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La Coalition Santé Laurentides accueille cinq nouveaux membres influents

Par Rédaction

Afin de corriger la situation en santé pour la population laurentienne, les membres du comité directeur de la Coalition Santé Laurentides (CSL) se sont réunis le 8 mars dernier.

Ils ont profité de l’occasion pour souligner l’arrivée de nouveaux membres importants au sein du comité. « Force est de constater que le message porté par la Coalition, depuis un peu plus d’un an, a su résonner auprès de divers milieux. La perspective des nouveaux membres nous permettra, très certainement, de solidifier notre argumentaire », explique Marc L’Heureux, président de la Coalition Santé Laurentides.

Il se réjouit de la venue de Nadine Le Gal, directrice générale du Cégep de Saint- Jérôme; de Murielle Laberge, rectrice de l’Université du Québec en Outaouais ; de Francine Leroux, présidente du comité des usagers du Lac-des-Deux-Montagnes ; de Michael Leduc, directeur général de la FADOQ des Laurentides ; et du Dr Paul-André Hudon, président du CMDP du CISSS des Laurentides.

L’année 2022 promet, selon lui, d’être chargée pour la CSL, qui compte bien se faire entendre, au nom de tous les Laurentiens et Laurentiennes. Les grands objectifs de la campagne ont d’ailleurs été discutés et adoptés le 8 mars dernier. Il est question d’un ajout de 1,4G$ au PQI afin d’assurer la complétion, d’ici 10 ans, des travaux des centres hospitaliers de Saint-Jérôme, Saint-Eustache et de Mont-Laurier, en plus d’obtenir un plan fonctionnel et technique pour les trois autres centres hospitaliers, soit ceux de Saint-Agathe, de Lachute et de Rivière- Rouge.

Les revendications incluent une correction de l’iniquité régionale du financement en santé afin d’atteindre une adéquation des ressources médicales et des infrastructures nécessaires. La Coalition vise également l’obtention d’engagements fermes et concrets pour le rattrapage urgent du PSOC et autres supports nécessaires aux organismes communautaires des Laurentides. « Il y a urgence d’agir ensemble et maintenant. Le sousfinancement chronique et historique compromet depuis des années la qualité des services de santé offerts à la population, qui ne fait que croître de façon exponentielle », réitère monsieur L’Heureux.

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