J’ai raison !
J’ai un ami, plutôt une connaissance, qui refuse d’avoir tort même si sa faute ou son erreur est claire comme du jus de chique. Comme s’il craignait d’abîmer sa petitesse ou son côté trumpiste. Remarquez que celui ou celle qui refuse de reconnaître ses torts souffre généralement d’un complexe d’infériorité ou de supériorité. Je ne suis pas une psy, mais la chose me frappe à chaque fois. Jeune, on m’a appris à admettre mes erreurs…