que le nouveau véhicule, baptisé le Model Y, sera un VUS au gabarit environ 10% plus gros que celui de la Model 3. Le prix sera donc à peu près 10% plus élevé que le modèle d’entrée de gamme du constructeur, dont le PDSF est établi à 47 600 $ au Canada.

Le prix du Model Y ainsi que des spécifications plus étoffées seront annoncées lors du dévoilement.

Avec ce véhicule, Tesla s’apprête à accueillir un quatrième véhicule dans sa gamme, qui comprend déjà les modèles S, X et 3.

Rappelons que le constructeur a aussi confirmé son intention de commercialiser une nouvelle génération du Roadster, en hommage au tout premier modèle commercialisé par Tesla.