Chats brûlés: des citoyens font pression sur la police de Saint-Jérôme

Par Lpbw

Environ une trentaine de personnes ont accentué la pression sur la police de Saint-Jérôme, dimanche, afin qu’elle tienne une enquête criminelle dans le dossier des trois chats qui auraient été brûlés à l’huile chaude dans les derniers mois.

En réponse à la police qui affirmait dans les médias qu’une plainte formelle est nécessaire afin que l’enquête débute, des manifestants sont venus déposer une plainte.

Selon Johanne Bernier, propriétaire d’un refuge pour animaux de Laval, les citoyens peuvent légitimement déposer une plainte puisque « ce sont des chats à tous les résidents de Lafontaine, ce sont des chats communautaires».

Le lieutenant Guillaume Lauzon, du Service de police de Saint-Jérôme, s’est voulu rassurant. « Le service de police n’a pas mis ce dossier-là de côté. On le prend au sérieux, il va y avoir un suivi». Parmi les manifestants, notons la présence de Line Gagnon, qui a recueilli les chats blessés chez elle.

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