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La Ford Mustang 2020 obtient le moteur de la Focus RS

Ford nous préparait bel et bien une nouvelle version de la Mustang, mais contrairement aux rumeurs d’une SVO moderne, on nous présente plutôt un ensemble « haute performance » de 2,3 litres pour le coupé et le cabriolet Mustang EcoBoost d’entrée de gamme.

Lors de son arrivée sur le marché cet automne, en tant que modèle 2020, il s’agira de la voiture sport à quatre cylindres la plus puissante offerte par un constructeur américain.

L’équipe de la Mustang a travaillé avec celle de Ford Performance dans le but de transplanter le cœur de la défunte Focus RS sous le capot du légendaire muscle car (déjà 55 ans!) en prenant bien soin d’apporter des réglages spécifiques.

À l’aide notamment d’un bloc en alliage coulé, d’une culasse haute performance et d’un turbocompresseur légèrement plus gros, le moteur de 2,3 litres passe à 330 chevaux et à 350 livres-pied de couple (en utilisant de l’essence super), de quoi rivaliser directement avec le V6 de 335 chevaux de la Chevrolet Camaro. Il a été calibré pour fonctionner aussi bien avec la boîte manuelle Getrag à six rapports que la boîte automatique SelectShift à 10 rapports de Ford.

Résulat : la Ford Mustang EcoBoost 2020 avec ensemble haute performance de 2,3 litres accélère de 0 à 100 km/h en un temps approximatif de 4,5 secondes (la compagnie n’est pas plus précise pour l’instant) et sa vitesse de pointe a été augmentée à 250 km/h.

Plus que la puissance accrue par rapport au quatre-cylindres ordinaire, c’est la plage de couple élargie de 40% qui fait une différence, selon l’ingénieur en chef de la Mustang, Carl Widmann. En effet, avec ce nouvel ensemble, 90% du couple maximal est désormais accessible entre 2 500 et 5 300 tours/minute.

Plus excitante à conduire aussi…
L’ensemble haute performance de 2,3 litres qui s’ajoute à la Mustang EcoBoost comprend par ailleurs un système d’échappement actif à quatre embouts dont le son a été peaufiné spécialement pour ce modèle. La répartition du poids quasi parfaite de 53/47 s’accompagne de diverses améliorations au châssis et à l’aérodynamisme provenant de l’ensemble performance de la Mustang GT.

Par exemple, une barre de renfort de tourelles d’amortisseurs en alliage a été ajoutée à l’avant pour solidifier le châssis et améliorer la tenue de route, tandis que des freins à disques de 13,9 pouces avec étriers à quatre pistons à l’avant ont été empruntés à la Mustang GT pour offrir une meilleure puissance de freinage. De nouveaux réglages de performance ont été appliqués à la direction assistée, au freinage antiblocage, au contrôle de la stabilité ainsi qu’aux cinq modes de conduite que peut choisir le conducteur. L’ensemble comprend de plus des jantes spécifiques de 19 x 9 pouces et des pneus d’été 255/40R.

Pour ceux qui en veulent encore plus, un autre ensemble peut s’ajouter au premier. Celui-ci inclut des freins semi-métalliques, des amortisseurs MagneRide spécialement calibrés, un différentiel arrière Torsen à glissement limité (rapport de 3,55:1), une plus grosse barre stabilisatrice à l’arrière de même que des roues plus larges chaussées de pneus Pirelli P Zero Corsa4.

Esthétiquement, la Ford Mustang EcoBoost 2020 avec ensemble haute performance de 2,3 litres se démarque par son gros becquet avant au fini noir, ses conduits de refroidissement des freins dérivés de la Mustang GT avec ensemble performance, sa calandre noircie ornée d’un emblème Mustang décentré et son aileron arrière plus proéminent. N’oublions pas les bandes gris métallique sur le capot et les écussons spéciaux à différents endroits de la voiture.

À l’intérieur, on retrouve une instrumentation au fini aluminium comprenant des indicateurs de pression d’huile et de turbocompression ainsi qu’une plaque numérotée sur la planche de bord.

En terminant, mentionnons que la Ford Mustang 2020 proposera de série la technologie FordPass Connect, qui permet aux propriétaires de repérer la voiture, de verrouiller ou déverrouiller les portières et de consulter plusieurs informations essentielles, comme le niveau d’essence et les alertes d’entretien, à partir d’un téléphone intelligent.

Rappel de plus de 51 000 Mazda3 au Canada

Le constructeur japonais Mazda procède actuellement au rappel de plus de 51 000 véhicules de son modèle Mazda3 en raison d’un problème d’essuie-glaces qui pose des risques pour la sécurité.

Les voitures ciblées sont les modèles des années 2016, 2017 et 2018, et c’est un problème électrique pouvant entraîner l'arrêt des essuie-glaces qui est en cause, selon l’avis publié sur le site du ministère fédéral des Transports.

« Des essuie-glaces qui ne fonctionnent pas peuvent affecter la visibilité du conducteur dans certaines conditions », précise-t-on.

Le rappel concerne plus de 51 682 véhicules au pays.

« Mazda doit aviser les propriétaires par la poste d'apporter leur véhicule chez un concessionnaire pour faire remplacer le module de contrôle de la carrosserie avant par un module amélioré », explique-t-on dans l’avis du 4 avril dernier.

Déjà une hausse de prix pour la Tesla Model 3 de base

Petit avertissement si vous envisagiez de commander la plus abordable des Tesla : moins de deux mois après avoir annoncé un prix de base de 47 600 $ pour la nouvelle Model 3 « Standard Range », la compagnie la retire de son menu en ligne, si bien que pour vous en procurer une, il faudra téléphoner ou visiter un magasin Tesla.

Autrement, en vous rendant sur le site web de Tesla, la Model 3 la moins chère que vous pouvez configurer (Standard Range Plus) débute maintenant à 53 700 $.

Comment expliquer la différence de 6 100 $? C’est simple : tout comme aux États-Unis, la version d’entrée de gamme à 386 kilomètres d’autonomie est dorénavant offerte de série avec la technologie Autopilote, qui permet une conduite semi-autonome.

« Nous pensons que l’ajout de l’Autopilote est très important parce que nos données indiquent clairement que les chances d’accident sont beaucoup plus faibles lorsqu’il est activé. L’Autopilote améliore aussi radicalement la qualité de l’expérience de conduite, surtout dans la circulation dense », écrit Tesla pour justifier cette hausse.

L’option de « Capacité de conduite entièrement automatique », qui ajoute le changement de voie et le stationnement assistés, coûte pour sa part 6 600 $. Si vous ne la choisissez pas et que vous changez d’idée quelques semaines ou mois après l’achat, Tesla pourra l’installer sur votre Model 3, mais la facture sera de 9 200 $.

Notons que la grande berline Model S est également plus chère depuis que Tesla a abandonné la version de base 75D pour se concentrer sur les modèles 100D. Désormais, il faut débourser au minimum 114 800 $ pour s’en procurer une. Même chose pour le multisegment intermédiaire Model X, maintenant annoncé au prix de base de 120 900 $ sur le site canadien de Tesla.

Dans tous les cas, les acheteurs ne pourront pas profiter du nouveau rabais fédéral de 5 000 $ sur les véhicules électriques prévu dans le budget 2019, car Ottawa le limite aux modèles ayant un PDSF de 45 000 $ ou moins. Au Québec, par contre, l’aide du gouvernement est toujours de 8 000 $ pour les véhicules électriques de 75 000 $ ou moins. Ce plafond baissera toutefois à 60 000 $ à compter de 2020-2021.

Une Ford Mustang de 710 chevaux signée Roush Performance

Pour ceux qui ne peuvent attendre jusqu’à l’automne pour acheter leur exemplaire de la nouvelle Ford Mustang Shelby GT500 2020 – la version de série la plus puissante dans l’histoire du célèbre muscle car – le préparateur américain Roush Performance vient de présenter sa toute dernière interprétation d’une Mustang survitaminée.

Si la première nous promet une puissance de plus de 700 chevaux (le nombre précis n’a pas encore été annoncé), la Roush Performance Mustang Stage 3 2019 en génère pas moins de 710 grâce à l’ajout d’un compresseur Roush TVS R2650 au V8 de 5,0 litres de la Mustang GT. Le couple est accru à 610 livres-pied.

Nous ne savons pas exactement à quel point elle est rapide, car la compagnie n’a pas donné de détails sur sa performance, mais comme la cavalerie est similaire à celle de la nouvelle Shelby GT500, qui pourra atteindre 100 km/h en 3,5 secondes environ et boucler le quart de mille en moins de 11 secondes, nous pouvons imaginer des accélérations tout aussi explosives.

À propos, Roush ne fait aucune mention non plus d’une limite de vitesse, contrairement à la Shelby GT500 qui sera restreinte électroniquement à 290 km/h. Cliquez sur le lien afin de découvrir pourquoi.

Par ailleurs, une suspension avec amortisseurs réglables en trois positions peut être installée dans le but de maximiser les prouesses du bolide dans les virages.

Peinte en Rouge course, la Roush Performance Mustang Stage 3 2019 se démarque visuellement avec son becquet avant plus prononcé, sa calandre à grand débit, ses nouvelles prises d’air, son capot distinctif, ses jantes sport de 20 pouces au fini noir en option, ses jupes latérales conçues sur mesure, son aileron arrière unique et des éléments graphiques qui lui sont propres. Elle bénéficie en outre d’un système d’échappement actif à quatre réglages comprenant un mode personnalisé qui permet au conducteur d’ajuster à sa guise le son du V8 suralimenté.

Exigeant un supplément d’au moins 21 925 $US par rapport à la GT de base, la Roush Performance Ford Mustang Stage 3 sera exposée au Salon de l’auto de New York la semaine prochaine, alors suivez le Guide de l’auto pour voir d’autres images.

Lors de ce même événement, nous pourrons aussi admirer un camion Roush Ford F-150 qui possède une suspension Roush/Fox 2.0 relevée de deux pouces à l’avant, un échappement actif et quelques améliorations esthétiques.

Une Mazda3 plus puissante serait envisagée

Bien que Mazda ait récemment déclaré que les voitures sport au sein de sa gamme n’était pas une priorité, un des directeurs à la tête de la commercialisation de la nouvelle Mazda 3 aurait admis qu’une déclinaison haute performance ne serait pas impossible.

Parlerait-il de la prochaine Mazdaspeed3?

Tous les ingrédients sont là
Kota Beppu s’est entretenu avec le média britannique Autocar au sujet du projet, admettant qu’il aimerait voir un modèle Mazdaspeed revenir au sein de la gamme Mazda.

« Je suis moi-même un gars qui adore les bagnoles, et je veux conduire une Mazda3 performante! », a-t-il avoué lors de l’entrevue.

Après tout, tous les ingrédients sont en place pour concevoir une déclinaison survitaminée de la Mazda3 actuelle. Elle dispose non seulement d’une toute nouvelle plateforme, elle s’offre déjà avec le rouage intégral, et Mazda détient un bon moteur turbo au sein de sa gamme – le 2,5 litres développant 227 chevaux et un couple de 310 lb-pi dans les Mazda6 et CX-5.

De plus, le segment des sportives compactes n’a jamais été aussi complet avec des bolides comme les Honda Civic Si/Type R, Volkswagen Golf GTI/R, Hyundai Veloster N et Subaru WRX/STI. Une Mazdaspeed3 à prix raisonnable représenterait sans doute un bon succès commercial.

Beppu est même allé en détail, stipulant que sa sportive rivaliserait directement contre une Golf GTI, une « hot hatch » pratique, amusante à conduire et abordable. Surtout, il aimerait que sa petite bombe soit facile à endurer au quotidien.

Bien que le projet ne soit qu’une idée pour le moment, il est néanmoins important de noter que le centre de recherche et de développement de Mazda, situé à Los Angeles, dispose actuellement d’un prototype basé sur la plateforme de la Mazda3 actuelle. Celui-ci aurait été conçu pour exploiter les limites de la nouvelle structure. À suivre!

Une nouvelle plaque d’immatriculation pour les anciens combattants

Une nouvelle plaque d'immatriculation commémorative pour les anciens combattants a été dévoilée ce matin.

Cette initiative fait suite à une longue démarche entreprise par les vétérans afin de faire reconnaître leur contribution.

Les vétérans pourront être reconnus plus aisément, comme dans d'autres provinces canadiennes.

La nouvelle plaque est ornée d'un champ de coquelicots et de visages de soldats.

La Chevrolet Corvette 2020 à moteur central dévoilée le 18 juillet

Chevrolet vient de mettre fin à plusieurs mois (années, en fait) de spéculations et de photos espions en annonçant que la très attendue Chevrolet Corvette 2020 de huitième génération (C8) avec moteur central sera dévoilée cet été. Vous pouvez encercler le 18 juillet sur votre calendrier!

La nouvelle a été officialisée dans un courriel envoyé hier par Chevrolet aux amateurs et aux propriétaires. On peut y lire :

« Après 67 ans, préparez-vous à la prochaine évolution de la Corvette. […] La Corvette de nouvelle génération est la plus attendue de l’histoire. C’est la somme de toutes les générations qui l’ont précédée, mais elle se démarquera en devenant le nouveau standard de performance. »

Un prototype camouflé a été aperçu dans les rues de Manhattan avec la PDG de General Motors, Mary Barra, assise dans le siège du passager. Comme nous le savons maintenant, l’échéance était beaucoup trop serrée pour procéder à un dévoilement au Salon de l’auto de New York, qui s’ouvre la semaine prochaine. Les tests sur la voiture ne sont pas encore tout à fait terminés.

Vous pouvez relire notre article du mois dernier dans lequel nous avons fait le point sur la Chevrolet Corvette 2020 à moteur central. Entre autres, il semblerait que la production s’amorcera en décembre de cette année et que les premiers exemplaires seront livrés en février 2020.

L’endroit exact du dévoilement sera annoncé dans les prochaines semaines.

Par ailleurs, le tout dernier exemplaire de la Corvette C7, un modèle Z06, sera mis aux enchères en juin.

La nouvelle image de Mitsubishi arrive au Québec

L’été dernier, Mitsubishi a annoncé les détails de la nouvelle image visuelle globale adoptée par ses concessionnaires. Et le premier à arborer ce nouveau look en Amérique du Nord, c’est St-Hyacinthe Mitsubishi.

Pour attirer l’œil, cette nouvelle image mise principalement sur le noir, avec des accents rouges apportant une touche de dynamisme. Un panneau noir oblique, placé du côté gauche du bâtiment, porte le logo du constructeur et ses perforations laissent passer la luminosité à travers la façade grise et entièrement vitrée. Le soir, l’effet est frappant avec les bandes rouges illuminées.

Quant à la salle d’exposition, elle présente un style épuré où le blanc prédomine, entrecoupé d’accents noirs et un plafond également peint en noir. À l’instar des concessionnaires automobiles modernes, celui-ci propose désormais une aire branchée pour travailler ou relaxer pendant que l’on travaille sur notre véhicule. La baie de service est également vitrée, permettant aux clients de voir les techniciens en action.

Mitsubishi Motors du Canada affirme que les matériaux utilisés pour créer cette signature visuelle ainsi que l’ameublement proviennent de fournisseurs canadiens.

Dominic Fortin, propriétaire de St-Hyacinthe Mitsubishi, a admis avoir investi trois millions de dollars à la construction de l’établissement, qui a doublé en superficie. Pour y arriver tout en gardant la salle d’exposition ouverte durant les travaux étalés sur 10 mois, on a érigé la nouvelle structure par-dessus l’ancienne, pour ensuite démolir cette dernière par l’intérieur.

Autour de l’édifice de 11 000 pieds carrés se trouvent 10 bornes de recharge, parce que des Mitsubishi Outlander PHEV, il s’en vend beaucoup là-bas. En effet, selon le nouveau président et chef de la direction de Mitsubishi Motors du Canada, Juyu Jeon, la concession de St-Hyacinthe figure parmi les meilleurs au pays en ce qui concerne les ventes des modèles hybrides rechargeables.

Au moment d’écrire ces lignes, 64% des concessionnaires de la marque au Canada ont signé pour l’adoption de la nouvelle image, et au cours des prochains mois, Ajax Mitsubishi en Ontario, Steele Mitsubishi en Nouvelle-Écosse et Charlottetown Mitsubishi à l’Île-du-Prince-Édouard auront complété leurs travaux de modernisation.

Mitsubishi Motors du Canada a profité de la soirée d’ouverture à St-Hyacinthe pour confirmer sa contribution annuelle de 100 000 $ au Club des petits déjeuners du Canada, qui aide des milliers d’enfants à travers le pays à bien démarrer leur journée à l’école.

Tout ce qu’il manque, ce sont de nouveaux produits pour garnir la salle d’exposition. Le Mitsubishi RVR 2020 rafraîchi sera en vente cet automne, une nouvelle génération du Mitsubishi Outlander sera commercialisée pour le millésime 2021 et d’autres modèles hybrides rechargeables et 100% électriques seront lancés d’ici quelques années.

GMC Sierra 2020 : la caisse en carbone disponible cet été

General Motors a souvent essayé de minimiser les avantages de la structure en aluminium des nouveaux camions Ford de Série F. Toutefois, avec le lancement du GMC Sierra 2019 entièrement redessiné l’an dernier, le constructeur est passé en mode attaque et a promis d’offrir la première caisse en composite de carbone de l’industrie.

Nous apprenons aujourd’hui que le tout nouveau GMC Sierra Édition CarbonPro 2020 entrera en production au début de juin et commencera à arriver chez certains concessionnaires canadiens au courant de l’été. Les acheteurs des modèles Sierra Denali 1500 et Sierra AT4 1500 pourront en profiter, mais les prix n’ont pas encore été annoncés.

Ces camions offriront la meilleure résistance aux bosses, aux égratignures et à la corrosion de la catégorie, selon GM.

« CarbonPro est fait du même matériel que les supervoitures à plus d’un million de dollars et même les engins aérospatiaux, explique Duncan Aldred, vice-président mondial de GMC. Avec en prime le tout premier hayon MultiPro à six fonctions au monde, le Sierra 2020 possède deux puissants atouts pour le transport de charges, quelle que soit la situation. »

Afin de tester la résistance de la caisse, les ingénieurs ont laissé tomber des blocs de béton, des tas de gravier pesant 1 800 livres et des barils d’eau en acier pesant 450 livres à partir de différentes hauteurs. Ils ont même chargé une motoneige avec des crampons de métal sur la chenille et l’ont fait accélérer sur place avec un conducteur de 250 livres assis de dessus. La caisse n’a apparemment subi que de minimes égratignures.

En plus de résister aux impacts et aux intempéries, la caisse CarbonPro pèse 25% de moins qu’une caisse conventionnelle en acier et elle réduit le poids du véhicule d’environ 60 livres. Étant donné sa surface granulée, il n’est pas nécessaire d’installer une doublure, ce qui sauve encore du poids. Pas besoin de peinturer la caisse non plus, car le matériau en composite de carbone crée une surface au fini haut de gamme et résistant à la décoloration.

La capacité de charge est accrue d’au moins 59 livres (dépendamment du modèle) grâce au design de la caisse CarbonPro qui repousse les parois latérales vers l’extérieur, créant environ 28 litres d’espace additionnel. Ce n’est pas tout : on retrouve deux points d’ancrage supplémentaires à l’avant de la caisse et des encoches conçues spécifiquement pour des pneus de motos.

GM précise que la disponibilité de la caisse CarbonPro sera limitée au début, puis accrue plus tard au cours de l’année-modèle.

Parmi les autres caractéristiques optionnelles du GMC Sierra 2020, notons le système de remorquage ProGrade avec application de bord, le rétroviseur numérique relié à une caméra grand angle à l’arrière et l’affichage tête haute de 15 pouces à plusieurs couleurs.

Un Québécois poursuit Porsche après que sa 911 s’enflamme mystérieusement

Joël Bérubé se trouvait au volant de sa Porsche 911 Carrera 4S lorsque celle-ci s’est enflammée le 4 juillet 2017.

Le Journal de Montréal nous a appris que des mises en demeure avaient été envoyées à Porsche Cars Canada et au concessionnaire Centre Porsche Québec.

À cet effet, l’article 38 de la Loi sur la protection du consommateur prévoit qu’« un bien qui fait l’objet d’un contrat doit être tel qu’il puisse servir à un usage normal pendant une durée raisonnable, en égard à son prix, aux dispositions du contrat et aux conditions d’utilisation du bien. »

Il a acquis cette voiture en avril 2014 au coût de 152 794 $ (plus taxes) en guise de cadeau pour son 50e anniversaire.

Alors qu’il circulait sur la rue des Pins-Gris dans le quartier Saint-Émile à Québec, M. Bérubé a vu son rêve disparaître en fumée. Avant que des flammes commencent à s’échapper du capot arrière de la 911 Carrera 4S, le moteur s’est éteint et il a aperçu de la fumée noire. À ce moment, l’odomètre n’affichait que 20 000 kilomètres.

Le véhicule était une perte totale suite à cet évènement.

Le Journal précise que suite à un important problème de témoin de dysfonctionnement du moteur (le fameux « check engine »), le moteur a été remplacé par le concessionnaire.

L’assurance demande qu’on lui rembourse 175 000 $, soit le montant déboursé à l’achat.

De son côté, M. Bérubé exige qu’on lui verse 29 000 $ supplémentaires. Cette somme couvre notamment la différence entre le montant déboursé pour sa voiture et le prix d’une Porsche Carrera 4S en 2017, soit au moment de l’incident.

La Porsche 911 Speedster 2020 est attendue à New York

L’an dernier, Porsche a célébré son 70e anniversaire en présentant une sublime 911 Speedster Concept blanche et argent, puis en a remis au Mondial de l’automobile de Paris avec une version légèrement remaniée de couleur rouge qui ressemblait drôlement à un modèle de série.

À ce moment, le constructeur avait annoncé que la voiture entrerait bel et bien en production en 2019 en se basant sur la 911 de la génération 991. Des prototypes ont d’ailleurs été aperçus à l’essai sur le circuit du Nürburgring, en Allemagne.

Avec le Salon de l’auto de New York qui s’ouvre dans les prochains jours, tout indique que la Porsche 911 Speedster 2020 fera ses débuts officiels dans la Grosse Pomme. Et bonne nouvelle : elle devrait rester très fidèle au plus récent concept.

Un dévoilement est prévu lors d’un cocktail bénéfice le 18 avril, selon une invitation reçue par un client anonyme et dont une copie a été envoyée au site Carbuzz. La voiture sera sans doute aussi présentée aux journalistes la veille dans le cadre de la première journée des médias.

Comme l’actuelle 911 GT3, la nouvelle Porsche 911 Speedster 2020 exploitera un moteur atmosphérique à six cylindres à plat de 4,0 litres jumelé à une boîte manuelle à six rapports ou à une automatique à double embrayage comptant sept rapports. Elle développera au moins 500 chevaux et sera plus rapide en piste, comme son nom le suggère, grâce à diverses mesures visant à réduire son poids.

Seulement 1 948 exemplaires seront fabriqués – tous déjà réservés, malheureusement – en hommage à la Porsche 356 « numéro 1 » apparue en 1948.

Revenez-nous dans les prochains jours pour de plus amples détails et des images de la 911 Speedster.

Lexus RC F 2020 : la magie du V8 continue d’opérer

Sur le marché depuis 2015, la Lexus RC F commence petit à petit à se faire vieillissante.

Pour 2020, de légères améliorations lui sont apportées. De très légères améliorations, devrait-on dire. Seul un œil finement aiguisé pourra les déceler.

Respect de la tradition
Bien que Lexus ne fasse pas partie du paysage automobile depuis aussi longtemps que les manufacturiers allemands auxquels elle donne du fil à retordre depuis 1989, la RC F est un coupé sport bâti selon la tradition. Oublions la suralimentation ou la turbocompression.

Le constructeur a plutôt opté pour un V8 de 5,0 L à aspiration naturelle. Développant 472 chevaux et 395 livres-pied, il s’agit d’une hausse de cinq chevaux et de six livres-pied par rapport à l’année-modèle 2019. Ce serait de vous mentir que de vous dire que cette différence est perceptible à son volant.

Cela dit, cette puissance et ce couple sont amplement suffisants. Les accélérations pourraient difficilement être plus vives! Puisque ce moteur est atmosphérique, il jouit d’une sonorité entièrement débridée. En revanche, le son dégagé à l’extérieur ne reflète pas celui entendu dans l’habitacle. On aurait préféré que Lexus laisse son gros V8 vrombir un peu plus.

Malheureusement, on n’a pas poussé le respect de la tradition jusqu’à offrir une boîte manuelle. Il faut se contenter d’une automatique à huit rapports dont l’efficacité est déconcertante. Cette dernière est inchangée pour la nouvelle année.

Confortable et conviviale sur la route, la RC F s’est montrée également très compétente sur la piste. En mode Sport +, son moteur et sa boîte de vitesses répondent rapidement. Quant à la précision de la direction, on n’a aucun reproche à lui faire. Pour le très faible pourcentage d’acheteurs qui s’élanceront sur un circuit au volant de cette voiture, l’ajout de suspensions plus fermes nous paraît essentiel. Heureusement, Lexus affirme qu’elles ont été raffermies à l’arrière.

De maigres changements
Si les améliorations sont modestes du point de vue de la puissance et du couple, on est toutefois ravis que Lexus se soit penchée sur certains détails. Par exemple, on a travaillé sur la masse totale du véhicule une tubulure d’admission et un compresseur de climatiseur de format réduit, et l’aluminium a été utilisé dans l’architecture des suspensions.

Pour 2020, la RC F jouit de la fonction départ-canon qui permet d’atteindre 96 km/h (0-60 mi/h) en 4,1 secondes. Idéale pour épater la galerie, cette fonction demeure complètement inutile pour la majorité des acheteurs de ce coupé.

On note aussi que la RC F est chaussée de nouveaux pneus. En effet, il s’agit de pneus Michelin Pilot Sport 4S exclusifs à ce modèle. Il faudra s’attendre à une facture salée lorsque viendra le temps de les remplacer.

Une fiabilité à toute épreuve
Peut-être vous fait-elle moins rêver qu’une Audi RS 5, une BMW M4 ou une Mercedes-AMG C 63 S en raison de son image qu’elle continue de bâtir. Or, la RC F jouit d’une fiabilité hors pair. Quand on débourse plus de 80 000 $ ou que l’on se lance dans une location dont les paiements mensuels s’élèvent à plus de 1 400 $, on est en droit d’avoir une voiture fiable. C’est la moindre des choses. Et c’est ce qu’offre Lexus.

Dans le plus récent palmarès des 10 marques les plus fiables de J.D. Power, Lexus monte sur la plus haute marche du podium. BMW et Audi se classent respectivement aux septième et huitième rangs.

Elle vous coûtera cher à la pompe
La RC F est propulsée par un volumineux V8. Celui-ci ne peut faire autrement que de consommer. Ressources naturelles Canada affirme qu’il consomme 15,2 L/100 km en ville, 9,5 L/100 km sur la route et 12,6 L/100 km en conduite combinée.

Un système d’infodivertissement infernal
Chez Lexus, on a joué les fins stratèges. Plutôt que de nous faire enfiler des centaines de kilomètres sur la route, on nous a conviés sur le circuit de Willow Springs sur lequel a été majoritairement réalisé notre essai. De cette manière, nous n’avions pas à utiliser le système d’infodivertissement qui nécessite carrément un diplôme en informatique pour réussir quelconque manipulation... Désagréable, mal conçu et contre-intuitif, il n’a rien pour lui!

Et si tout ça ne suffit pas…
En plus de rafraîchir modestement sa RC F pour le prochain millésime, Lexus a conçu une version encore plus radicale de son coupé. Baptisée Track Edition, elle sera on ne peut plus exclusive. En effet, il est prévu qu’à peine une dizaine d’exemplaires soient vendus au Canada.

On la reconnaît entre autres par son aileron fixe en fibre de carbone (comparativement à l’aileron actif sur la RC F ordinaire), ses jantes BBS en alliage forgé de 19 pouces et ses freins Brembo en carbone et céramique. On a aussi fait appel à la fibre de carbone dans la conception du toit, du capot et des sièges.

Dans l’atteinte des 96 km/h depuis l’arrêt, la version Track Edition retranche un dixième de seconde à la RC F.

Tout a un prix. Et celui de cette version plus radicale de ce coupé s’élève à 119 500 $.

Mise à l’essai sur piste, cette version s’est avérée plus débridée que la version conventionnelle. Autrement dit, les systèmes d’aide à la conduite étaient moins intrusifs dans la conduite. Ainsi, l’arrière-train avait tendance à décrocher plus rapidement. Pour avoir l’air d’un bon pilote à son volant, il faudra travailler un peu plus fort…

Le « bébé Bronco » aura la robustesse qui manque à l’Escape 2020

L’année-modèle 2020 en est une très chargée pour Ford et ses VUS. D’abord, nous avons vu l’Explorer 2020 au Salon de l’auto de Detroit en début d’année, puis le lancement du tout nouvel Escape 2020 lors d’un événement spécial à Greenfield Village à la fin mars.

C’est sans oublier bien sûr le retour prochain du légendaire Ford Bronco… avec un toit et des portières amovibles comme le Jeep Wrangler.

Concernant l’Escape de nouvelle génération, plusieurs personnes ont exprimé leur déception par rapport à son design extérieur, affirmant qu’il n’a plus l’air d’un authentique VUS Ford et qu’il ressemble un peu trop aux nombreux autres utilitaires et multisegments de la catégorie. De plus, il est clair qu’il a été conçu pour une vocation urbaine, avec un sens limité de l’aventure – vous savez, le genre qui nous amène à aller plus loin que les simples chemins de gravier.

Heureusement, c’est ici qu’entrera en scène le « bébé Bronco ». Nous vous avons déjà mentionné que Ford préparait simultanément une version plus petite du Bronco, un véhicule au gabarit similaire à celui de l’Escape offrant un look beaucoup plus robuste et des capacités hors-route supérieures.

Lors du dévoilement de l’Escape 2020 au Michigan, le vice-président exécutif du développement de produits chez Ford, Hau Thai-Tang, a déclaré que le futur VUS, qui ne porte pas encore de nom, se distinguera grandement de l’Escape. Il a évoqué une garde au sol plus généreuse, une hauteur de conduite surélevée, des voies élargies et une silhouette plus carrée intégrant un pare-brise et un hayon plus à la verticale.

Sur le plan technique, cependant, les deux véhicules seront basés sur la même plateforme et sans doute produits à la même usine de Louisville, au Kentucky. Aucun indice sur le groupe motopropulseur du modèle hors route, par contre.

Renfermant de série un nouveau moteur turbocompressé à trois cylindres de 1,5 litre, le nouvel Escape 2020 arrivera sur le marché à l’automne 2019 et Thai-Tang a confirmé que le bébé Bronco suivra six mois plus tard, ce qui signifie au printemps 2020.

Arrêté pour cellulaire au volant malgré sa batterie à plat

Un automobiliste a été reconnu coupable d’avoir utilisé son cellulaire au volant, même si celui-ci n’avait plus de batterie.

Le 12 octobre dernier, Patrick Grzelak a été arrêté à bord de sa Mercedes alors qu’il rentrait chez lui après le travail, dans la municipalité de Surrey.

Selon ce que rapporte le Vancouver Sun, l’homme avait son iPhone, éteint, posé dans un compartiment du tableau de bord et ses écouteurs dans les oreilles.

Même si son cellulaire n’avait plus de batterie et qu’aucun son n’en sortait, un juge a estimé, dans sa décision rendue lundi, que le conducteur avait enfreint la loi sur l’utilisation du téléphone au volant.

Le simple fait d’avoir mis l’appareil dans une position dans laquelle il pouvait être utilisé et avec les deux écouteurs dans les oreilles constitue une infraction, a expliqué le juge. Le fait que le téléphone n’avait plus de batterie ne le rendait que « temporairement inopérant », a-t-il ajouté.

En Colombie-Britannique, la sanction pour utiliser un téléphone ou tout autre appareil électronique au volant est de 368 $ et quatre points d’inaptitude.

Voici 30 bonnes raisons de passer à la voiture électrique au Québec

La voiture électrique est sur toutes les lèvres par les temps qui courent.

Pour ceux et celles qui se demandent si le passage à un modèle électrique en vaut la peine, voici 30 raisons qui pourraient contribuer à votre réflexion.

Votre portefeuille individuel

  • Votre facture de « carburant » diminuera de 60% à 90%.
  • Vos coûts d’entretien (huile, filtres, etc) seront de 30% à 50% plus bas.
  • Vos freins dureront de 5 à 10 fois plus longtemps.
  • Vous pourrez traverser les ponts de l’A25 et de l'A30 gratuitement.
  • Vous pourrez utiliser les traversiers publics québécois gratuitement.
  • Vos coûts d’assurance auto baisseront grâce à des rabais pour véhicules électriques.
  • Vous aurez accès à un nombre de plus en plus important de commerces (restaurants, hôtels, etc) qui offrent la recharge gratuite.
  • Vous aurez accès à des rabais gouvernementaux allant jusqu’à :

- 4 000 $ pour une voiture électrique d’occasion (gouvernement du Québec)

- 8 000 $ pour une voiture hybride rechargeable ou électrique neuve (gouvernement du Québec)

- 5 000 $ pour une voiture électrique neuve… bientôt (gouvernement du Canada)

Résultat : Le coût total de propriété d’une voiture électrique est donc généralement moins cher que celui d’une voiture à essence de même catégorie.

Notre portefeuille collectif

  • Nous nous enrichirons collectivement en utilisant notre électricité d’Hydro-Québec plutôt que d’enrichir des pétrolières étrangères.
  • Nous contribuerons à créer des milliers de nouveaux emplois de qualité chez une multitude d’entreprises québécoises spécialisées dans le secteur.
  • Nous diminuerons les coûts de nos soins de santé.

Votre environnement et votre santé

  • Vous émettrez beaucoup moins de polluants atmosphériques (sur son cycle de vie complet) qu’en voiture à essence.
  • Vous émettrez beaucoup moins de GES (sur son cycle de vie complet) qu’en voiture à essence.
  • Vous contribuerez collectivement à l’amélioration de la santé cardiaque, pulmonaire et la diminution des cancers des Québécois.
  • Vous conduirez une voiture dont le « carburant » ne pue pas.
  • Vous conduirez une voiture dont le « carburant » ne risque pas de se déverser, de souiller le sol et l’eau, de prendre feu ou d’exploser comme peut le faire l’essence.
  • Vous pourrez préchauffer et dégivrer votre voiture électrique en hiver sans polluer.
  • Vous diminuerez la pollution sonore en conduisant une voiture silencieuse, moins stressante pour les passagers et la communauté environnante.
  • Vous conduirez une voiture dont la source d’énergie est à 99% renouvelable.
  • Vous conduirez une voiture dont les batteries sont réutilisables et jusqu’à 95% recyclables.

Votre quotidien et votre agrément de conduite

  • Vous aurez accès à des voies réservées sur les routes du Québec.
  • Vous ne subirez plus les contrecoups désagréables associés aux changements de vitesse des voitures à essence.
  • Vous aurez accès à de plus en plus de voitures électriques dont l’autonomie dépasse maintenant les 200, 300, 400 et même 500 kilomètres, dépendemment de vos besoins.
  • Vous aurez accès à de plus en plus de véhicules hybrides rechargeables qui vous permettront de rouler en mode 100% électrique de 50% à 90% du temps.
  • Votre principale « station-service »… sera votre propre résidence (90% des recharges sont effectuées à la maison ou au travail).
  • Votre voiture électrique démarrera beaucoup plus facilement en hiver.
  • Vous aurez accès à un réseau de plus en plus imposant de bornes de recharges sur les routes du Québec (dont le principal réseau nous appartient collectivement) ainsi qu’ailleurs en Amérique du Nord.
  • Les voitures électriques sont statistiquement plus fiables que les voitures à essence.
  • La tenue de route d’une voiture électrique est supérieure à celle d’une voiture équivalente à essence.
  • Les voitures électriques ont une accélération plus vive.

… et 7 bonnes raisons de ne pas passer à la voiture électrique au Québec
La voiture électrique n’est effectivement pas la solution pour tous. Voici donc de bonnes raisons qui justifient le fait de ne pas passer à la voiture électrique.

  • Vous n’avez pas besoin d’une voiture.
  • Vous n’avez pas accès à une borne de recharge près de la maison ou au travail.
  • Vous n’utilisez que peu votre voiture actuelle et n’avez pas besoin de la changer.
  • Vous avez accès à un réseau de transport collectif fiable.
  • Vous avez accès à de l’autopartage et/ou du covoiturage.
  • Vous faites du transport actif : vélo, marche, etc.
  • Vous avez besoin d’un véhicule de travail qui doit remorquer de très lourdes charges, ce que ne peut pas faire un véhicule électrique… pour le moment.

Que nous réserve la Subaru Outback 2020 à New York?

Parmi les nombreuses premières à surveiller au Salon de l’auto de New York 2019, qui s’ouvre la semaine prochaine, on retrouve la toute nouvelle Subaru Outback 2020, prête à écrire le sixième chapitre de son histoire.

Rappelons que la génération actuelle de l’emblématique familiale japonaise avait été lancée pour l’année-modèle 2015.

Si la compagnie a publié mercredi une première image partielle montrant les flancs et les roues, elle n’a pas fourni la moindre information concernant le véhicule. Bien sûr, il est d’ores et déjà acquis que la nouvelle Outback bénéficiera de l’architecture Subaru Global Platform comme tous les autres modèles de nouvelle génération au sein de la gamme, dont la berline Legacy 2020 dévoilée en février, ce qui fait que les conducteurs peuvent s’attendre à un châssis plus solide ainsi qu’à un roulement à la fois plus doux et silencieux.

Sous le capot, la Subaru Outback 2020 renfermera un moteur à quatre cylindres de 2,5 litres développant 182 chevaux et un couple de 176 livres-pied. L’injection directe de carburant et la technologie d’arrêt/redémarrage automatique feront équipe avec la boîte automatique à variation continue pour améliorer son rendement énergétique.

Il est quasi certain également que le moteur à six cylindres de 3,6 litres en option sera remplacé par un nouveau moteur turbocompressé de 2,4 litres – partagé non seulement avec la Legacy, mais aussi avec le multisegment Subaru Ascent 2019 – qui livre une puissance de 260 chevaux et un couple de 277 livres-pied.

À l’intérieur, attendez-vous à retrouver dans les versions supérieures un nouvel écran tactile de 11,6 pouces disposé à la verticale sur la planche de bord. L’écran pourra être divisé en deux parties pour afficher simultanément la carte de navigation et les informations audio, par exemple. Un point d’accès sans fil devrait aussi figurer au menu.

Ne manquez pas notre couverture du Salon de l’auto de New York à compter du 17 avril pour obtenir tous les principaux détails et des images de la Subaru Outback 2020.