(Photo : Mathieu Dupuis)
Centre touristique du lac simon été 2014
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Parcs de la SÉPAQ: Les baigneurs estivaux ont l’embarras du choix

Par Luc Robert

Il est possible de se baigner à des endroits désignés, cet été dans les parcs nationaux du Québec, malgré l’afflux massif de visiteurs-baigneurs qu’entraîne le déconfinement.

« Les destinations plein air ont été très populaires depuis le début de la pandémie et elles continueront à l’être cet été. Les différents parcs nationaux gèrent l’achalandage quotidien, afin d’éviter de dépasser leur capacité d’accueil. Une limite est posée au nombre de droits d’accès quotidien mis en vente. Oui, il est possible de se procurer une quantité limitée de droits d’accès quotidien en ligne, pour aller se baigner dans un parc national, où cela est offert. Il existe dans certains établissements (pas tous), des zones où il y a de la baignade surveillée. Si les gens se baignent ailleurs que dans celles-ci, ils le font toutefois à leurs risques », a souligné M. Simon Boivin, responsable des relations avec les médias, à la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq).

Les coûts pour une baignade varient-ils d’une région à une autre ? « Il n’y a pas de tarification particulière associée à la baignade. Par contre, les auto-mobilistes devront défrayer (un coût) pour stationner leur véhicule près de la plage, dans certains parcs. Les tarifs varient », a-t-il précisé.

Personnel suffisant

Les visites de vacanciers n’ont pas entraîné la nécessité d’embaucher plus de personnel, selon lui.

« Même si les achalandages quotidiens importants sont plus fréquents, ils avaient quand même déjà lieu à divers moments lors d’une année « normale », par exemple dans les semaines de la construction ou lorsque les couleurs d’automne sont à leur paroxysme. Comme les parcs nationaux sont en mesure de gérer leur achalandage, ils sont en mesure d’offrir les services avec leur personnel régulier », a-t-il témoigné.

Activités sécuritaires

La Sépaq invite les baigneurs à pratiquer des activités sécuritaires dans ses parcs et ses plans d’eau.

« Dans certains parcs, il existe des zones de baignade surveillée. La Sépaq invite à la plus grande prudence ceux qui se baignent ailleurs. Les activités en plein air peuvent comporter certains risques. Il faut toujours s’assurer de posséder les compétences et habiletés requises à la pratique de l’activité choisie. Il est très important de connaître et de respecter ses capacités physiques », a-t-il prévenu.

Pour en savoir davantage, l’organisme provincial présente une offre d’idées aux utilisateurs : www.sepaq.com/quoi-faire/ plage-baignade.dot

Parc du Mont-Tremblant

Avec ses six grandes rivières, ses 400 lacs et ruisseaux, le parc national du Mont-Tremblant, représente le joyau des Laurentides depuis 1895. Son vaste territoire de 1510 km2 attire bon nombre de baigneurs et de canoteurs, vers ce premier parc créé au Québec, le 3e au Canada. Les détails et des mesures sanitaires doivent cependant s’appliquer aux visiteurs. (www.sepaq.com/pq/mot/)

« La Sépaq a mis en place une série de mesures sanitaires et de protocoles de nettoyage, pour assurer que les visiteurs et les employés puissent vivre une expérience agréable et sécuritaire. Pour en savoir plus sur les règles mises en place en lien avec la COVID, consultez le: www.sepaq.com/covid-19/ » , a terminé M. Boivin.

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