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Voici le Subaru Outback 2020

Après le dévoilement de la Subaru Legacy 2020 plus tôt cette année, il n’était qu’une question de temps avant que la prochaine génération de l’Outback se pointe le bout du nez. Le voici enfin, en grande primeur mondiale au Salon de New York, prêt à satisfaire les amateurs de plein air.

Le turbo est de retour
Bien que l’Outback soit qualifié de VUS, il partage beaucoup de ses composantes mécaniques avec la Legacy. Or, sans surprise, les motorisations seront les mêmes.

Deux moteurs sont au menu, soit le bon vieux 2,5 litres de type Boxer. Subaru déclare toutefois qu’il est composé à 90% de composantes nouvelles tout en étant équipé de l’injection directe. Sa puissance grimpe donc légèrement à 182 chevaux, au lieu de 175. Le couple monte aussi quelque peu, de 174 à 176 lb-pi.

La grande nouvelle, c’est le retour d’un moteur turbo au sein de la gamme. Comme sa sœur, l’Outback perd son six cylindres en faveur d’un 2,4 litres turbo d’une puissance de 260 chevaux et d’un couple de 277 lb-pi. Toutes les déclinaisons viennent uniquement avec une boîte automatique à variation continue (CVT). Fidèle à la marque, la transmission intégrale s’offre de série.

Hélas, l’Outback ne propose toujours pas de déclinaison électrifiée.

Comme l’Ascent, l’Impreza et la Legacy, ce nouveau Outback repose sur la toute dernière architecture du constructeur, celle qu’on nomme la Subaru Global Platform, ou SGP. On promet donc un véhicule nettement plus solide grâce à l’incorporation d’acier renforcé. Subaru déclare que l’Outback 2020 est 70% plus rigide que son prédécesseur, le rendant à la fois plus sécuritaire et dynamique à conduire.

Polyvalence et aventure
Les propriétaires d’Outback apprécient leur véhicule surtout pour sa polyvalence et ses capacités hors route étonnement compétentes, et Subaru promet avoir également amélioré sa grosse familiale à cet effet. Bien qu’aucun chiffre officiel n’ait encore été dévoilé, le constructeur stipule que la nouvelle structure permet non seulement au véhicule d’être allongé, mais aussi élargit, surtout vers sa partie arrière, afin qu’il puisse accommoder de plus gros objets.

Subaru déclare une capacité de remorquage de 3 500 lb (1 588 kg) pour son nouvel utilitaire, mais seulement lorsqu’il est alimenté par le moteur turbo.

L’Outback hérite également des technologies hors route du Forester, comme le système X-Mode permettant d’altérer l’opération du moteur, la boîte de vitesses, les freins et la transmission intégrale afin que le véhicule puisse mieux affronter les terrains battus. L’Outback reçoit donc, comme le Forester, la vectorisation du couple, une technologie ayant été développée dans les sportives WRX et WRX STI.

Beaucoup de technologie
À l’instar de la Legacy, l’Outback aura, lui aussi, la toute dernière génération du système multimédia STARLINK. Elle est présentée sous un énorme écran tactile de 11,6 pouces positionné à la verticale.

Ce système offrira, en option, la possibilité de connecter le véhicule à un réseau 4G LTE (sous abonnement) afin qu’il puisse communiquer avec les services d’urgence, mettre à jour les données de navigation ou même de permettre à son propriétaire de contrôler certaines fonctionnalités à distance avec un téléphone intelligent. De plus, toutes les déclinaisons viendront de série avec la suite de technologies d’aide à la conduite EyeSight.

Le Subaru Outback 2020 arrivera chez les concessionnaires du pays dès cet automne. Les prix de vente et les spécifications complètes seront dévoilés quelques semaines avant sa sortie officielle.

La Audi TT RS 2019 débarque à New York

Audi présente la variante la plus performante de sa sportive atypique TT, la RS, en première nord-américaine au Salon de l’Auto de New York. Le constructeur allemand en profite également pour souligner le cinquantième anniversaire de sa présence sur le marché nord-américain.

Pour 2019, la TT a fait l’objet d’un restylage et la variante RS adopte elle aussi le nouveau look avec une calandre « Singleframe » en noir mat qui affiche un look tri-dimensionnel et des ouvertures latérales qui sont plus grandes à l’avant.

L’aileron arrière fixe est toujours au programme, mais Audi innove en proposant de nouvelles couleurs très frappantes pour la TT RS, soit Turbo B lue, Tango Red Metallic et Kyalami Green, ainsi que de nouvelles jantes dont celles de 20 pouces proposées en option avec l’ensemble Dynamic qui comprend également des étriers de freins peints en rouge et un échappement sport avec embouts noirs. Mais ce qui rend la TT RS unique dans le paysage automobile actuel, c’est la présence sous son capot du seul moteur à cinq cylindres qui existe encore, et qui est partagé avec la Audi RS3.

Une sonorité atypique
C’est la sonorité particulière de ce moteur qui fait que l’on devient accro… Le son rauque, presque staccato, du moteur à pleine charge est une drogue dure, rien de moins.

Cette sonorité évocatrice du moteur 5 cylindres en ligne s’explique par l’ordre d’allumage dont la séquence est 1-2-4-5-3 ce qui signifie que l’explosion se produit en alternance entre des cylindres adjacents l’un à l’autre et d’autres qui sont éloignés l’un de l’autre. Cette séquence particulière dicte un tempo singulier à ce moteur de 2,5 litres et c’est ce qui lui donne cette signature vocale aussi typée.

Grâce à son rouage intégral et à son système de départ-canon, la TT RS est capable d’abattre le 0-100 kilomètres/heure en 3,7 secondes avec une poussée très soutenue chiffrée à 1,2 G. On est en plein dans le giron des exotiques de haut calibre, ici…

Le Mercedes-Benz GLS 2020 dévoilé à New York

Le VUS pleine grandeur du constructeur allemand subit une refonte totale afin de se préparer à confronter le BMW X7 récemment introduit, sans oublier le Range Rover, le Cadillac Escalade et le Lincoln Navigator, entre autres.

La troisième génération du Mercedes-Benz GLS – ou deuxième, puisque la première génération lancée en 2006 s’appelait la Classe GL – est dévoilée aujourd’hui au Salon de l’auto New York, et il est plus gros et plus luxueux que jamais. Logique, puisque la compagnie la qualifie d’équivalent VUS à la berline, au coupé et au cabriolet de Classe S.

Grâce à un empattement allongé de 60 millimètres, les occupants à la deuxième rangée bénéficieront d’un meilleur dégagement pour les jambes, et pour la première fois, leur banquette peut être remplacée par deux sièges capitaine pour une capacité de six passagers au lieu de sept. Ces sièges individuels comprennent des appuie-bras et disposent de réglages à commande électrique.

Les deuxième et troisième rangées peuvent être rabattues par assistance électrique, au toucher d’un bouton, une fonctionnalité que l’on peut également retrouver dans le Land Rover Discovery, par exemple. On retrouve aussi un ensemble de luxe pour les places arrière qui ajoute un système de climatisation à cinq zones – oui, cinq – ainsi qu’une tablette numérique de sept pouces logée sur la console centrale pour régler diverses fonctionnalités à l’intérieur du véhicule. Un système de divertissement MBUX avec deux écrans tactiles de 11,6 pouces est également disponible.

En parlant de MBUX, ce système figure désormais de série à l’avant, comme c’est le cas dans tous les nouveaux produits Mercedes-Benz. Il comprend un écran tactile de 12,3 pouces ainsi qu’une reconnaissance vocale et gestuelle. Le conducteur dispose aussi d’une instrumentation numérique sur un écran de 12,3 pouces, alors qu’un affichage tête haute en couleur est optionnel.

De plus, le Mercedes-Benz GLS 2020 comprend une fonctionnalité de lave-auto. En appuyant sur un bouton, les rétroviseurs se rabattent, les fenêtres et le toit ouvrant se referment, le capteur de pluie des essuie-glaces se désactive, le système de climatisation passe en mode recirculation et la suspension élève le VUS au maximum afin de bien rincer la saleté après un parcours hors route. Après avoir quitté le lave-auto, tous ces réglages retournent à la normale une fois que le véhicule atteint 20 km/h.

Le GLS est disponible avec le système E-ACTIVE BODY CONTROL, une suspension pouvant lire la chaussée devant et contrôler individuellement chaque ressort et chaque amortisseur afin de procurer le meilleur confort de roulement possible. Un boîtier de transport est offert en option pour améliorer l’expérience hors route. Et à l’instar du nouveau Mercedes-Benz GLE 2020, un mode « chaise berçante » aide à déloger le véhicule pris dans un trou boueux en élevant et abaissant la suspension à répétition ainsi qu’en variant la pression des pneus pour rehausser l’adhérence.

Deux variantes du GLS redessiné sont disponible dès son lancement. Le GLS 450 4MATIC est équipé d’un six cylindres turbo de 3,0 litres qui développe 362 chevaux et un couple de 369 livres-pied, alors que le système hybride léger EQ Boost ajoute temporairement 21 chevaux et 184 livres-pied tout en intégrant un démarreur-générateur.

Une nouvelle motorisation est introduite dans le GLS, qui trouvera probablement son chemin dans d’autres produits dans un futur proche. Le GLS 580 4MATIC obtient un moteur V8 produisant 483 chevaux et un couple de 516 livres-pied, assisté brièvement des 21 chevaux et 184 livres-pied du système EQ Boost. Les deux moteurs sont jumelés à une boîte automatique à neuf rapports.

Le nouveau Mercedes-Benz GLS 2020 arrivera au Canada à l’automne de 2019. Les prix seront annoncés à une date ultérieure.

Le Jaguar I-PACE est la voiture mondiale de l’année

Au cours de la remise des prix du « World Car of the Year » au Salon de l’Auto de New York, le Jaguar I-PACE à motorisation électrique s’est distingué avec un triplé en remportant la palme dans la catégorie reine de la voiture mondiale de l’année, toutes catégories, devançant le Audi e-tron quattro et la Volvo S60, en plus de se mériter la première place dans les catégories Design de l’année et Voiture verte de l’année.

Ian Callum, chef du design de la marque anglaise, est donc monté sur scène à trois reprises pour recevoir ces trois trophées et pour adresser ses remerciements au jury en précisant qu’il s’agissait d’un moment digne des Oscars pour lui et son équipe.

Premier véritable concurrent de Tesla à faire son entrée sur le marché, le Jaguar I-PACE est devenu un précurseur de l’assaut qui est actuellement mené par les constructeurs automobiles à l’échelle mondiale vers la commercialisation de véhicules électriques.

Dans les autres catégories, la McLaren 720S a remporté la première place pour les voitures de performance, alors que la Audi A7 s’est mérité les honneurs pour ce qui est des voitures de luxe, et le Suzuki Jimny a été consacré dans la catégorie des voitures urbaines.

Depuis les 15 dernières années, le jury des « World Car of The Year Awards » est composé de journalistes automobiles provenant de plusieurs pays dont le Canada.

Les autres membres du jury représentent l’Afrique du Sud, l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, le Brésil, la Chine, la Corée du Sud, les Émirats Arabes Unis, l’Espagne, les États-Unis, la Finlande, la France, la Grande-Bretagne, la Grèce, l’Inde, l’Irlande, l’Italie, le Japon, la Jordanie, le Mexique, la Pologne, le Portugal, la Russie et la Slovénie.

Toyota présente la Yaris hatchback 2020 au Salon de New York

Après avoir laissé filtrer quelques informations récemment, Toyota a dévoilé officiellement la Yaris hatchback 2020 dans le cadre du Salon de l’auto de New York. Alors que plusieurs joueurs se sont simplement retirés du segment des sous-compactes en raison du désintérêt massif des acheteurs, Toyota a décidé de poursuivre l’aventure, mais en s’associant davantage à Mazda afin de réduire au maximum ses investissements dans le segment.

À l’instar de l’actuelle Yaris berline, La nouvelle Toyota Yaris hatchback est donc assemblée sur les bases de la Mazda2, modèle non offert au Canada, mais que Mazda continue de commercialiser dans d’autres marchés. Pas étonnant que l’on remarque autant de similitudes, surtout dans le cas de l’habitacle qui n’a rien à voir avec ce que Toyota nous a habitué. La bonne nouvelle, c’est que ses dimensions accrues permettent d’obtenir un peu plus d’espace à bord et l’espace de chargement est étonnant volumineux avec un plancher très bas.

La Yaris à hayon 2020 sera proposée en versions LE et XLE, et uniquement en configuration à cinq portes, alors que l’ancienne Yaris hatchback était quant à elle également offerte en modèle 3 portes. Elle adopte des lignes assez sportives, bien mises en évidence par ses jantes de 16 pouces offertes de série.

Sous le capot, la voiture hérite d’un moteur quatre cylindres de 1,5 litre à injection directe qui développe 106 chevaux. Un mode Sport permet de dynamiser le caractère de la voiture tout en favorisant des changements plus rapides de la part de la boîte automatique à six rapports. La bonne nouvelle, c’est la disponibilité d’une boîte manuelle dans la version de base, une exclusivité à laquelle nos voisins du sud n’ont pas droit.

La Toyota Yaris, qui est assemblée au Mexique, sera offerte dès l’été 2019. Les prix seront dévoilés ultérieurement.

Un nouveau concept électrique voit le jour chez Volkswagen

Le concept Volkswagen ID. ROOMZZ, qu’on nous avait annoncé il y a deux semaines avec quelques croquis, a été présenté officiellement hier au Salon de l’auto de Shanghai 2019. Il présage un futur VUS électrique de grand format que le constructeur allemand entend commercialiser en Chine dès 2021, puis peu de temps après dans d’autres marchés dont l’Amérique du Nord.

Mesurant cinq mètres de long, l’ID. ROOMZZ est le plus grand véhicule de la famille ID. Son design reprend essentiellement les mêmes thèmes que les cinq concepts précédents et s’apparente de très près à l’ID. CROZZ, un VUS plus compact. Encore une fois, la plateforme électrique modulable MEB de Volkswagen est employée.

Avec sa batterie de 82 kWh, le Volkswagen ID. ROOMZZ offre une autonomie de 450 kilomètres selon le protocole d’essai mondial WLTP. sur notre continent, ce chiffre risquerait d’être abaissé à 400 kilomètres environ). Il peut se recharger à 80% de sa capacité en une trentaine de minutes via une borne de recharge rapide utilisant du courant de 150 kW.

Pour ce qui est de la puissance, deux moteurs électriques peuvent entraîner les essieux avant et arrière en même temps, créant ainsi une version électrique du rouage intégral 4MOTION de Volkswagen. Ils génèrent ensemble 302 chevaux et permettent d’accélérer de 0 à 100 km/h en 6,6 secondes. La vitesse maximale est limitée électroniquement à 180 km/h.

Un autre point important à mentionner concernant la conduite : des systèmes IQ.DRIVE permettent au véhicule de fonctionner de manière autonome sans intervention active du conducteur en mode ID. Pilote, ce qui correspond à une autonomie de niveau 4. Les occupants ont accès à des informations par le biais de zones éclairées interactives.

Au-delà de ses portières dont l’ouverture est tout à fait unique, le Volkswagen ID. ROOMZZ mise sur l’espace et la flexibilité. Diverses configurations de sièges sont possibles pour tenir compte des préférences des passagers et du mode de conduite en fonction.

Par exemple, en mode entièrement automatique, les sièges peuvent tous pivoter de 25 degrés vers l’intérieur afin de créer une ambiance plus propice à la communication. En mode ID. Pilote Relaxation, on peut également les incliner à notre guise. Et petit détail intéressant : les sièges sont garnis d’un matériau renouvelable, appelé AppleSkin, fait à 50% de résidus de pommes!

Nissan lance une GT-R encore plus démentielle

Pour souligner les 50 ans de ses voitures sport, Nissan a développé des éditions spéciales de sa GT-R et de sa 370Z pour 2020.

Pour l’occasion, la GT-R sera habillée d’une peinture deux tons dominée par la couleur bleue « Wangan » qu’on pouvait autrefois retrouver sur les modèles de la génération R34. Une bande blanche qui va du capot jusqu’au coffre vient compléter le portrait.

Cette GT-R commémorative pourra aussi être livrée en blanc avec une bande rouge ainsi qu’en argent avec bande blanche.

À l’intérieur, un gris spécial a été développé pour l’occasion. On retrouve aégalement un volant et un levier de vitesses unique.

Plus de puissance
Véritable icône de performances depuis maintenant un demi-siècle, la GT-R voit également sa motorisation recevoir une légère mise à jour pour 2020.

Dans la version Track Edition, le moteur V6 biturbo de 3,8 litres fabriqué à la main reçoit de nouveaux turbocompresseurs. Il voit sa puissance passer à 600 chevaux et son couple à 481 livres-pied. Nissan assure aussi avoir amélioré de 20% le temps de réponse de l’accélérateur.

La GT-R Track Edition 2020 sera aussi livrée de série avec un toit en fibre de carbone allégeant le poids total de véhicule et abaissant substantiellement son centre de gravité.

La GT-R 2020 sera également livrable en version Premium, laquelle continuera de produire une puissance de 565 chevaux et un couple de 467 livres-pied. Une boîte à six rapports avec double embrayage demeure également au programme, peu importe la version.

La 370Z aussi
En plus de la GT-R, Nissan profite également de l’ouverture du Salon de l’auto de New York pour présenter une édition « 50e anniversaire » de la 370Z.

Soulignant les 50 ans de la Z en Amérique du Nord, cette édition spéciale reprend les couleurs de la BRE 240Z de 1970 avec une carrosserie blanche ornée d’accents de rouge ou bien argentée avec accents de noir.

Construite à partir de la variante Sport de la Nissan 370Z, cette édition spéciale est également chaussée de roues de 19 pouces et d’un écusson commémoratif pour souligner les 50 ans des voitures sport en Amérique du Nord chez Datsun/Nissan.

Si le modèle vous intéresse, il faudra toutefois faire vite puisque seulement 50 unités seront commercialisées au Canada.

Outre la version Sport, la Nissan 370Z sera offerte en quatre versions pour 2020 : base, Sport, Sport Touring et NISMO. Sous le capot, toutes les variantes demeurent équipées d’un bloc à six cylindres de 3,7 litres développant 332 chevaux et 270 livres-pied, ou 350 chevaux dans le cas de la NISMO.

Tant pour la GT-R que pour la 370Z, les prix n’ont pas encore été annoncés par Nissan pour les modèles 2020.

Le Mercedes-AMG GLC 63 S 4MATIC+ 2020 présenté au Salon de l’auto de New York

L’AMG GLC 63 S 4MATIC+ a été introduit pour le millésime 2018, et il obtient déjà une mise a jour pour 2020.

Présenté au Salon de l’auto de New York aux côtés du Mercedes-Benz GLS redessiné ainsi que de la nouvelle Mercedes-AMG CLA 35, le GLC 63 conserve la même motorisation qui l’a aidé à signer un record de tour sur la portion Nordschleife du célèbre circuit Nürburgring en Allemagne. Elle consiste d’un V8 biturbo de 4,0 litres développant 503 chevaux et un couple de 516 livres-pied, une boîte automatique à neuf rapports et un rouage intégral 4MATIC+.

Le GLC 63 – toujours disponible en carrosseries VUS et Coupé – arbore des blocs optiques et des feux arrière redessinés avec un éclairage à DEL plus détaillé, en plus de nouvelles jantes de 21 pouces en option et une nouvelle couleur extérieure, mais le reste du design extérieur est inchangé.

Le gros changement se situe plutôt dans l’habitacle, où l’ancien système multimédia COMAND peu convivial est remplacé par le nouvel interface MBUX, qui propose également une puissante reconnaissance vocale et gestuelle ainsi qu’un écran tactile de 10,25 pouces. Le conducteur obtient aussi un nouveau volant et une instrumentation entièrement numérique sur un affichage de 12,3 pouces. MBUX comprend également la fonctionnalité AMG TRACK PACE qui enregistre des données de performance sur un circuit fermé.

Une autre nouveauté, c’est le système AMG DYNAMICS avec quatre modes (Base, Advanced, Pro et Master) travaillant de concert avec le système de conduite AMG DYNAMIC SELECT (avec réglages Slippery, Comfort, Sport, Sport Plus, Race et Individual) et le programme de stabilité électronique afin de rehausser le comportement routier du véhicule.

Le Mercedes-AMG GLC 63 S 4MATIC+ 2020 devrait être en vente cet automne. Les prix n’ont pas encore été annoncés, mais l’édition 2019 du VUS GLC 63 se détaillait à partir de 90 500 $ avant les frais de transport et de préparation, alors que le Coupé GLC 63 était disponible à partir de 92 300 $.

Premier coup d’œil au Buick Encore 2020 redessiné

Buick connaît beaucoup plus de succès en Chine que sur notre continent. En vérité, c’est le plus grand marché de la marque de luxe d’entrée de gamme de General Motors. Il ne faut donc pas se surprendre qu’elle ait choisi le Salon de l’auto de Shanghai 2019 pour dévoiler plusieurs nouveaux modèles.

Celui qui nous intéresse le plus est le multisegment sous-compact Encore, car c’est de loin le véhicule le plus vendu de Buick au Canada.

Il faut préciser que deux versions au style assez semblable ont été présentées en Chine. D’abord, le Buick Encore régulier se compare à la génération actuelle en matière de gabarit, mais il est construit sur une plateforme Gamma II mise à jour appelée GEM (Global Emerging Markets).

Ensuite, il y a le Buick Encore GX à empattement long qui, selon plusieurs sources, est celui que nous recevrons en Amérique du Nord (mais probablement sans les deux lettres ajoutées). Il repose sur la nouvelle plateforme VSS-F de General Motors, tout comme le Chevrolet Trailblazer 2020 également dévoilé à Shanghai pour remplacer le cousin de l’Encore, le Chevrolet Trax.

Les détails techniques n’ont pas été annoncés encore, mais attendez-vous à une nouvelle génération de moteurs EcoTec, possiblement avec une boîte automatique à neuf rapports pour remplacer celle à six rapports.

Quant au design, inspiré du concept Buick Enspire de 2018, l’évolution radicale de la silhouette nous plaît beaucoup, allant de la bande chromée qui découpe la calandre élargie jusqu’aux ailes arrière plus musclées, en passant par la ligne de toit plongeante. Le véhicule paraît franchement plus dynamique et sportif qu’actuellement.

Le Buick Encore 2020 destiné au marché nord-américain devrait faire une première apparition plus tard cette année. Nous en saurons davantage à ce moment.

Chevrolet ressuscite le nom Trailblazer… en Chine

Finalement, les rumeurs voulant que General Motors ressuscite le nom Trailblazer étaient bel et bien fondées. Après le lancement du VUS intermédiaire Blazer l’an dernier, le constructeur américain présente cette semaine le tout nouveau Chevrolet Trailblazer 2020 au Salon de l’auto de Shanghai.

Naturellement, l’extérieur se rapproche de celui du Blazer. On le voit surtout dans le style de la calandre et des phares, mais il existe aussi des similitudes à l’arrière et au niveau des montants du toit.

Les designers de Chevrolet se sont tout de même efforcés de donner un caractère distinctif au petit Trailblazer en ajoutant des lignes de relief sur les flancs et des moulures protectrices plus prononcées autour des roues de 17 pouces.

L’exemplaire dévoilé en Chine est en fait une version Redline ornée d’accents de couleur rouge sur les jantes, les boîtiers de rétroviseurs latéraux et les coins du pare-chocs avant (désolé, ce ne sont pas des crochets de remorquage que vous voyez sur les images, mais simplement des bandes rouges décoratives).

Les détails techniques du véhicule ne sont pas encore connus, mais certains parlent d’un moteur turbocompressé de 2,0 litres jumelé à une boîte automatique à neuf rapports. Le Chevrolet Trailblazer 2020 se base sur la nouvelle plateforme globale VSS-F de General Motors et sera vendu à travers le monde, alors les options de groupe motopropulseur varieront d’un marché à l’autre.

Le futur Trax
En Amérique du Nord, le Trailblazer est appelé à remplacer l’actuel Chevrolet Trax à moteur turbo de 1,4 litre, qui rivalise avec les Honda HR-V, Ford EcoSport, Nissan Qashqai, Mazda CX-3 et autres multisegments sous-compacts.

Malgré son nom, ne vous attendez pas à des performances hors route aussi solides que celles d’un Subaru Crosstrek ou Jeep Compass, par exemple.

Lexus LM : hein? Une fourgonnette?

Évidemment, les goûts ne se discutent pas. Si l’on affiche une préférence marquée pour les VUS en Amérique du Nord, et les Européens affectionnent toujours les familiales, le marché de la Chine semble adorer n’importe quel format de véhicule offrant beaucoup d’espace aux places arrière.

Au Salon de l’auto de Shanghai se déroulant cette semaine, la marque de luxe Lexus présente son tout dernier modèle, et c’est une fourgonnette.

D’abord, il convient de préciser que la Lexus LM ne sera pas commercialisée chez nous, où les fourgonnettes n’ont plus la cote depuis plusieurs années maintenant. Mais en Chine et dans d’autres marchés asiatiques, elles sont toujours populaires.

Deux motorisations sont proposées dans ce nouveau véhicule de Lexus. Le LM 350 mise sur un V6 de 3,5 litres, alors que la LM 300h est plutôt équipée d’un système hybride composé d’un quatre cylindres de 2,5 litres et d’au moins un moteur électrique. Les acheteurs peuvent également opter pour un rouage à traction ou intégral.

Un aménagement à sept passagers est offert, avec des sièges individuels à la deuxième rangée et une banquette à trois places à l’arrière. Selon Lexus, cette configuration sera choisie par les gens d’affaires ayant une famille à transporter.

Pour les gens désirant se faire reconduire dans un environnement chic, comme s’ils voyageaient en première classe à bord d’un avion, un aménagement à quatre places est aussi disponible. Les deux fauteuils arrière incluent un dossier inclinable, un rembourrage moelleux comme dans un sofa de salon ainsi qu’une fonction de ventilation.

Bien entendu, l’habitacle est enveloppé de cuir, et l’on peut aussi équiper la Lexus LM d’une cloison isolant les passagers arrière du chauffeur, dans laquelle est intégrée un écran de 26 pouces. De plus, on a installé du rangement pour des parapluies et un réfrigérateur entre autres.

La Lexus LM concurrencera notamment la marque Buick en Chine, qui propose non pas une, mais deux fourgonnettes, soit la GL6 et la GL8.

Aston Martin dévoile sa berline électrique Rapide E

La toute première voiture électrique d’Aston Martin – et apparemment le prochain bolide de James Bond – a été dévoilée aujourd’hui en version de série au Salon de l’auto de Shanghai 2019. La Rapide E a été développée en collaboration avec Williams Advanced Engineering et sera commercialisée en tant qu’édition spéciale.

Utilisant une architecture électrique de 800 volts (un standard qui n’est pas encore disponible en Amérique du Nord), la Rapide E exploite une batterie au lithium-ion de 65 kWh pour alimenter deux moteurs électriques montés à l’arrière. Ceux-ci fournissent une puissance tout juste supérieure à 600 chevaux et un couple de 700 livres-pied. L’autonomie s’élève à plus de 320 kilomètres selon le protocole d’essai mondial WLTP, un chiffre qui serait sans doute revu à un peu moins de 300 kilomètres chez nous.

La vitesse de pointe de la Rapide E est de 250 km/h et ses accélérations de 0 à 96 km/h (60 mi/h) nécessitent moins de quatre secondes – peu importe la charge de la batterie, soutient Aston Martin.

Par ailleurs, les ingénieurs ont porté une attention particulière aux réglages du groupe motopropulseur et du châssis en programmant les trois modes de conduite : GT, Sport et Sport +. Les deux moteurs en question sont reliés par un différentiel à glissement limité qui favorise une meilleure tenue de route, au même titre que les ressorts et les amortisseurs nouvellement calibrés.

Physiquement, la Rapide E se veut 8% plus aérodynamique que le modèle sortant à combustion, notamment grâce à une section avant optimisée, à un sous-plancher redessiné, à un nouveau diffuseur arrière de plus grande dimension et à des jantes aérodynamiques en aluminium forgé chaussées de pneus Pirelli P-Zero à faible résistance au roulement.

À l’intérieur, la fibre de carbone est abondamment utilisée pour donner plus de cachet à la voiture tout en l’allégeant. Les cadrans analogiques ont été remplacés par un écran numérique de 10 pouces affichant toutes les données essentielles, comme l’état de la batterie, la consommation d’énergie en temps réel et la performance du freinage régénérateur. Une application permet aussi au conducteur de rester informé à distance.

Tel qu’annoncé précédemment, l’Aston Martin Rapide E sera limitée à 155 exemplaires, tous fabriqués dans les installations modernisées de St Athan, en Angleterre. Les commandes sont déjà lancées et le prix est révélé lors du processus.

Nissan Maxima 2019 : cinq choses à savoir

Vendue depuis 1981, la Nissan Maxima demeure la berline porte-étendard de la marque, celle qui a longtemps permis à Nissan de rayonner dans le segment. Depuis 2016, elle est commercialisée sous une huitième génération et malgré des ventes de plus en plus timides, elle dispose toujours de son lot d’amateurs.

Voici cinq choses à savoir à propos de l’année-modèle 2019 de la Nissan Maxima.

Un design réussi
Historiquement, la Maxima a toujours attiré l’œil en raison de son design. Si le constructeur semblait avoir perdu cette touche magique avec les dernières générations, la refonte de 2016 lui aura été bénéfique. Qui plus est, on a revu l’esthétisme du modèle pour 2019 en retravaillant la grille avant et les phares. Son pilier C noirci donnant l’illusion d’un toit flottant, comme celui du Murano, est aussi un bel atout. Elle a incontestablement un air de famille.

La Maxima est redevenue une voiture racée grâce à des lignes modernes et fluides. C’est encore plus marqué lorsque sa carrosserie est blanche et que certains éléments peints en noir, notamment le toit et les montants du pare-brise, rehaussent le contraste.

Moteur V6, boîte CVT
Les performances ont toujours été au cœur de la Maxima. Pour 2019, elle conserve son moteur V6 de 3,5 litres, une mécanique éprouvée depuis longtemps chez Nissan. Sa puissance de 300 chevaux est transmise aux roues avant uniquement. Aucun rouage intégral n’est livrable, un reproche qui n’aide pas la cause de la Maxima si l’on tient compte des tendances du marché depuis quelques années.

Sa transmission à variation continue (CVT) favorise l’économie de carburant et permet de bien tirer profit de la puissance disponible, et ce, à tous les régimes. Certains regrettent cependant l’époque ou la Maxima disposait d’une boîte automatique traditionnelle.

Spacieuse et confortable
Un des points forts de la Maxima, c’est son habitacle soigné et spacieux. Tous les passagers profitent de bons dégagements, même à l’arrière. L’effet de luxe est bien présent, que ce soit dans l’attention aux détails ou dans le choix des matériaux. La voiture demeure une grande routière et les longs trajets deviennent soudainement beaucoup plus agréables à bord de la Maxima. Elle offre un excellent compromis entre sportivité et confort.

Une voiture, trois versions
La Nissan Maxima 2019 est offerte en variantes SL, SR et Platine. Toutes équipées de la même motorisation, ces versions sont vendues aux prix respectifs de 40 790 $, 43 190 $ et 45 650 $.

Même dans sa variante de base, la Maxima est livrée avec un toit vitré panoramique, une chaîne audio Bose à 11 hauts-parleurs et un système de freinage d’urgence intelligent avec avertissement de risque de collision frontale.

Reconnue par Le Guide de l’auto
Grâce à ses attraits, la Nissan Maxima a remporté le titre de meilleur achat du Guide de l’auto en 2018. Elle termine seconde sur le podium en 2019, à quelques points derrière la Toyota Avalon fraîchement remaniée. Malgré un contexte difficile pour ce type de véhicule, la Nissan Maxima demeure un achat judicieux si vous cherchez une berline spacieuse, dynamique, bien équipée et surtout, offerte à un prix abordable.

Le Mercedes-Benz GLB annonce un VUS compact robuste

Six ans après avoir lancé le concept GLA en Chine, Mercedes-Benz retourne au Salon de l’auto de Shanghai pour présenter un autre VUS compact, le concept GLB.

Alors que le premier a donné naissance à un petit utilitaire de type coupé qui met l’accent sur le plaisir de conduire, le second priorise la robustesse et l’espace, lui qui accueille jusqu’à sept passagers.
Mais y a-t-il de la place pour un nouveau modèle dans la gamme entre le GLA et le GLC? La compagnie semble penser que oui. Et même si la production n’a pas encore été confirmée, il risque d’y avoir un bon nombre de clients prêts à le considérer (environ 54% des ventes totales de Mercedes-Benz au Canada en 2018 ont été des VUS).

« Avec le concept GLB, nous démontrons nos idées créatives pour ce segment de marché, affirme Britta Seeger, membre du conseil d’administration de Daimler AG en charge des ventes de véhicules Mercedes-Benz. Le concept GLB est un VUS durable et pratique aux dimensions compactes. Que ce soit en tant que véhicule familial à sept places ou comme compagnon de loisirs polyvalent, nous sommes confiants qu’il intéressera beaucoup nos clients. »

Comparé au GLA et au GLC, le Mercedes-Benz GLB a l’air plus robuste et plus aventureux. On le voit surtout par sa silhouette plus carrée, ses porte-à-faux courts favorisant de bons angles d’attaque et de départ, le design unique de sa calandre et de son bas de pare-chocs avant de même que ses diverses moulures protectrices.

De plus, ce concept arbore une boîte de rangement intégrée sur le toit, des pneus tout-terrain à la bande ultra agressive et des feux à DEL supplémentaires qui améliorent la visibilité loin des sentiers battus – rien de tout ça ne va se retrouver sur un futur modèle de série, évidemment.

À l’intérieur, au-delà des surfaces en cuir brun marron et des garnitures spéciales comme les boiseries en noyer à pores ouverts et les touches orangées, le concept GLB se démarque en devenant le premier véhicule compact de Mercedes-Benz à offrir une troisième rangée de sièges. Cette dernière peut accommoder deux adultes de taille moyenne, si l’on en croit la compagnie. Elle peut être escamotée à plat dans le plancher pour accroître le volume de chargement.

La banquette médiane, divisée 40/20/40, coulisse vers l’avant de 90 millimètres pour offrir plus d’espace aux passagers arrière ou vers l’arrière de 40 millimètres pour créer un habitacle à cinq places. Les dossiers s’inclinent en huit positions afin de rehausser le confort et la polyvalence.

À l’avant, la présentation est semblable à celle de la Classe A, c’est-à-dire avec un écran ultra large pour le conducteur et plusieurs fonctions contrôlées par le système multimédia MBUX. Des éléments tubulaires en aluminium ont été ajoutés pour créer un effet de solidité évoquant la conduite hors route.

Quant à l’aspect performance, sachez que le concept GLB de Mercedes-Benz exploite un moteur turbocompressé à quatre cylindres de 2,0 litres et une boîte à double embrayage à huit rapports. Il développe une puissance de 221 chevaux et un couple de 258 livres-pied. Le rouage intégral 4MATIC qui l’accompagne varie la répartition du couple selon le mode de conduite sélectionné : Éco/Confort (80/20), Sport (70/30) et Hors-route (50/50).

Il y a de bonnes chances que le Mercedes-Benz GLB arrive sur le marché d’ici la fin de la présente année ou le début de la prochaine en tant que modèle 2020, disponible à deux et à quatre roues motrices. Il pourrait être suivi d’une version AMG et même d’un GLB électrifié utilisant la technologie EQ de Mercedes-Benz.

Meilleurs achats du Guide de l’auto : BMW Série 5

L’acquisition d’une voiture de luxe est plus un choix émotionnel que rationnel, mais avec une si grande sélection de modèles sur le marché, il peut être difficile de savoir laquelle nous conviendra. En publiant ses Meilleurs achats dans toutes les catégories de véhicules, Le Guide de l’auto vous donnera assurément un coup de main.

Dans le segment des voitures intermédiaires de luxe, c’est à la BMW Série 5 qu’a été décerné le titre de meilleur choix pour 2019. Elle se distingue par son agrément de conduite, mais aussi son choix de motorisations et son rouage intégral de série. D’un quatre cylindres turbo de 248 chevaux à un V8 biturbo de 617 chevaux dans la rutilante BMW M5 Competition, en passant par un six cylindres de 335 chevaux, un V8 de 455 chevaux et une motorisation hybride permettant une autonomie électrique allant jusqu’à 24 kilomètres, il y a une Série 5 pour tous les goûts et les besoins.

La berline mise également sur son très convivial système multimédia iDrive, sa suite complète de caractéristiques de sécurité avancées et son choix étendu de coloris, de garnitures intérieures et de roues en alliage, procurant beaucoup d’options de personnalisation. La BMW Série 5 2019 est disponible à partir de 63 500 $ avant les frais de transport et de préparation.

On retrouve les Audi A6 et A7 (PDSF à partir de 68 200 $ et 78 000 $, respectivement) ex aequo en deuxième place dans cette catégorie. Grâce à leur six cylindres turbo de 3,0 litres, assorti d’un système hybride léger, ces deux berlines sont rapides et peu énergivores, mais habiles aussi avec leur rouage intégral de série. On apprécie également la finition soignée de l’habitacle et son design à la fois élégant et sophistiqué.

En troisième place, la berline Volvo S90 et la familiale V90 (PDSF à partir de 66 150 $ et 62 500 $, respectivement) se démarquent par leur design extérieur séduisant, le confort de leur habitacle ainsi que par la puissance de leurs quatre cylindres turbo. Sans compter la version hybride rechargeable de la S90 procurant une autonomie de 34 km ainsi que la V90 Cross Country et son allure plus robuste.

Volkswagen présente sa camionnette Tarok en Amérique du Nord

Le Volkswagen Tarok, un concept de camionnette qui a créé un buzz à la suite de son lancement à Sao Paolo en novembre dernier, débarque pour la première fois sur notre continent. En effet, le constructeur allemand le présente cette semaine au Salon de l’auto de New York 2019.

Toutefois, malgré le nombre grandissant de camionnettes intermédiaires au Canada et aux États-Unis, sa production pour notre marché ne figure pas dans les plans de Volkswagen, qui dit simplement vouloir évaluer l’intérêt des consommateurs.

En compagnie de l’Atlas, ce concept est l’un des plus gros véhicules fabriqués à partir de la plateforme MQB de Volkswagen. Sa caisse mesure seulement quatre pieds en longueur, mais un ingénieux mécanisme (semblable à l’ancien Chevrolet Avalanche) permet de rabattre les sièges arrière et le bas de la cloison pour accroître le plancher de chargement d’environ 65 centimètres. Le tout est bien scellé afin d’empêcher l’humidité de s’infiltrer. Quant à la charge utile, elle s’élève à 2 271 livres, ce qui est étonnant quand on pense que le Ford Ranger, par exemple, peut transporter au maximum 1 860 livres dans sa caisse.

Physiquement, le Volkswagen Tarok se démarque aussi par son capot élevé, ses barres de calandre horizontales qui se fondent dans les phares à DEL, sa plaque de protection sous le véhicule et son fini noir lustré sur le toit et les montants avant. D’autre part, les montants arrière épais forment une barre comme sur les toits de type targa.

La cabine renferme un système multimédia avec écran vitré de 9,2 pouces et un tableau de bord numérique personnalisable. Le haut-parleur dans la console centrale peut être enlevé et appareillé à un téléphone intelligent via Bluetooth.

Le concept Volkswagen Tarok repose sur des roues de 16 pouces et offre une garde au sol de 9,6 pouces (24,3 centimètres). Il est propulsé par un petit moteur turbocompressé de 1,4 litre à injection directe, qui fournit une puissance de 147 chevaux par l’entremise d’une boîte automatique à six rapports – loin d’être suffisant pour la vaste majorité des propriétaires de camionnettes en Amérique du Nord. Le concept Atlas Tanoak présenté à New York en 2018, pour sa part, disposait d’un V6 de 276 chevaux.

Par contre, il est intéressant de noter qu’en plus des modes de conduite réguliers (Confort, Normal, Sport, Éco et Individuel), le Tarok exploite un rouage intégral 4Motion à contrôle actif permettant au conducteur de choisir parmi quatre autres modes : Route, Neige, Hors-route et Hors-route personnalisé.

Rappelons que le géant de Wolfsbourg s’est récemment associé à Ford pour le développement et la commercialisation de fourgons et de camions dès 2022, alors qui sait s’il offrira un jour une camionnette chez nous?