Automobile

15 trucs pour économiser sur l’essence

La consommation d’essence d’un véhicule dépend évidemment de son poids et de sa mécanique, mais vos habitudes de conduite y sont aussi pour quelque chose.

Voici quelques pratiques à adopter pour espacer vos arrêts à la pompe.

L’écoconduite, vous connaissez?

Enseignée dans les cours de conduite automobile, l’écoconduite prône la douceur en accélération et en freinage. En plus de conserver une distance raisonnable avec le véhicule qui se trouve devant le sien, l’écoconduite recommande de maintenir sa vitesse de croisière.

Dosez l’utilisation du climatiseur

L’utilisation du climatiseur peut faire grimper de 20% la consommation d’essence. C’est pour cette raison qu’il est conseillé d’ouvrir les fenêtres en ville. En revanche, sur l’autoroute, il est plus économique d’utiliser le climatiseur que de baisser les fenêtres.

Ne faites pas le plein n’importe où ou n’importe quand

D’un moment à l’autre dans une semaine et d’un secteur à un autre, le prix du litre d’essence peut grandement varier. Pour vous aider à magasiner votre carburant, CAA-Québec a mis en place l’outil Info Essence qui vous indique le prix réaliste que vous devriez payer en fonction de l’endroit où vous vous situez.

La fidélité, ça paie!

Les différentes bannières des pétrolières proposent des cartes de fidélité. Bien que les rabais ne soient pas astronomiques, c’est un moyen comme un autre. Et l’effort requis est plus que minime. Chaque cent économisé est un cent de plus dans vos poches.

L’entretien, c’est la clé

Une voiture qui n’est pas adéquatement entretenue peut consommer jusqu’à 25% plus d’essence. Ne remettez pas au lendemain la prise de rendez-vous pour votre voiture. Vous pourriez en payer les conséquences à chaque plein.

Vos pneus sont bien gonflés?

Un pneu pas assez ou trop gonflé peut faire augmenter la consommation de votre véhicule. Ainsi, assurez-vous que la pression d’air des pneus correspond à celle recommandée par le manufacturier. L’information se trouve notamment sur l’étiquette dans l’intérieur de la portière du conducteur.

Ne trimballez pas tout votre bataclan

À quoi bon conserver le support à ski en plein été? Il en est de même pour l’attirail de pique-nique en hiver. Ne transportez pas avec vous des objets inutiles. En allégeant votre voiture, vous éviterez de faire grimper votre consommation. Une augmentation de 1% de l’essence brûlée s’observe pour chaque 25 kilogrammes supplémentaire.

N’achetez pas n’importe quel véhicule

Si vous achetez un véhicule utilitaire sport ou une camionnette, ne vous plaignez pas de la consommation élevée d’essence. Si vous avez deux véhicules à votre domicile, n’hésitez pas à emprunter celui qui est le moins énergivore pour vos plus longs trajets.

La voiture hybride est une possibilité

En 2019, le marché automobile propose bien plus de véhicules hybrides que lors de l’introduction de ce type de motorisation au tournant de l’an 2000. Ça peut être une excellente solution de rechange . Il en est de même pour les voitures hybrides rechargeables. Pour ne plus consommer d’essence du tout, l’achat d’un véhicule entièrement électrique peut être envisagé.

Ne vous déplacez pas n’importe quand

Grâce à des applications comme Google Maps et Waze, vous pouvez planifier vos déplacements et éviter d’être coincé dans un bouchon. Vous pouvez aussi en profiter pour combiner vos commissions.

Le chauffe-moteur, votre allié!

D’après CAA-Québec, l’utilisation d’un chauffe-moteur en hiver vous permettra d’économiser environ 15% d’essence pour des trajets de 20 kilomètres ou moins.

Coupez le moteur si vous ne roulez pas

En hiver, il est recommandé de préchauffer le moteur. Cependant, une durée de 30 secondes suffit. Autrement, il est inutile de laisser un moteur tourner si vous ne roulez pas. Il consomme entre 1,1 et 4 L à l’heure lorsqu’il est au ralenti.

L’ordinaire est extraordinaire

Les mythes entourant l’essence sont nombreux. Alimenter votre voiture avec de l’essence super lorsque le manufacturier ne le recommande pas revient au même que si vous jetiez votre argent par les fenêtres. À l’inverse, il est déconseillé d’utiliser de l’essence ordinaire si votre voiture exige du super. Informez-vous quant aux besoins de votre voiture.

Soyez méfiants des gadgets

Une multitude de gadgets sont disponibles sur Internet pour réaliser des économies de carburant. Or, après avoir réalisé divers tests, CAA-Québec a conclu qu’aucun de ces bidules n’apporte un réel rendement.

L’auto n’est pas le seul moyen de transport

La voiture n’est pas le seul moyen de transport. Lorsque cela est possible, privilégiez le transport en commun, la marche ou le vélo. Le covoiturage peut également être une option intéressante.

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Sondage : l’imprudence des conducteurs est en hausse

Malgré les confinements et le télétravail rendus nécessaires par la pandémie de COVID-19, le Québec va terminer l’année 2020 avec plus de décès et de blessures graves sur les routes qu’en 2019, si l’on se fie aux statistiques de la Société de l’assurance automobile du Québec.

Les conducteurs sont-ils plus stressés et distraits dans le contexte actuel? Selon un sondage réalisé à la mi-décembre par l’Association canadienne des automobilistes (CAA), une majorité de Canadiens (56 %) affirme percevoir que les comportements dangereux se multiplient sur la route depuis la fin des vacances estivales.

C’est le cas pour les excès de vitesse (35 %), la conduite agressive (32 %) et l’utilisation du cellulaire au volant (30 %). COVID ou pas, le risque est toujours aussi présent.

« On remarque un faux sentiment de sécurité chez les conducteurs ces temps-ci. Avec moins de véhicules sur les routes en raison de la pandémie, certains automobilistes pensent qu’ils peuvent conduire de façon plus téméraire », affirme Ian Jack, vice-président aux affaires publiques du CAA.

La situation ne devrait pas s’améliorer à court terme, la saison froide étant propice aux conditions routières variées et changeantes. Au fait, avez-vous bien préparé votre véhicule pour l’hiver? Ne manquez pas de cliquer sur le lien pour quelques rappels et conseils utiles. Ou encore, découvrez nos 10 bons trucs à adopter sur la route en hiver.

« Avec l’hiver qui s’installe et dans un contexte où tant d’automobilistes conduisent moins fréquemment, il est plus que jamais essentiel de redoubler de prudence et d’adapter sa conduite aux conditions hivernales souvent imprévisibles », renchérit Marco Harrison, directeur de la Fondation CAA-Québec.

Quelques conseils

L’organisme partage d’ailleurs ses propres conseils à ceux qui doivent prendre la route dans les prochaines semaines :

  •  Prenez le temps qu’il faut pour vous rendre à destination. Les conducteurs pressés sont plus enclins à la prise de risques et de possibles fâcheuses conséquences pour eux, mais aussi pour les autres.
  • Programmez votre GPS et votre liste de lecture musicale avant de partir. Rien de mieux que de prévenir les distractions au volant en les réglant avant le départ.
  • Faites attention aux piétons et aux cyclistes. Avec une visibilité parfois réduite, établissez un contact visuel avec les piétons et surveillez vos angles morts pour les cyclistes.
  • Déneigez bien votre auto. Avant de partir, retirez toute la neige et la glace de vos vitres, miroirs et phares. Les « igloos mobiles » sont un danger public et leurs propriétaires s’exposent à une amende salée.
  • Allumez vos feux et phares non seulement pour éclairer votre chemin convenablement, mais aussi pour vous assurer d’être bien vu par les autres usagers de la route.

Articles récents

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Peugeot envisagerait une alliance avec FCA

Le constructeur français PSA Peugeot – Citroën a récemment annoncé son intention de recommencer à vendre des voitures en Amérique du Nord dès 2026, promettant aussi d’introduire les marques DS, Opel et Vauxhall dans notre marché.

À la suite d’une entrevue accordée au journal français Les Echos, Robert Peugeot, le président de la société familiale Peugeot, a déclaré que Fiat Chrysler Automobiles (FCA) représenterait un partenaire d’affaires intéressant pour une potentielle alliance.

Apprendre des habitués
Un tel partenariat permettrait au groupe Peugeot de mieux intégrer son réseau de concessionnaires, tout en profitant du savoir-faire logistique et manufacturier de FCA. Les produits de PSA pourraient même profiter du réseau de concessionnaire déjà établi par Fiat Chrysler.

Rappelons-le, après l’acquisition d’Opel de chez General Motors en 2017, Peugeot a su, en très peu de temps, retourner le petit constructeur allemand de bord afin qu’il soit profitable.

En 2018, Opel générait un revenu de 850 millions d’Euros, un record pour l’entreprise.

Ce savoir-faire financier servirait sans doute d’atout essentiel pour FCA, surtout pour le développement et la commercialisation de véhicules électriques, ou de petites voitures, chose que Peugeot fait déjà très bien en Europe.

Du côté de FCA, rien n’a encore été stipulé au sujet d’un potentiel partenariat avec le géant français, mais selon le média automobile Autoblog, Mike Manley, le PDG de FCA, aurait avoué lors d’une conférence au Salon de Genève que son entreprise n’est pas fermée à l’idée d’une collaboration avec un autre constructeur automobile.

Selon Carlos Tavares de chez Peugeot, l’intégration de PSA en Amérique du Nord fait partie intégrale d’une stratégie d’affaires globale, comprenant aussi la commercialisation de la marque Citroën en Inde, et de la marque Opel en Russie. Aux yeux de Tavares, « le monde change rapidement, et l’industrie automobile change aussi. L’automobile traverse actuellement un Darwin, c’est-à-dire que si elle ne s’adapte pas, elle meurt ».

L’homme d’affaires a affirmé qu’une ouverture d’esprit de la part de n’importe quel constructeur automobile lui permettra de demeurer vivant.

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Porsche dévoile un Cayenne… Coupé!

Pour 2020, Porsche ajoute une nouvelle déclinaison du Cayenne. En effet, le constructeur de Stuttgart vient de dévoiler une version Coupé de son plus volumineux VUS.

Sa ligne de toit inclinée et fuyante à l’arrière le distingue du Cayenne que l’on connaît déjà bien. En plus d’un toit abaissé de 20 mm, le Cayenne Coupé propose un style trapu avec des ailes arrière élargies de 19 mm.

Il tentera de se frayer une place dans le segment que se partagent notamment les Audi Q8, Mercedes-Benz coupé GLE et BMW X6.

Histoire d’accentuer l’appui sur l’essieu arrière, les ingénieurs l’ont doté d’un becquet adaptatif. Celui-ci se déploie de 135 mm lorsque le véhicule atteint les 90 km/h.

Contrairement au Cayenne conventionnel qui peut accueillir cinq occupants, la nouvelle version Coupé a été conçue pour n’en recevoir que quatre en raison de ses baquets arrière sport. Cela dit, il est possible d’opter pour la banquette 2+1 sans frais.

Au chapitre de la motorisation, on retrouve un bloc turbocompressé à six cylindres de 3,0 L qui génère 335 chevaux-vapeur et 332 livres-pied. Il suffit de compter jusqu’à six pour atteindre les 100 km/h. Quant à la vitesse de pointe, elle se chiffre à 243 km/h.

En ce qui a trait au Cayenne Turbo Coupé, il est animé par un V8 biturbo qui déploie 541 chevaux-vapeur et 568 livres-pied. Il accélère jusqu’à 100 km/h en 3,9 secondes. Pour ce qui est de sa vitesse maximale, elle s’élève à 286 km/h.

En option, on peut cocher la direction Plus à assistance en fonction de la vitesse, les jantes de 20 pouces, le toit vitré panoramique, le système de gestion active de la suspension et l’ensemble Sport Chrono.

Son arrivée chez les concessionnaires canadiens est prévue pour la fin de la présente année. Le prix de départ du Cayenne Coupé est fixé à 86 400 $ avant les frais de transport et de préparation. Pour la version Turbo Coupé, il faut minimalement allonger 148 000 $.

À titre de comparaison, l’actuel Cayenne est vendu à partir de 75 500 $.

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Tesla mise à nouveau sur ses employés pour l’aider à livrer des voitures

C’est connu, Tesla a un problème de livraison. Son PDG, Elon Musk, le reconnaît également, lui qui parle d’un « enfer logistique ».

Oui, l’attente pour les clients de la Model 3 au Canada a été raccourcie considérablement (entre 6 et 8 semaines selon le site web de la marque) grâce à l’augmentation de la production, ce qui explique en partie sa 8e position au palmarès des ventes canadiennes en 2018. Mais malgré l’acquisition d’une entreprise de camionnage en janvier pour l’aider dans ses efforts de livraison, Tesla peine encore à atteindre ses cibles trimestrielles.

Ainsi, quelques heures seulement après avoir dévoilé son nouveau multisegment compact Model Y la semaine dernière, le vice-président principal Sanjay Shah a envoyé un courriel aux chefs de départements en vue de trouver d’autres volontaires qui donneront un coup de main pour livrer des véhicules d’ici la fin du trimestre, soit le 31 mars. C’est ce que rapporte Business Insider, qui a obtenu une copie du courriel en question.

« Nous avons besoin de votre aide pour faire plus de progrès avec les volontaires. Nous devons livrer 30 000 voitures de plus dans les 15 prochains jours », a-t-il écrit.

Tesla a livré un total de 90 966 véhicules en Amérique du Nord au cours du quatrième trimestre de 2018, mais ce nombre risque fort de baisser pour le premier trimestre de 2019, alors que Musk et compagnie commencent les livraisons en Europe et en Chine.

Tesla n’a pas voulu commenter, mais elle avait déjà dit que la participation des employés reste facultative et à leur discrétion. Certains volontaires, qui ont parlé sous le couvert de l’anonymat, avouent le faire pour le bien de l’entreprise, mais aussi pour leur propre sécurité d’emploi. Pour vous donner une idée, l’un d’eux a conduit une Tesla pendant trois heures pour la livrer à un client… avant de faire appel à Uber pour rentrer au bercail aux frais de la compagnie.

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Un concessionnaire propose de sauver une usine de General Motors

Un propriétaire de concessionnaires de la région de Cleveland, Bernie Moreno, a proposé à General Motors une idée qui aurait pu permettre d’éviter la fermeture d’une de ses usines.

En effet, celui qui détient une multitude de bannières dont Lotus, Rolls-Royce, Mercedes-Benz, Buick et GMC a fait part de son intention d’acquérir entre 150 000 et 180 000 Chevrolet Cruze à la haute direction de General Motors.

Si cet homme d’affaires désirait acheter autant d’exemplaires de cette berline compacte, c’est parce qu’il avait l’intention de lancer une entreprise de partage de voitures.

Mary Barra, PDG du géant américain, aurait toutefois rejeté l’offre.

C’est ce que nous apprend le Detroit Free Press qui précise que General Motors de même que M. Moreno n’ont pas commenté la situation.

De son côté, le président du local 1112 de l’United Auto Workers (UAW) a déclaré que si GM s’était entendu avec cet entrepreneur, pas moins de 3 000 employés auraient conservé leur emploi. Et ça, c’est sans compter tous les fournisseurs de la région de Lordstown en Ohio où était assemblée la Chevrolet Cruze.

Souvenons-nous qu’en novembre dernier, GM avait présenté un plan de restructuration. Celui-ci prévoyait notamment l’élimination des Chevrolet Cruze, Volt, Impala, Cadillac XTS et CT6 ainsi que Buick LaCrosse.

La dernière Chevrolet Cruze
Le 6 mars dernier, Chevrolet a produit sa dernière Cruze. Depuis 2011, un total de 1,7 million d’unités ont été assemblées. Sur le marché canadien, 2014 marque l’année record pour ce modèle avec 34 400 exemplaires vendus. En 2018, un peu moins de 27 000 Cruze ont trouvé preneur au pays.

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Ce nouveau VUS électrique abordable riposte au Tesla Model Y

Fisker Inc. (connue sous le nom de Fisker Automotive avant sa faillite) essaie de couper l’herbe sous le pied de Tesla et de son Model Y dévoilé la semaine dernière en annonçant son propre VUS électrique à prix abordable.

Le modèle, qui ne porte pas encore de nom, coûtera moins de 40 000 $US et arrivera sur le marché durant la seconde moitié de 2021, assure la compagnie. Il sera vendu directement aux consommateurs, sans passer par un réseau de concessionnaires.

On peut lire sur le site de Fisker que son plan est de le rendre « accessible aux gens des États-Unis et dans le monde. » Une commercialisation canadienne semble donc plutôt probable.

Le VUS électrique de Fisker adoptera une configuration à quatre roues motrices avec un moteur électrique à l’avant et un autre à l’arrière. Une batterie au lithium-ion de plus de 80 kWh fournira une autonomie d’environ 480 kilomètres – comme la version la plus puissante (et la plus dispendieuse) du Model Y.

Évidemment, avec le designer de renommée mondiale Henrik Fisker toujours à la barre, le véhicule devrait être absolument magnifique. D’ailleurs, il est déjà présenté comme « un VUS élégant, musclé et futuriste avec des surfaces épurées et une silhouette dramatique ». À ce qu’il paraît, on retrouvera des éléments de design traditionnellement réservés aux voitures sport exotiques, dont des jantes allant jusqu’à 22 pouces de diamètre. La « calandre » tout à fait originale que vous voyez sur l’image est en réalité un panneau de verre qui cache un petit radar.

Nous en saurons plus sur le futur VUS électrique de Fisker lorsqu’un prototype fonctionnel sera présenté vers la fin de 2019. Fisker commencera à accepter les dépôts peu de temps avant le début de la production, dont le lieu exact n’a pas encore été confirmé.

La compagnie s’affaire à développer une gamme comprenant plusieurs véhicules électriques luxueux et abordables. Le lancement du VUS repousse celui de la sublime berline électrique Fisker EMotion, dévoilée au CES 2018 en tant que modèle phare doté d’une autonomie d’environ 800 kilomètres.

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Les pneus gonflés à l’azote, ça vaut la peine?

Votre mécanicien vous a probablement déjà proposé de remplir vos pneus à l’azote. Mais pourquoi, au juste? Est-ce vraiment bénéfique pour vos pneus?

En fait, un pneu gonflé à l’azote n’offre pas de performances supérieures au même modèle de pneu gonflé à l’air « normal », qui est d’ailleurs composé à 80% d’azote.

Toutefois, avec un remplissage azote, vos pneumatiques seront moins susceptibles de dégonfler.

Et quand on sait que près du quart des voitures au Canada circulent avec au moins un pneu dont la pression est trop basse de 20% ou plus, cette caractéristique prend tout son sens.

Un coût supplémentaire
Gonfler ses pneus à l’azote ne révolutionne donc pas le monde, mais cela peut assurément aider à régler une situation problématique. Toutefois, il y a un coût relié à ça.

Selon CAA-Québec, un garage exigera de 4 $ à 6 $ par pneu gonflé à l’azote. On parle donc d’un total variant de 16 $ à 20 $.

Plutôt irritant, quand on sait que le gonflage traditionnel ne coûte rien.

En demeurant vigilant et en vérifiant vos pneumatiques à tous les mois, vous pourrez vous épargner cette dépense tout en demeurant au volant d’un véhicule sécuritaire.

Bref, l’azote dans les pneus peut être bénéfique, mais il faut être prêt à payer pour. Et même avec l’azote, il demeure important de continuer à vérifier la pression de ses pneus sur une base régulière.

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