Le Marché Le 5 Saveurs a pris sa place…

Par Mychel_lapointe

Trois ans presque jour pour jour après son ouverture officielle le 27 septembre 2005, le Marché Le 5 saveurs de Saint-Jérôme occupe une place de choix dans le monde de l’alimentation locale.

«Nous sommes heureux de constater que notre progression est constante, même si le contexte climatique du présent été et les hausses répétées des prix de l’essence qui ont pour effet de faire augmenter le coût de certains produits n’ont pas vraiment été faciles pour nous… » souligne d’entrée de jeu M.Patrick Fortin copropriétaire du Marché Le 5 saveurs.

Premier résultat spectaculaire

M.Fortin dressait ce bilan positif vendredi matin dernier au lendemain d’un changement de cap pour l’entreprise qui a décidé de suivre la tendance du marché et d’afficher ses spéciaux dans le journal du mercredi (le Journal LE NORD pour ne rien cacher) avec des résultats pour le moins spectaculaires. « Il est bien clair que nous n’avions pas le choix de suivre le mouvement imprimé par les grandes chaînes d’alimentation qui distribuent dorénavant leurs circulaires le mercredi. Avec cette décision que nous avons prise, je m’attendais à des résultats significatifs, mais ce fut bien au-delà de mes espérances. Pour la seule journée de jeudi (jour d’entrée en vigueur des spéciaux) nous avons accueilli 56 clients de plus qu’à pareille date l’an dernier. Et déjà ce matin, l’affluence s’annonce fort intéressante… » de souligner M.Fortin.

Des économies réelles

Quant au marché de Saint-Jérôme au sein duquel le Marché Le 5 saveurs occupe dorénavant une place de choix, Patrick Fortin constate une tendance bien claire. « Les gens de Saint-Jérôme sont avisés dans leur façon de magasiner. Ici, on retrouve une clientèle de gens retraités qui font le tour du magasin pour choisir ce qui leur convient le mieux. On y voit également des jeunes familles dont les besoins sont parfois quelque peu différents. Dans un cas comme dans l’autre, ils ont avantage à venir chez nous, puisque pour 80 % des produits qu’on retrouve ici nos prix sont plus bas que dans les supermarchés. Et ce, avec une fraîcheur rehaussée puisque nos produits qui arrivent du producteur se retrouvent directement sur les étalages plutôt que de séjourner dans des entrepôts frigorifiés. Et c’est sans compter les redevances que les supermarchés doivent payer aux grandes chaînes. Chez nous ce que nous économisons en redevances, nous en faisons profiter le client qui réalise ainsi des économies…” note-t-il.

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