chronique

Salut mon grand

Je savais que tes jours étaient comptés, nous le savions tous. La mort était presque notée à ton agenda. Lorsque mon cellulaire a sonné en cette veille de Noël, je savais que c’était pour m’annoncer ton départ. Les écluses se sont ouvertes, j’étais inconsolable. Et pourtant je savais que tu étais très malade. Lorsque je suis allée te voir pour la dernière fois, tu étais encore à la maison. Souriant comme si tu pétais le…