Les Labelle, trois jeunes acteurs prometteurs
Par Lpbw
SAINT-JÉRÔME. Ils sont trois et adorent jouer. Pas seulement pour s’amuser, non, pour apprendre le métier d’acteur, tourner dans des films ou dans des publicités. Et si, au départ, ils venaient juste pour une activité de loisir, tous les trois sont maintenant très sollicités pour des auditions.
Élèves du Théâtre Royal, ils s’appellent Tristan, Sarah-Jade et Léanne Labelle. «Ils sont très extravertis et s’expriment très bien. Ils ont une diction parfaite, le papa est professeur de français, la maman orthopédagogue, et sont très en demande pour des auditions, nous dit la propriétaire de l’école, Marie-Ève Lafond. Ce sont les enfants les plus en demande dans mon agence».
Trois jeunes allumés
La plus jeune, Léanne, 6 ans, a été choisie au mois de janvier dernier pour un premier rôle dans une publicité Kinder surprise. Sarah-Jade, 9 ans, quant à elle, a décroché un premier rôle dans la série l’Auberge du chien noir, des rôles dans 30 vies, Les démons et The walk (de la figuration).
L’aîné, Tristan, 11 ans, a fait de la figuration dans Bad Santa2, il a été pianiste dans Roméo et Juliette (comédie musicale), a décroché un premier rôle dans le vidéoclip Fonkynson et a été appelé pour de la figuration dans Les démons.
Il adore faire du théâtre, au départ parce que sa sœur Sarah-Jade en faisait. Il suit la formation jeune acteurs. Le but est de bien se présenter en audition et devant les caméras et «ça me permet d’être moins gêné», nous confie-t-il.
Les trois ont fait des capsules web sur la sexualité. Ils devaient arrêter les gens dans la rue, à Montréal, pour leur poser des questions.
Sarah-Jade adore tourner, depuis toujours. Regardant la télévision, elle a dit un jour à sa maman: «C’est ça que je veux faire!» Et ça fait maintenant trois ans qu’elle est au Théâtre Royal. Leur mère reste sereine malgré les nombreux déplacements que les tournages requièrent : «il faut se rendre disponible, mais ils apprennent tellement de choses, se développent tellement. Et ils aiment ça, on trouve le temps!»
